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Gaillard Ursula, témoignage

Née Christen Ursula dans le canton de Berne en 1947, d’un père mécanicien sur auto et d’une mère laborantine puis femme au foyer et comptable du garage paternel, j’ai fait mes classes primaires dans plusieurs cantons alémaniques, l’école secondaire à Lausanne, ainsi que des études de lettres, après avoir passé un an aux Etats-Unis, à Dallas, Texas.
Je vivais en couple lors de l’adhésion à la LMR. Je me suis mariée en 1972 et depuis lors j’ai gardé le nom de Gaillard. Le mariage correpondait à un besoin d’être en règle administrative avec une société que je contestais si radicalement. Membre de la cellule enseignante de l’organisation et employée à titre temporaire depuis 1969 dans un collège lausannois où les jeunes du mouvement Spartacus distribuaient souvent des tracts, je supportais mal de devoir justifier mon concubinage au secrétariat de l’école. Ayant traduit avec bonheur quelques livres pour mon plaisir – dont l’Heure de cuivre, de Dres Balmer en 1984, interdit de vente parce qu’il parlait du HCR au Salvador – j’ai quitté l’instruction publique en 1989 pour devenir traductrice indépendante (littérature-histoire- sciences sociales). A ce titre, j’ai collaboré au Dictionnaire historique de la Suisse de 1993 à 2012. J’ai aussi enseigné le français à des femmes migrantes à Bex de 2007 à 2010 et j’anime chaque jeudi une permanence pour les migrant.e.s depuis 2006.

Gaillard, Ursula

J.C., témoignage

C.J., 30.05.1949, père : famille de petits industriels jurassiens (horlogerie), mère : couturière. Formation : école libre (religieuse, catholique), école secondaire, gymnase, université, licence en sociologie. Statut au moment de l’entrée à la LMR : célibataire, sans enfant.
Parcours prof. : quelques emplois peu satisfaisants, puis 2ème formation en psychologie, assistanat à l’Université de Lausanne, thèse en sociologie, emploi de longue durée à l’Office fédéral de la statistique, actuellement retraitée.

J.C.

Loup Suzanne, témoignage

Je m'appelle Suzanne Loup, je suis née en 1949 à la campagne, au Val-de-Ruz, au milieu des fleurs puisque mes parents
étaient horticulteurs. J'ai débarqué dans la ville de Neuchâtel pour suivre les études gymnasiales puis l'école Normale
qui a fait de moi une institutrice . C'est aussi à ce moment que j'ai adhéré à la LMR avec mon compagnon . J'étais en
couple et plus tard, j'ai eu 2 enfants. J'ai enseigné dans le canton jusqu'en 2008, année où j'ai pris ma retraite..

Loup, Suzanne

Oppikofer Pierre-Yves, témoignage

Pierre-Yves Oppikofer, né le 12 avril 1955 à La Chaux-de Fonds. Mon père était ingénieur en mécanique, et ma mère, ménagère. Je suis l’ainé d’une famille de trois enfants. Mon père ayant choisi de travailler en indépendant, le niveau de vie de notre famille correspondait à celui des familles ouvrières qui représentaient la très grande majorité population de La Chauxde-Fonds. J’avais 18 ans lorsque j’ai adhéré à la LMR au moment de terminer le gymnase. Ensuite j’ai entamé des études de droit à l’université de Neuchâtel, non achevée. Plus tard, j’ai travaillé dans des entreprises de mécanique après avoir appris le métier de mécanicien de précision. Depuis 1999, je suis syndicaliste professionnel au Syndicat des services publics.

Pierre-Yves Oppikofer