Affichage de 37 résultats

Description archivistique
homme
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Affichage :

37 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Eschmann Jacques, témoignage

Jacques Eschmann, 27 février 1947, originaire de Vellerat JU.
Origine sociale modeste : mes deux grands-pères étaient ouvriers d’usine, mes deux grands-mères femmes au foyer. Mes deux parents ont fait un apprentissage d’employé-e de bureau. Puis mon père a gravi les échelons jusqu’à devenir gérant d’une entreprise correspondant aujourd’hui à une Landi cantonale, où il a fait toute sa carrière professionnelle. Ma mère a cessé son activité professionnelle après son mariage.
Je suis l’aîné d’une famille de 6 enfants.
J’ai toujours habité à Delémont jusqu’à l’âge de 19 ans, puis je suis parti à l’université de Fribourg, ville que je n’ai plus quittée.
Ecoles primaire et secondaire à Delémont, maturité scientifique à l’Ecole cantonale de Porrentruy, études universitaires à Fribourg (licence en sciences). J’ai pratiqué l’enseignement jusqu’à ma retraite au niveau du secondaire II.
Au moment de fonder la LMR de Fribourg (1971), j’étais fraîchement marié, sans enfants.
De profession, j’étais alors assistant en géographie à l’Uni de Fribourg et enseignant (quelques heures par semaine). Après avoir quitté l’uni en 1975 (raison : interdiction professionnelle pour
« appartenance à une organisation [la LMR] qui a soutenu l’occupation de la Mensa de l’Uni de Fribourg », selon l’ « acte d’accusation » du Conseil d’Etat fribourgeois), j’ai progressivement augmenté mes heures d’enseignements (géographie et français langue étrangère) aux Cours d’Introduction aux Universités suisses (CIUS) jusqu’à la fermeture de cette école (fin 2011), à la suite de quoi j’ai pris ma retraite. De 2000 à 2011, j’étais enseignant dans cette école, mais aussi vice-directeur à quart temps. De 1991 à 2001, j’ai également été conseiller communal (exécutif) à temps partiel à la ville de Fribourg.
Retraité depuis janvier 2012.

Eschmann, Jacques

Francioli Renaldo, témoignage

Nom : Francioli
Prénom : Renaldo
Né en 1942
Origine sociale : classe moyenne (père dessinateur architecte, mère au foyer.) Milieu familial : 2 frères.
Ville et région activité : Lausanne et Vaud
Collège Classique, Gymnase, EPUL (ing.-civil).
Italien à la naissance, suisse par naturalisation des parents.
Célibataire à création de la LMR.
Marié et 3 enfants.
J’ai travaillé dans la coopération (Helvetas), puis avec des entreprises privées suisses et françaises. A partir de sept.1965, travail à l’étranger : Canada, Cambodge, Cameroun, Lybie, Bénin, Zaire, Cameroun, Guinée, Madagascar, Tanzanie, Burundi, Rwanda, Cong Brazza, Tchad.
Séjour en Suisse : 1966-1967 : 10 mois
1968-1970 : 2 ans 1973-1974 : 1 an
Actuellement retraité.

Francioli, Renaldo

Gaillard Olivier, témoignage

Gaillard, Olivier, 10 mai 1948. Un père pasteur, conservateur voire réactionnaire, plutôt mal dans sa peau et dans son rôle, et une mère institutrice, pleine de principes archaïques, mais qu’elle a su assouplir au fil du temps pour devenir une personne ouverte et gaie.
Enfance à Payerne, adolescence à Vevey, puis Dompierre (VD). Aucune inclination pour la religion, jamais. Après des études de Lettres à l’Université de Lausanne (licence en 1973), une année de stage SPES (brevet en 1974), et deux ans d’enseignement au Collège de Vevey (1974- 1976), j’ouvre une boutique de brocante-antiquité-artisanat. En 1991, je reprends l’enseignement (Gymnase de Nyon et collège de Nyon-Marens), puis, dès 1992, au Gymnase de Morges, jusqu’en 2012.

Gaillard Olivier

Godinat Gilles, témoignage

Godinat Gilles, né le 8.12.47, à Genève, dans une famille ouvrière. Scolarité à Genève, y compris mes études de médecine. Marié à deux reprises, père de trois enfants, dont une fille décédée. Médecin lors de mon adhésion à la LMR-PSO. Vie professionnelle dans un cabinet de groupe à Genève. Actuellement retraité. J’ai ainsi passé la plus grande partie de ma vie à Genève.

Godinat, Gilles

Gottraux Pascal, témoignage

Gottraux, Pascal, 6 mai 1957, Père patron d’une PME (paysagiste), mère institutrice. Lausanne. Famille plutôt de gauche. Scolarité à Renens, Lausanne, études à l’EPFL. Au moment de l’adhésion, j’étais célibataire et étudiant. Après mes études, j’ai eu divers postes en suisse dans le privé et comme assistant à l’EPFL (Doctorat en informatique) en tant qu’ingénieur en développement informatique. Depuis 2003 employé au Centre Informatique de l’UNI de Lausanne comme ingénieur en développement informatique (SAP).

Gottraux, Pascal

Graef Philippe, témoignage

GRAEF Philippe, né le 23 juin 1948 de famille bourgeoise (fabrique d’horlogerie) à La Chaux-de-Fonds. Ecoles secondaires au collège Champittet (internat) à Pully. Bac français à Besançon. Uni de Neuchâtel en fac de Lettres (grande époque de mon militantisme). Licence archéo + ethno. Autres écoles (Cinéma, architecture). Marié en 1981, deux fils. Engagements non professionnel puis professionnel dans le domaine du patrimoine architectural (Conservateur des Monuments et Sites pendant 2 ans). Organisateurs de voyages culturels depuis 20 ans.

