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Rieben Pierre, témoignage

Pierre Rieben, 1935, originaire de Neuchâtel. Famille de la petite bourgeoisie enrichie (grand-père ouvrier, arrière grand-père paysan). Famille protestante pratiquante jusque vers 1950, puis toujours moins. Père « libéral extrémiste ». Un neveu à la LMR à Lausanne. Ma mère, mes soeurs, beaux-frères alignés tous sur le padre (comme moi jusqu’en 1950 environ).
Adhésion à la LMR en 1969 : cofondateur. Marié avec Marie-Paule, qui avait déjà deux enfants que nous avons élevé ensemble. Mon fils, d’une femme précédente, vivait à Paris avec sa mère.
Etudes : collège latin, gymnase à Neuchâtel pendant un an et demi. Puis rupture : j’ai passé un an en Allemagne. De retour, au lendemain de Diên Biên Phu, école privée à Lausanne pour préparer et me faire passer un « préalable » à l’Université de Lausanne (Sciences-Po et HEC). Un an d’université, puis permanent du POP de l956 à l960, puis arrêt après l’affaire Mayerat (cf plus bas) de 1960 à 64, puis repermanent de 1964 à l’expulsion du parti en 1969, 3 mois avant la création de la ligue.

Rieben, Pierre

Ringger Beat, Zeugnis

Ringger Beat, 27.6.1955
Der Vater war Berufsschullehrer, die Mutter hat als Chefsekretärin gearbeitet. Beide haben ein abgeschlossenes Studium.
Wohnort zum Zeitpunkt des RML-­‐Beitritts war die Stadt Zürich bis 1983, danach Stadt Winterthur bis 1987, danach Winterthur Land bis 1999, danach wieder Zürich bis 2012, heute Aarburg (bei Olten). Ledig in dauerhafter Partnerschaft, keine Kinder.
Nach der Matur Oberseminar (Ausbildung zum Grundschullehrer), 3 Jahre Tätigkeit als Primarlehrer, danach zwei Jahre Studium der Wirtschaftsgeschichte, Abbruch und Aufnahme einer zweijährigen informellen Ausbildung im Bereich Maschinenmechanik, danach zwei Jahre Betreuer in einer Behindertenwerkstatt.
Anschliessend drei Jahre Studium Elektroingenieur HTL (Fachhochschule), danach 12 Jahre bei IBM Schweiz als Systems Engineer und Ausbildner, dann drei Jahre bei SMUV/GBI als Projektleiter „Gewerkschaftshaus“ (mündete in die Gründung der Unia), anschliessend ein Jahr Projektleiter //Syndikat (online-­‐Gewerkschaft).
Seit 2003 Zentralsekretär des VPOD (verantwortlich für den Gesundheitsbereich) und geschäftsleitender Sekretär des Denknetz.
Seit 2015 teilpensioniert beim VPOD; Weiterarbeit als Denknetz-­‐Geschäftsleiter.

Ringger Beat

Rossi Martino, témoignage

Martino Rossi, 31.07.1944, né à Viganello, j’habitais à l’époque de l’adhésion à la LMR à Massagno, aujourd’hui à Lugano. Mon père était avocat et il était proche du « Partito Conservatore » (aujourd’hui « Partito Popolare Democratico »), section du Parti Démocrate Chrétien Suisse, tandis que ma mère était proche du « Partito Liberale Radicale Ticinese », section des Libéraux-Radicaux suisses. Au moment de mon adhésion à la LMR (1973) j’étais marié depuis moins de deux ans et je n’avais pas d’enfants. J’avais obtenu une licence en économie politique (Université de Fribourg, 1967) et je travaillais dans une unité de recherche économique appliquée du Département cantonal
de l’économie publique, devenue plus tard Institut de recherches économiques rattaché à l’Université de la Suisse italienne. Dès 2007 jusqu’à fin 2009 (retraite), j’ai assumé la direction de la Division de l’action sociale et de la famille du Département cantonal de la santé et des affaires sociales.

