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VPOD (Verband Personals Oeffentlicher Dienste)
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Baumer Ueli, Zeugnis

Baumer Ueli, geboren 6.2.1952, Arbeiterkind, Sektion Schaffhausen. Der Vater war Hilfsarbeiter, die Mutter Hausfrau und Teilzeit-Putzfrau in einer Fabrik. Ich habe eine vier Jahre ältere Schwester und einen drei Jahre jüngeren Bruder. Wir sind in Schaffhausen aufgewachsen, wo ich heute noch lebe. Ich besuchte die Primar- und Sekundarschule, anschliessend das Gymnasium, welches ich rund ein Jahr vor der Matura aus verschiedenen Gründen verliess.

Baumer Ueli

Calame Claude, témoignage

Claude Calame, 10.09.1943, né à Lausanne, père fondé de pouvoir dans une fiduciaire, mère secrétaire puis femme au foyer. Formation : Collège classique cantonal, Gymnase, Université (Lettres - latin/grec et philo). De fin 1966 à 1974, élaboration de ma thèse en histoire et
anthropologie de la poésie et de la religion grecques (soutenue et publiée en 1977) à la faveur d’une bourse d’études à l’Université d’Urbino où je suis retourné de 1971-1974 comme chargé de cours,
puis wissenschaftlicher Assistent à l’Université d’Hambourg en 1968, doctorant à Paris (EPHE, 5e et 6e Sections) en 1969, puis à University College à Londres en 1970. Puis maître secondaire au Collège de Béthusy (Lausanne) de 1975 à 1984. De cette année à 2003, professeur ordinaire de langue et littérature grecques à l’Université de Lausanne. En 1992, visiting scholar à Harvard University ; en 1997, membre de l’Institute for Advanced Study ; en 1998, visting professor à Yale University. Dès 2001 et jusqu’à nos jours directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (l’ancienne 6e Section de l’EPHE) à Paris.

Claude Calame

Heimberg Charles, témoignage

Charles HEIMBERG, né le 17 février 1959 à Chêne-Bougeries près de Genève. J’ai eu une enfance dans une famille bourgeoise, aîné d’une fratrie de trois enfants. Mon père codirigeait un bureau de géomètre qui employait une vingtaine de personnes, ma mère était mère au foyer. C’était un milieu catholique, démocrate-chrétien, intéressé au football du côté masculin.
J’ai adhéré à la LMR en tant que collégien au début de l’année scolaire 1975-1976. J’y suis resté une dizaine d’années en militant surtout par la suite dans le secteur de la santé.
J’ai obtenu un diplôme de maturité en 1977, un diplôme d’infirmier en psychiatrie en 1980, une licence ès lettres (histoire et italien) en 1990 et j’ai soutenu une thèse de doctorat sur l’histoire du mouvement ouvrier en 1995.
J’ai été infirmier en psychiatrie, éducateur, enseignant d’histoire, puis formateur d’enseignants d’histoire. Depuis 2011, je suis professeur de didactique de l’histoire à l’Université de Genève.
À l’époque de mon adhésion à la LMR, je vivais chez mes parents. J’ai vécu en couple, dans un premier temps en colocation avec des amis, dès le début de 1977. J’ai eu un enfant en 1981. Un second est né en 1988.

Heimberg Charles

J.C., témoignage

C.J., 30.05.1949, père : famille de petits industriels jurassiens (horlogerie), mère : couturière. Formation : école libre (religieuse, catholique), école secondaire, gymnase, université, licence en sociologie. Statut au moment de l’entrée à la LMR : célibataire, sans enfant.
Parcours prof. : quelques emplois peu satisfaisants, puis 2ème formation en psychologie, assistanat à l’Université de Lausanne, thèse en sociologie, emploi de longue durée à l’Office fédéral de la statistique, actuellement retraitée.

J.C.

M.G., témoignage

Je suis né le 27 juillet 1948 à Châtel-St-Denis. J’ai une soeur de deux ans mon aînée. Mon père, paysan-fromager est décédé quelques mois avant ma naissance d’une tuberculose. Anecdote : une demande d’aide financière pour des soins onéreux, à l’époque, à la « Chaîne du Bonheur » a obtenu une fin de non-recevoir. Ma mère fut gérante du kiosque Naville de la gare. Elle partait travailler à 6 heures et rentrait vers 20 heures et gagnait de quoi nous permettre de survivre. Ma grand-mère, une femme bonne et généreuse s’occupait de nous au jour le jour. Autant dire que j’ai bénéficié d’une liberté quasi totale durant toute mon enfance. J’ai appris à me débrouiller et j’ai très tôt pris conscience de ma situation et décidé de me battre si je voulais « réussir » dans l’existence. J’ai eu une éducation catholique ouverte. Et ma première prise de conscience « humaniste » fut un beau jour de Noël. Devant la crèche de l’Eglise St-Nicolas de Châtel-St-Denis se trouvait une crousille. Sur cette crousille la statuette d’un noir qui baissait la tête chaque fois qu’une pièce y était glissée. Ecole primaire multi-âge à 40 élèves, école secondaire, Ecole de Commerce à Lausanne pour éviter l’internat à Fribourg. Et pour terminer HEC à Lausanne, soit 7 années à faire les trajets Châtel-Lausanne. Mon idée première était de réussir une carrière économique (sorte de revanche sur le
passé ?). C’est la rencontre avec des sympathisants de la LMR, dans le cadre universitaire, qui m’a mis sur le chemin vers un engagement plus social, soit l’enseignement. Pour autant que ma mémoire chronologique ne me trahisse pas, les événements de mai 68 se sont traduits à l’Uni de Lausanne par des cours parallèles sur le marxisme donnés par CH-A que j’ai suivi à la manière d’un étudiant studieux ! Autant que mes « camarades HEC » suivaient ceux d’un certain F. Schaller. La suite, 30 ans dans l’enseignement dont 28 à Yverdon, et pour finir comme directeur d’un établissement secondaire de 950 élèves, sous la forme d’une direction collégiale avec responsabilité directoriale, beaucoup de projets réalisés, un agenda 21 (environnement, citoyenneté) de l’établissement, une assemblée des élèves, des leçons à deux balles, etc. Actuellement : retraité.