Graef, Philippe

Graff Michel, témoignage

Graff Michel 28 08 1947,père avocat,mère écrivain.
Né à Lausanne,matu puis étude de medecine à Geneve de 68 à 69 puis à Lausanne jusqu'en 75. Formation de médecine générale avec pratique en cabinet de groupe à Yverdon de 1985 à 2014. A la retraite depuis 3 ans.
Pas d'expérience politique avant mon engagement à la ligue,très marqué par un voyage à Paris dans le cadre d'un convoi humanitaire de la Croix Rouge en mai 68 pour apporter des antidotes aux gaz lacrymogènes.Nous fûmes reçu à La Sorbonne occupée,moment rare où un monde nouveau semblait possible avec ces convois de paysans amenant la nourriture aux étudiants et le mouvement ouvrier fraternisant avec le monde étudiant....
Marqué aussi par l'engagement de mon frère François et la possibilité ainsi de partager avec lui certains idéaux.

Graff, Michel

Heimberg Charles, témoignage

Charles HEIMBERG, né le 17 février 1959 à Chêne-Bougeries près de Genève. J’ai eu une enfance dans une famille bourgeoise, aîné d’une fratrie de trois enfants. Mon père codirigeait un bureau de géomètre qui employait une vingtaine de personnes, ma mère était mère au foyer. C’était un milieu catholique, démocrate-chrétien, intéressé au football du côté masculin.
J’ai adhéré à la LMR en tant que collégien au début de l’année scolaire 1975-1976. J’y suis resté une dizaine d’années en militant surtout par la suite dans le secteur de la santé.
J’ai obtenu un diplôme de maturité en 1977, un diplôme d’infirmier en psychiatrie en 1980, une licence ès lettres (histoire et italien) en 1990 et j’ai soutenu une thèse de doctorat sur l’histoire du mouvement ouvrier en 1995.
J’ai été infirmier en psychiatrie, éducateur, enseignant d’histoire, puis formateur d’enseignants d’histoire. Depuis 2011, je suis professeur de didactique de l’histoire à l’Université de Genève.
À l’époque de mon adhésion à la LMR, je vivais chez mes parents. J’ai vécu en couple, dans un premier temps en colocation avec des amis, dès le début de 1977. J’ai eu un enfant en 1981. Un second est né en 1988.

Heimberg Charles

Hofer André, témoignage

Années militantes : 1977 – 1992
Années au parti (LMR, PSO) : 1979 - 1987
André Hofer né le 11 janvier 1957.
Grands-parents maternels ouvriers à Orvin BE, puis Bienne.
Grands-parents paternels paysans métayer dans l’Emmental BE.
Mère institutrice et père boucher, petits commerçants indépendants, habitant à Bienne.
Statut au moment de l'adhésion à la LMR en 1979 : étudiant, célibataire. Ma région d’activité militante s’est étendue de Bienne au Jura bernois.

Hofer, André

M.G., témoignage

Je suis né le 27 juillet 1948 à Châtel-St-Denis. J’ai une soeur de deux ans mon aînée. Mon père, paysan-fromager est décédé quelques mois avant ma naissance d’une tuberculose. Anecdote : une demande d’aide financière pour des soins onéreux, à l’époque, à la « Chaîne du Bonheur » a obtenu une fin de non-recevoir. Ma mère fut gérante du kiosque Naville de la gare. Elle partait travailler à 6 heures et rentrait vers 20 heures et gagnait de quoi nous permettre de survivre. Ma grand-mère, une femme bonne et généreuse s’occupait de nous au jour le jour. Autant dire que j’ai bénéficié d’une liberté quasi totale durant toute mon enfance. J’ai appris à me débrouiller et j’ai très tôt pris conscience de ma situation et décidé de me battre si je voulais « réussir » dans l’existence. J’ai eu une éducation catholique ouverte. Et ma première prise de conscience « humaniste » fut un beau jour de Noël. Devant la crèche de l’Eglise St-Nicolas de Châtel-St-Denis se trouvait une crousille. Sur cette crousille la statuette d’un noir qui baissait la tête chaque fois qu’une pièce y était glissée. Ecole primaire multi-âge à 40 élèves, école secondaire, Ecole de Commerce à Lausanne pour éviter l’internat à Fribourg. Et pour terminer HEC à Lausanne, soit 7 années à faire les trajets Châtel-Lausanne. Mon idée première était de réussir une carrière économique (sorte de revanche sur le
passé ?). C’est la rencontre avec des sympathisants de la LMR, dans le cadre universitaire, qui m’a mis sur le chemin vers un engagement plus social, soit l’enseignement. Pour autant que ma mémoire chronologique ne me trahisse pas, les événements de mai 68 se sont traduits à l’Uni de Lausanne par des cours parallèles sur le marxisme donnés par CH-A que j’ai suivi à la manière d’un étudiant studieux ! Autant que mes « camarades HEC » suivaient ceux d’un certain F. Schaller. La suite, 30 ans dans l’enseignement dont 28 à Yverdon, et pour finir comme directeur d’un établissement secondaire de 950 élèves, sous la forme d’une direction collégiale avec responsabilité directoriale, beaucoup de projets réalisés, un agenda 21 (environnement, citoyenneté) de l’établissement, une assemblée des élèves, des leçons à deux balles, etc. Actuellement : retraité.

homme

Résultats 11 à 20 sur 37