Rossi, Martino

S. U., témoignage

Né le 27.1.1943 en Suisse alémanique, dans une famille de couche moyenne aisée et conservatrice.
Père juriste et cadre dans une grande entreprise, mère bien occupée à la maison avec les quatre enfants. Sentiment de sécurité affective et matérielle pendant l’enfance, auquel l’ambiance conformiste mélangeait peu à peu de l’ennui. Maturité à l’école cantonale d’une petite ville de Suisse allemande ; il n’y avait pas d‘enfant d’ouvrier ou d’employé modeste parmi nous, les garçons portaient la cravate et se préparaient à suivre le parti radical ou le parti chrétien-social, et à grader dans l’armée. Études de médecine, à Genève pour changer d’air. Travail dans des cliniques et spécialisation en psychiatrie, puis en cabinet privé jusqu’à ma retraite en 2016, toujours à Genève. Entré à la LMR en 1971/72, étant marié et bientôt père d’un enfant né en 1972. Sorti du PSO en 1986.

S.U.

S.A., témoignage

AS, né le 11.10.1948 à Schiers aux Grisons. Adhésion en 1975, étudiant en médecine en fin d’études ; marié, un enfant à ce moment.
En ce qui me concerne, depuis l’âge de 12 ans, je voulais devenir vétérinaire comme un de mes frères. J’avais cependant également un intérêt pour la musique, je pratiquais assez intensément le violoncelle, et la varappe et j’envisageais aussi la perspective de guide montagne. Cependant, avec l’effervescence de 1968, j’ai abandonné le projet de devenir vétérinaire. J’avais l’impression que les choses importantes se passaient dans les villes, dans la classe ouvrière organisée, et non pas à la campagne et dans la paysannerie de montagne. Ayant réussi le premier examen de médecine, je pensais un moment à la physique théorique comme mon père mais finalement, j’ai choisi la solution la plus facile, à savoir continuer la médecine, un choix par défaut, un plan B qui explique probablement le fait que je gardais toujours une distance critique par rapport à la médecine et le corps médical.
Entre 1975 et 1984, j’ai fait une formation en médecine interne hospitalière complétée par une formation en médecine du travail. Je me suis installé en 1984 dans un cabinet de groupe avec un interniste-rhumatologue et deux psychiatres, dont Gilles Godinat, également militant au PSO. Au moment de l’installation, j’ai postulé, mais sans grande conviction, pour un poste de médecin d’entreprise de l’Hôpital Cantonal. D’une manière tout à fait prévisible, j’ai été victime d’une interdiction professionnelle, une décision qui ne m’a pas beaucoup touchée car elle était prévisible et, d’une certaine manière, évidente. En plus, mon installation privée me convenait parfaitement
bien car elle me donnait beaucoup de liberté pour militer.
Après mon installation, sachant que je n’allais pas terminer ma trajectoire professionnelle comme interniste généraliste et étant confronté à quelques difficultés existentielles, j’ai entrepris une psychanalyse. Ayant toujours eu un intérêt pour la psychosomatique et la psychanalyse, je me suis formé en psychosomatique psychanalytique à Paris et finalement vers l’an 2000, j’ai commencé une formation psychanalytique que j’ai « terminée » en 2012.

S.A.

S.A.A., témoignage

Née à Athènes en 1944 de parents athées. Père sympathisant du PC, parents cultivés. Part étudier à l'étranger à 18 ans. A 24 ans, licence en sciences politiques, diplôme de traductrice et demande en mariage.
Milite dans les milieux émigrés grecs d'opposition. Après la naissance de son fils en 1972, réduit son activité professionnelle et se sensibilise au discours féministe. Reprend des études en droit et rencontre des étudiants politiquement engagés, dont un membre de la LMR. Après son adhésion, milite dans le travail femmes. Intéressée par les possibilités de formation et de rencontres offertes par l'organisation.
Participe à la création de l'OFRA et de la revue "A tire d'elles". Collabore avec de nombreux groupes féministes. Bilan plutôt positif de son passage dans l'organisation. Reste active dans la presse militante et associative, engagée dans la 4e Marche Mondiale des Femmes et ATTAC.

A.S.A.

S.A.L., Zeugnis

S.A.L, 23.8.1950,
Eltern Druckereiunternehmer, Einzelkind, Zürich, KV, Matura C, ETH und Uni. Ledig, Freundschaft, keine Kinder. Stellvertretungen an der Volksschule, Einstieg als Projektleiter und Organisator im Detailhandel, Lehrgangsverantwortlicher und Kursleiter für Manager an psychologischem Institut, selbstständig als Kursleiter und Berater im Bereich Führung + Kommunikation; Personal-­‐ und Unternehmensberater.

