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Excursions et activités courantes

  • Documents sur les excursions et activités (1932-1960; 1961-1974)
  • Documents sur les excursions et activités (sans dates)
  • "Cahier des A.C.L. Livre d'or. Groupe du Centre-Pontaise" (1942-1946)
  • "Livre d'or. Equipe des Jeunes-Pionniers. Equipe des Pionniers & Compagnons" (1959-1960)
  • "Résultat des épreuves" (s.d.)

Eternit, Schmidheiny

Chemises 1 à 6 (Eternit, Holcim, "clan Schmidheiny") [Boîte 027] :
• Livre du journaliste Werner Catrina (Der Eternit-Report, 1985) sur S. Schmidheiny, dédicace de l’auteur à F. Iselin et notes manuscrites de ce dernier en fin d’ouvrage.
• Articles de presse sur Eternit, le géant cimentier Holcim, le "clan" Schmidheiny, son influence sur la politique suisse et ses connexions à l’étranger [1]
• Correspondance privée entre S. Schmidheiny et divers acteurs suisses et étrangers datant des années 1970-1980, notamment les lettres échangées avec Luigi Guannitrapani, administrateur des usines Eternit en Italie [2]
• Communications officielles et communiqués de presse d'Eternit [3]
• Textes et publications diverses de S. Schmidheiny [4]
• Textes de CAOVA et/ou de F.I., dont « Pourquoi pas de procès contre Eternit et les entreprises de flocage en Suisse ? » et « Eternit Suisse : Réquisitoire à l’encontre de Stephan Schmidheiny » (non datés) [5]
• Documentation et correspondances avec d’autres militants à propos de S. Schmidheiny [6]

Chemises 7 à 10 (Branches et filiales Eternit, organisation internationale) [Boîte 028] :
• Documents concernant les différentes branches (suisse, française, belge) d'Eternit et leurs filiales (Etex, Everite, etc.), leur organisation, leurs relations avec le trust Holderbank, et les liens unissant les grandes familles derrière Eternit (Schmidheiny, Emsens, Cuvelier) [7 et 8]
• Articles, correspondance, organigrammes du groupe Holderbank et de l’organisation internationale d’Eternit. Documents officiels Eternit (rapports annuels, communiqués de presse, catalogues, etc.) détaillant l’organisation du groupe [9]
• Publication sur Cairn.info : Finet, Alain; Giuliano, Romina, "Le groupe cimentier Eternit et le scandale de l’amiante : essai d’explication par la gouvernance". Cette étude retrace l’histoire des différentes branches d’Eternit (suisse, française, allemande, belge) et explique comment la "nébuleuse Eternit", ce trust mondial détenu par quelques familles très influentes, est gérée [10]

Eschmann Jacques, témoignage

Jacques Eschmann, 27 février 1947, originaire de Vellerat JU.
Origine sociale modeste : mes deux grands-pères étaient ouvriers d’usine, mes deux grands-mères femmes au foyer. Mes deux parents ont fait un apprentissage d’employé-e de bureau. Puis mon père a gravi les échelons jusqu’à devenir gérant d’une entreprise correspondant aujourd’hui à une Landi cantonale, où il a fait toute sa carrière professionnelle. Ma mère a cessé son activité professionnelle après son mariage.
Je suis l’aîné d’une famille de 6 enfants.
J’ai toujours habité à Delémont jusqu’à l’âge de 19 ans, puis je suis parti à l’université de Fribourg, ville que je n’ai plus quittée.
Ecoles primaire et secondaire à Delémont, maturité scientifique à l’Ecole cantonale de Porrentruy, études universitaires à Fribourg (licence en sciences). J’ai pratiqué l’enseignement jusqu’à ma retraite au niveau du secondaire II.
Au moment de fonder la LMR de Fribourg (1971), j’étais fraîchement marié, sans enfants.
De profession, j’étais alors assistant en géographie à l’Uni de Fribourg et enseignant (quelques heures par semaine). Après avoir quitté l’uni en 1975 (raison : interdiction professionnelle pour
« appartenance à une organisation [la LMR] qui a soutenu l’occupation de la Mensa de l’Uni de Fribourg », selon l’ « acte d’accusation » du Conseil d’Etat fribourgeois), j’ai progressivement augmenté mes heures d’enseignements (géographie et français langue étrangère) aux Cours d’Introduction aux Universités suisses (CIUS) jusqu’à la fermeture de cette école (fin 2011), à la suite de quoi j’ai pris ma retraite. De 2000 à 2011, j’étais enseignant dans cette école, mais aussi vice-directeur à quart temps. De 1991 à 2001, j’ai également été conseiller communal (exécutif) à temps partiel à la ville de Fribourg.
Retraité depuis janvier 2012.

