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Sidler Roland, Zeugnis

Sidler Roland, geboren 1953, Sektion Biel
Ich heisse Sidler Roland, bin am 23. Januar 1953 geboren.
Ich stamme aus einem Handwerkermilieu und wohnte zuerst in Courtelary im Südjura und später dann in Pieterlen, einem Dorf zwischen Biel und Grenchen. Seit 1971 wohne ich in Biel.
Beim Eintritt 1972 in die RML war ich am deutschen Gymnasium (Matur) in Biel in Ausbildung. Nach der Matur machte ich die Ausbildung zum Sekundarlehrer in Physik und Mathematik (1974), dann eine Zimmermannslehre (1978) und entsprechende Weiterbildungen. Später (1994) wurde ich Sekretär bei der GBI (Gewerkschaft Bau und Industrie) Bern, Regiosekretär bei der GBI Region Bern (1999), Leiter der Unia Region Bern (ab 2005), Pensionierung 2015.

Sidler Roland

Sigerist Peter, Zeugnis

Peter Sigerist.
Als jüngster Spross von dreien in einer in den 1960er-­‐Jahren verarmten Kleinbürgerfamilie im langen ökonomischen Aufschwung am 25.7.49 geboren. Der Vater aus früher gut bürgerlichem Milieu mit entsprechendem Habitus gescheiterter Kleinunternehmer (Weinhändler), militaristisch und religiös und entsprechend patriarchalisch, politisch FDP plus Schwarzenbach ausgerichtet, die Mutter sich protestlos leidend ein-­ und unterordnend.
Die Verarmung verdrängte uns aus der Vorstadt (Wabern b/Bern) ins günstigere Bauerndorf (Richigen b/Worb).
Nach meiner ökonomischen Unabhängigkeit dank einer kaufmännischen Lehre in Bern (1965–1968) folgte der Bruch mit den Eltern und den beiden Geschwistern, die sich diesem engen Korsett unterordneten, und das Abnabeln von ihren Überzeugungen und Werten. Dies war für meine persönliche Entwicklung notwendig, und sie erlaubte mir die Rückkehr in die Stadt Bern. Die Distanziertheit gegenüber den Geschwistern, mit nur wenigen sporadischen und oberflächlichen Kontakten, dauert bis heute an – ohne Bitterkeit und Bedauern.

Sigerist Peter

Simonin François, témoignage

François Simonin, né à Yverdon le 24.11.1951. Père ouvrier chez Paillard (pas militant), mère secrétaire puis gérante d’une pension de type familial, très conviviale. Mon père, il me disait : « Quand je vois le patron sur la place du Marché, je vais boire un verre avec lui, m’emmerde pas avec ton syndicat ! » Sauf que, quand Paillard a voulu fermer, il a voulu se syndiquer... je lui ai dit : « C’est pas un peu trop tard ??? » J’ai fait un apprentissage de maçon dès l’âge de 16 ans. J’ai travaillé d’abord comme ouvrier qualifié dans des entreprises de chantier vaudoises, puis au Tchad avec Swissaid en 1971. Retour en Suisse en 1973, travail dans une entreprise nyonnaise de construction. En 1976, j’ai fait une école de contremaître : ce que j’avais compris de la théorie trotskyste, c’est que plus on était compétent dans son entreprise, mieux c’était pour militer (certains camarades ont beaucoup critiqué mon choix). En 1983, je suis reparti travailler au Tchad avec la DDC, retour en 1988. Licencié par mon entreprise nyonnaise qui veut se débarrasser des syndicalistes actifs, j’ai entrepris avec mes indemnités de départ une formation de directeur d’institution sociale, en 1995, et j’ai repris la pension de ma mère. Cette pension, que j’ai dirigée durant 22 ans, a été reconnue comme foyer socio-éducatif. Je suis sur le point de prendre ma retraite et j’habite actuellement de nouveau à Yverdon avec ma troisième épouse. Je suis toujours au syndicat Unia, même si ce que je fais n’a plus rien à voir, je n’ai pas pu arrêter de payer mes cotisations... J’ai cinq enfants, dont deux jeunes Haïtiens adoptés.

Simonin, françois

So.U., Zeugnis

S. U., geboren 1948, Sektion Zürich
geboren 10.3.48, als älterer von 2 Söhnen Elternhaus obere Mittelschicht (in 1. Generation), geistig offen, gesellschaftlich liberal und sozial engagiert aufgewachsen an verschiedenen Orten in den Kantonen Zürich und Zug, den Karriereschritten des Vaters folgend, Mutter Hausfrau
Eigene Familie verheiratet mit Madleina Ragaz, Lehrerin und Wirtin, seit bald 30 Jahren 4 erwachsene Kinder aus 3 Ehen, 2 Enkelinnen und 1 Enkel, im Wallis und in den USA, dh. Grossvater sein nicht in den Alltag integrierbar wohnhaft seit bald 30 Jahren in Masein, in der “Alpinen Brache“

S.U.