S.A.L.

S.P., Zeugnis

S.P.. 2.7.1956 Arbeiterfamilie, viertes Kind einer achtköpfigen Familie (5 Brüder) Baden/Aargau.
Ledig, „feste“ Beziehung zum Zeitpunkt des RML-­‐Beitritts.
5 Jahre Primarschule, 4 Jahre Bezirksschule, 1,5 Jahre Gymnasium (abgebrochen wegen schlechter Noten), ½ Jahr Pro Juventute-­‐Sozialpraktikum, 2 Jahre Kindergärtnerinnen-­‐Seminar, 12 Jahre Berufstätigkeit als Kindergärtnerin (davon 3 Jahre in Mailand); Weiterbildungen (Sprachen, Kompost-­‐ und Umweltberatung, Bürofachdiplom); Mutterschaft und einige Jahre Hausfrau; 5 Jahre Kompostberatung in grosser Zürcher Wohnbaugenossenschaft; seit 2000 Assistentin Geschäftsleitung ebenda.
Verheiratet, ein erwachsener Sohn.

S.P.

Sautebin Marie-Thérèse, témoignage

Née en France le 9.8.1947
Etudes de lettres à l’Université du Mans et de Caen, licences d’anglais et d’espagnol.
Enseignement des langues au Collège au Mans (68-72).
72, mariage avec Paul. Arrivée en Suisse sans trouver l’emploi correspondant à mes études.
72-92, divers boulots à temps partiel (cours de langues, secrétariat dans l’horlogerie et dans un cabinet d’avocates). Priorité mise sur l’engagement militant et non sur l’activité professionnelle.
78, naissance de David et poursuite de l’engagement.
87-92, reprise des études à la FAPSE, licence en Sciences de l’éducation.
93, activités professionnelles comme formatrice d’adultes, création d’un institut de formation pour adultes à Bienne, Espace de femmes pour la formation et l’emploi, devenu Espace de formations-Formation d’espaces (effe). Séparée en 97, puis divorcée.
2011, retraite professionnelle et engagement ponctuel comme formatrice bénévole en Afrique (Coopération pédagogique en Afrique – CPA).

Sautebin, Marie-Thèrèse

Scheu Andreas, Zeugnis

Scheu Andreas, geboren 1955, Sektion Zürich, später Sektion Winterthur
Aus dem Gymnasium geflogen, dann Sekundarschule und Berufslehre als Chemielaborant, später, 1981, mit KME (Kantonale Maturitätsschule für Erwachsene) Erwachsenenmatur gemacht, nicht studiert.
Heute Gewerkschaftssekretär, Unia.
Aus Passgründen 1991 spanische Liebe geheiratet. 1995 Tochter geboren (Doppelbürgerin). Trennung 1999.
Heute wieder Single. Kindererziehung und Betreuung 50:50 geteilt.
Vater (CH) Arzt, Mutter (D) ausgebildete Lehrerin und Geschäftsfrau im elterlichen Werkzeugmaschinenhandel in Frankfurt, nach der Heirat Hausfrau und Mutter.
Ich komme aus einer traditionell linksintellektuellen Familie, wusste das aber mit 16 noch nicht genau.
Der Urgrossvater (Heinrich Scheu) hat die Österreichische SP mitgegründet und kannte Marx und v.a. Engels persönlich.
Grossvater: linker Arzt, Kollege und Freund von Fritz Bruppacher.
Grossmutter: Ärztin, linke Jüdin aus Russland (Bundistin). Sie war Delegierte im Kiewer Sowjet 1905, später im Umfeld der SP-­‐Linken und der KPS.
Wir wurden fortschrittlich, gegen Krieg und für (soziale) Gerechtigkeit erzogen ohne die politische Familiengeschichte zu kennen. Mein Vate hatte im Kalten Krieg Angst (Konrad Farner war ein Freund der Familie) und taufte mich darum sogar, obwohl wir nie in die Kirche gingen.

Scheu Andreas

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