Eschmann, Jacques

Emmenegger Kurt, Zeugnis

Emmenegger Kurt, geboren 11.5.1955, Sektion Aargau/Solothurn

Geboren in Leuggern AG, aufgewachsen in Gippingen AG. Vater wie Mutter wuchsen auf Bauernhöfen auf und wurden proletarisiert. Der Vater machte nach dem 2.Weltkrieg eine Anlehre zum Schichtführer einer chemischen Anlage und arbeitete im gleichen Betrieb über 40 Jahre bis zu seiner Pensionierung. Die Mutter machte eine KV-Ausbildung und führte während des grössten Teils ihres Lebens bis zur Pensionierung die gesamte Administration und den Laden eines Elektro-Fachgeschäftes. Ich wuchs mit 4 Geschwistern (2 älteren Brüdern, einem jüngeren Bruder und einer jüngeren Schwester) auf dem Lande in einer tief-katholischen Gegend auf, damals bis in alle Lebenslagen hinein dominiert von den Katholisch-Konservativen. Die Primarschule besuchte ich in Gippingen, die Bezirksschule in Leuggern und dann die Kantonsschule in der Kleinstadt Baden. Mit dem Übertritt in die Kantonsschule (also 16jährig) zog ich in die Region Baden, wo ich hängen blieb. Seit 33 Jahren lebe ich nun in der Stadt Baden selbst.

Kurt Emmenegger

Emission de la Télévision suisse romande sur l’affaire des fiches - avec témoignage de 2 (ex) militants - P. Siegrist et J. Eschmann

Au début des années 90, l'affaire Kopp met en lumière des dysfonctionnements graves au Département de Justice et police. Durant leur travail d'enquête, les membres de la commission parlementaire découvrent l'existence d'importants fichiers constitués illégalement. C'est le début d'un énorme scandale: plus de 900'000 fiches tracent les activités les plus quotidiennes de Suisses et d'étrangers, essentiellement des personnes de gauche.

Sous la pression de l'opinion publique et de la presse, Berne est contraint d'ouvrir ses fichiers. Ce reportage de Tell Quel suit plusieurs personnes fichées découvrant leur dossier. C'est tout une organisation de flicage, avec notamment l'emploi d'indicateurs souvent proches des personnes suivies, qui éclate au grand jour.

RTS (Radio Télévision suisse)

Emission de la Télévision suisse romande - 40 heures - Michel Thévenaz

Au mois de novembre 1973, les Organisations progressistes de Suisse (POCH), soutenues par la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR) déposent une initiative visant à généraliser les 40 heures hebdomadaires de travail. Trois ans plus tard, lors d'un débat télévisé qui a lieu quelques jours avant la votation du 5 décembre 1976, Michel Thevenaz, le bouillant représentant de la LMR, affirme que la prospérité suisse rend possible la mise en oeuvre rapide de cette initiative.

RTS (Radio Télévision suisse)

Emission de la Télévision suisse romande "Face aux partis" élections fédérales, 8 octobre 1979

En 1979, quelques semaines avant les élections fédérales, la TSR ouvre le débat avec les partis politiques en lice. Ces derniers sont invités à présenter leur programme et à répondre aux questions des journalistes Gaston Nicole et Marc Schindler, dans le cadre de l'émission Face aux partis.

Le 8 octobre 1979, c'est au tour de la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR), représentée par la Genevoise Claire Magnin et le Vaudois Charles-André Uldry, d'être sur la sellette.

Dans cet extrait, le journaliste Gaston Nicole attaque: "Vous prétendez être le seul parti ouvrier, mais pourquoi ne trouve-t-on pas de représentants ouvriers dans vos listes de candidats en Suisse romande?".

Radio télévision suisse, archives

El Hewehi Fausi, Zeugnis

EL-HEWEHI MARTI, Fausi, 6.2.1952, Sohn eines Ägypters und einer Schweizerin, in Ägypten geboren und seit früher Kindheit in der Schweiz (Allschwil BL, dann Basel). Während RML-Zeit in Basel wohnhaft, in fester Partnerschaft, keine Kinder (erst ab 1982), Student bis 1978, dann Lehrer und Entwicklungshelfer. Beruflich meist als Lehrer tätig (Basel, Barcelona, Burgdorf, Bern, Biel), zuerst auf Gymnasialstufe, dann als Fachhochschuldozent, seit 2016 in Rente

El Hewehi Fausi

Einsele Gabi, Zeugnis

Einsele Gabi (Gabriele), geboren am 20.9.1956 in Zürich, aufgewachsen in bürgerlichen Verhältnissen in Baden (bis 1967), danach in Ennetbaden (1968 –1976).Der Vater war Chemiker, die Mutter kaufmännische Angestellte/Hausfrau. Ich habe zwei Geschwister. Wir sind Schweizer, wir trugen jedoch einen deutschen Familiennamen (beide Elternteile stammen aus Familien von eingewanderten Deutschen). Mein Vater war Sympathisant der Freisinnigen Partei und Mitglied eines Service-Clubs (Lions) – meine Mutter hatte bis 1971 keine bürgerlichen Rechte, sie schien es auch nicht zu vermissen.

Gabi Einsele

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