Sueri Claude, témoignage

22 septembre 1951. Je suis l’une des trois enfants d’un médecin de campagne installé à Orbe, où j’ai vécu toute mon enfance. Mon père, fils de pasteur, a rejeté très tôt la religion et s’est radicalisé politiquement dans les années 50, pour militer très activement au Parti socialiste, à défaut de POP à Orbe. Il était appelé dans toute la ville « L’œil de Moscou »…, bien qu’il n’ait jamais suivi sans critiques la doctrine orthodoxe des partis communistes. Il était aussi très actif dans la lutte antinucléaire. Ma mère était la fille unique d’une couturière veuve très tôt, qui a travaillé d’arrache-pied pour gagner leur vie à toutes deux ; elle a vécu dans un milieu de petits artisans fauchés la plupart du temps, où l’on travaillait beaucoup, mais où l’on s’amusait tout autant : la vie était belle malgré les dettes et les saridons avalés pour terminer les commandes. Ma mère ne travaillait pas afin de nous élever tous les trois, mais elle était très engagée dans la lutte pour le suffrage féminin, puis au Conseil communal d’Orbe au PS.

Après mon bac, j’ai commencé diverses études à l’uni, sans grande conviction, surtout intéressée par la liberté de la vie académique. Après quelque temps en lettres, j’ai « échoué » en faculté de droit où j’ai obtenu une licence. J’ai travaillé ensuite à temps partiel comme greffière-substitut au Tribunal cantonal vaudois où je rédigeais des jugements sans enthousiasme excessif, travail purement alimentaire qui n’a eu qu’un seul avantage, m’apprendre l’écriture.

Je me suis mariée en 1971 avec D., qui a répondu de son côté au même questionnaire. Nous n’avons pas eu d’enfants, par choix. Notre couple a tenu le coup et sa longévité (45 ans !) nous donne le vertige.

Après des années de rédaction de jugements à mi-temps, j’ai fini par craquer en 2004 ; et comme en plus, mes séquelles de polio commençaient à provoquer des fatigues invalidantes, j’ai arrêté de travailler pour avoir le rythme de vie adéquat. Mon dernier jour de travail a été le plus beau de ma vie. Depuis, j’écris des bouquins pour mon plaisir, des bouquins pas sérieux, un polar, des nouvelles. Je me publie toute seule et je m’embête pas à chercher un éditeur.

Süri, Claude

Sueri Daniel, témoignage

Süri Daniel, 5 mars 1951, famille ouvrière (père mécanicien poids lourds, mère infirmière puis femme au foyer, frère monteur en chauffage), naissance à Laupen (BE), enfance et apprentissage à Orbe. J’ai quatre formations professionnelles attestées ; dans l’ordre d’obtention : CFC d’employé de commerce, licence ès sciences politiques, CFC de monteurcopiste, Certificat universitaire de formateur d’adultes. Au moment où j’adhère à la LMR, je suis marié, sans enfant. Actuellement retraité, j’ai été rédacteur à l’Année politique suisse et chercheur au FNS, ensuite rédacteur à La Brèche, puis ouvrier, qualifié en cours d’emploi, dans l’imprimerie, pour passer ensuite dix ans à la Centrale suisse d’éducation ouvrière (aujourd’hui Movendo). Ensuite traducteur et formateur d’adultes indépendant jusqu’à la retraite.

Sueri, Daniel

Thévenaz-Christen Thérèse, témoignage

Thévenaz-Christen, Thérèse, 19 février 1949 ; parents : gérants d'un garage, père, mécanicien avec maîtrise fédérale ; mère : travailleuse domestique, formation de laborantine, secrétaire-comptable du garage en gérance. Famille domiciliée à Cully.
Militante à Lausanne d'abord. Je suis entrée à la LMR en tant qu'étudiante, maturité commerciale à Lausanne, licence de sociologie, brevet d'enseignement genevois (degré élémentaire), diplôme de didactiques des disciplines en sciences de l'éducation, thèse en didactique du français, sciences de l'éducation.
Célibataire.
Occupations prof. successives: secrétaire de direction à Zurich et à Genève ; assistante à l'Université de Genève, Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation ; enseignante primaire, formatrice en didactique du français ; chargée d'enseignement, puis maître d'enseignement et de recherche à l'Université de Genève en didactique du français (sciences de l'éducation). Actuellement retraitée.

Thévenaz-Christen, Thérèse

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