homme

Magnin Claire, témoignage

Claire Magnin, père comptable, mère aide de bureau, 1 sœur et 1 frère, grandi dans la région de Nyon. Infirmière. Célibataire et sans enfant au moment de l’adhésion à la LMR (22 ans)
J’ai travaillé en tant qu’infirmière aux HUG de 1973 à 1984, puis à l’hôpital de la Chaux-de-Fonds de 1984 à 1993 comme infirmière en oncologie. De 1993 jusqu’à 2012 à Solidarité femmes région biennoise en tant qu’intervenante LAVI. Actuellement je suis à la retraite tout en faisant quelques remplacements à Solidarité femmes. J’ai deux filles adultes.

Magnin Claire

Peter Paula, Zeugnis

Meine persönliche Einleitung:
Ich bin jetzt 65 Jahre alt, mein Eintritt in die RML liegt etwa 37 Jahre zurück. Da ich ein gewerkschaftlich organisiertes „Basismitglied“ der RML war, habe ich nicht haufenweise Papiere in meinem Archiv, auf die ich meine Erinnerungen abstützen kann. Das heisst, ich habe im Laufe der letzten Wochen, in denen ich mir viele Gedanken zu dieser Umfrage gemacht habe, gemerkt, wie viel ich vergessen habe und dass meine Erinnerungen stark geprägt sind von den Jahren, die dazwischen liegen.

  1. Peter, Paula, 17. 6. 1951, bäuerliche Herkunft, aus Familie mit 6 Geschwistern.
    Während RML-Zeit wohnhaft in Köniz und Bern.
    Matur (nach Gymnasium in Luzern) und Diplom als Ergotherapeutin in Zürich.
    Status zur Zeit des Beitritts: ledig

Peter Paula

Nadia, témoignage

Je suis Nadia ( le nom que j’avais choisi à l'époque de la LMR), tessinoise, 1949. Origine sociale? Milieu petit bourgeois,”ceto medio impiegatizio”Quand j’ai rencontré le couple militant de la LMR romande qui venait de s’installer à Lugano (A. et D.), j’étais enseignante d’école primaire, mariée, enceinte. Maintenant ? Je suis divorcée, à la retraite. Je ne suis plus militante depuis longtemps, mais la politique m’interesse toujours et au fond je n’ai vraiment pas changé d’idées.

Nadia

Ribbe Irene, Zeugnis

Ribbe Irene, 17.Dezember 1954, immer wohnhaft in der Stadt Zürich. Der Vater ist Flachmaler, die Mutter Bibliothekarin. Ich habe einen älteren und einen jüngeren Bruder. Mein Vater kommt aus einer politischen Familie, und ist zusammen mit meiner Mutter in den frühen 1950er-Jahren in der „Freien Jungend“ aktiv. Aufgrund der Ereignisse in Ungarn 1956 treten beide aus der Bewegung aus. Meine Staatsangehörigkeit ist bis zum 15. Lebensjahr Deutschland, danach werde ich nach anfänglichen Schwierigkeiten in der Schweiz eingebürgert. Unter anderem prägen diese beiden Aspekte meine Kindheits- und Jugendjahre. Zur Zeit des Eintrittes in die SAP arbeite ich als Hortleiterin in der Stadt Zürich. Ich bin und bleibe ledig, habe keine Kinder. Zu dieser Zeit war es selbstverständlich, die Rolle als Frau und Mutter zu hinterfragen. Bis zu meiner Pensionierung im Sommer 2016 arbeite ich als Hortnerin in verschiedenen Horten in der Stadt Zürich.

R. I.

Ringger Beat, Zeugnis

Ringger Beat, 27.6.1955
Der Vater war Berufsschullehrer, die Mutter hat als Chefsekretärin gearbeitet. Beide haben ein abgeschlossenes Studium.
Wohnort zum Zeitpunkt des RML-­‐Beitritts war die Stadt Zürich bis 1983, danach Stadt Winterthur bis 1987, danach Winterthur Land bis 1999, danach wieder Zürich bis 2012, heute Aarburg (bei Olten). Ledig in dauerhafter Partnerschaft, keine Kinder.
Nach der Matur Oberseminar (Ausbildung zum Grundschullehrer), 3 Jahre Tätigkeit als Primarlehrer, danach zwei Jahre Studium der Wirtschaftsgeschichte, Abbruch und Aufnahme einer zweijährigen informellen Ausbildung im Bereich Maschinenmechanik, danach zwei Jahre Betreuer in einer Behindertenwerkstatt.
Anschliessend drei Jahre Studium Elektroingenieur HTL (Fachhochschule), danach 12 Jahre bei IBM Schweiz als Systems Engineer und Ausbildner, dann drei Jahre bei SMUV/GBI als Projektleiter „Gewerkschaftshaus“ (mündete in die Gründung der Unia), anschliessend ein Jahr Projektleiter //Syndikat (online-­‐Gewerkschaft).
Seit 2003 Zentralsekretär des VPOD (verantwortlich für den Gesundheitsbereich) und geschäftsleitender Sekretär des Denknetz.
Seit 2015 teilpensioniert beim VPOD; Weiterarbeit als Denknetz-­‐Geschäftsleiter.

Ringger Beat

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