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Dossiers thématiques et autres documentations

Chemises 1 à 3 (dossiers thématiques) [Boîte 052] :
Dossiers reposant essentiellement sur une sélection d’articles de presse regroupés par sujet pour la période ~2000-2018 : amiante dans les transports publics, les hôpitaux, les écoles, procès des victimes de l’amiante, interdiction de l’amiante au Canada, associations de victimes, amiante dans les tunnels (Lötschberg, Gothard), SUVA, utilisation d’amiante par ABB et Alstom.

Chemises 4 à 21 (divers) [Boîtes 052 et 053] :
Ensemble assez hétéroclite de documents (pour la plupart 2014-2018), dont certains ont servi de sources aux articles publiés dans le bulletin de CAOVA AlerteAmiante ; avec notamment :
• Incendie tour Grenfell (2017) [5]
• Travail universitaire de M. Takkouche et M. Valtuena : « analyse critique du scandale de l’amiante en Suisse » (2018) [10]
• Amiante en Colombie [13]
• PV d’une table ronde organisée par l’association française de victimes Andeva 93, "Les femmes dans le combat contre l’amiante" (témoignages de veuves ayant perdu leur mari à cause de l’amiante) [15]
• Quelques documents officiels (Confédération, BIT), notamment dans la chemise 16
• Travail d’élèves du Collège Calvin sur l’affaire "sur l’affaire H. Moor". Ces élèves s’étaient rendus chez F. Iselin pour s’informer [17]
• Études de l’European Trade Union Institute (ETUI) : « Les cancers professionnels : une plaie sociale trop souvent ignorée », 2007 ; « Les rouages de la politique de santé et de sécurité dans l’Union européenne : histoire, institutions et acteurs », 2015 [19]
• Ordonnance du Conseil fédéral de 2004 relative à la Convention de Rotterdam, deux documents juridiques français, débat au Parlement européen sur l’amiante en 1977 [21]

Durussel Claude, témoignage

Claude Durussel, né le 22 janvier 1948 à Neuchâtel. Père représentant de commerce et mère vendeuse. Après une jeunesse à Bruxelles où j’ai commencé à me conscientiser politiquement, j’ai fait une matu au gymnase de la Cité puis une licence en science po à l’Uni de Lausanne acquise en 1971. Après un long voyage de presque 2 ans et divers petits boulots, j’ai commencé à enseigner au collège en 1974 jusqu’à ma retraite en 2010. J’ai 2 enfants de 38 et 28 ans et 2 petits- enfants de 4 et 5 ans. Je vis avec ma partenaire depuis une trentaine d’années.

Claude Durussel

ELSA, témoignage

ELSA, née le 24.04.1948.
Je suis née de parents ouvriers, militants; mon père était tourneur, et ma mère régleuse : tous deux dans l’horlogerie. Ils ont été des militants de la JOC ET DE L’ACO, des chrétiens engagés sur le plan social. Ils ont créé, avec des amis, le
Mouvement Populaire des Familles et mon père a participé à la création d’une section du Parti Socialiste aux Franches-Montagnes. Il était aussi un grand militant syndicaliste à la FOMH, à l’époque, puis à la FTMH.
Ma mère très qualifiée, a travaillé à domicile pour s’occuper de ses 4 enfants, dont je suis l’aînée.
Ils m’ont formée aux questions sociétales, à leur manière, entachée de culture religieuse.
A l’époque de mai 68, je rencontre Zverkov, militant au POP, à l’époque, juste avant sa distanciation de ce dernier Parti, auquel je n’aurais jamais pu adhérer…..
A l’époque, les garçons avaient le privilège de poursuivre des études. Mes 3 frères avaient donc la priorité. Ai fait la formation d’enseignante primaire, sans grandes convictions, puisque mon père a refusé que je rejoigne le gymnase. Ai pratiqué l’enseignement selon les méthodes Freinet avec un groupe de mordus aux Franches – Montagnes. En garde un bon souvenir de créativité et d’inscription dans une école favorisant l’égalité de chances et la créativité.
Pour rejoindre le lieu de travail de Zverkov, devenu mon mari, j’ai quitté l’enseignement aux Franches-Montagnes. Lui, suivait les cours aux canetons avec Charles-André Udry, tandis que je m’occupais de notre premier bébé.
Ensemble nous sommes devenus membre de la LMR.
Ai suivi ensuite la première formation d’enseignante spécialisée, puis formation psychanalytique et systémique. Suis certifiée en thérapie familiale et travail avec les familles migrantes. Ai travaillé 38 ans dans la pédagogie spécialisée. Depuis 1998, en parallèle, je pratique , en collaboration avec un pédopsychiatre, des entretiens de familles, avec un grand bonheur. Ai pris une retraite anticipée pour accompagner Zverkov dans la dernière phase de sa vie…

ELSA

Ebel Marianne, témoignage

Je suis née le 31 juillet 1948 dans l’Emmental, comme mon frère aîné. Mon père, médecin, avait décidé d’ouvrir son cabinet dans le village de son enfance. En 1950, peu avant la naissance de mon frère cadet, mes parents ont déménagé à Moutier, petite bourgade industrielle du Jura bermois. Je n’ai pas de souvenirs personnels de notre arrivée dans cette ville romande, déchirée par le conflit jurassien auquel mes parents ne se sont jamais mêlés. M’étant dès le début de la scolarité identifiée comme romande et jurassienne, je me suis souvent demandée comment j’aurais évolué si j’avais grandi à la campagne en Suisse alémanique. Dès l’âge de 8 ans, sentant confusément que les Bernois étaient plutôt mal vus à Moutier, j’ai tenté de cacher mon origine à tout le monde. Ma première humiliation remonte à l’école primaire: à 7 ans, je comprenais le français (entendu pendant un an à l’école enfantine), mais ne savais pas encore le parler. Comment dès lors éviter que la maîtresse ne traduise ses consignes pour moi? Sa gentillesse m’accablait. Une des premières phrases que j’ai apprise et prononcée en français a été : «Oui, oui j’ai compris ». Tout au long de notre enfance, mes parents ont valorisé notre formation scolaire, et exigé - « pour être justes »- que leurs quatre enfants participent à tour de rôle aux diverses corvées domestiques. Mais sur le fonds l’éducation restait traditionnelle : « les garçons doivent se donner les moyens de faire de bonnes études, pour les filles c’est moins important. » Ils m’envoyèrent à l’Ecole de Commerce à Bienne avec cette conviction qu’une fille doit avoir un métier au cas où son mari tomberait malade ou pire mourrait. Ce fut ma première révolte. Au bout d’un an, mes parents cédèrent et je fis le gymnase comme mes deux frères, et comme le fit plus tard ma petite soeur, la cadette de la famille. Je suis entrée à l’université de Lausanne en septembre 1968.

Ebel, Marianne

Einsele Gabi, Zeugnis

Einsele Gabi (Gabriele), geboren am 20.9.1956 in Zürich, aufgewachsen in bürgerlichen Verhältnissen in Baden (bis 1967), danach in Ennetbaden (1968 –1976).Der Vater war Chemiker, die Mutter kaufmännische Angestellte/Hausfrau. Ich habe zwei Geschwister. Wir sind Schweizer, wir trugen jedoch einen deutschen Familiennamen (beide Elternteile stammen aus Familien von eingewanderten Deutschen). Mein Vater war Sympathisant der Freisinnigen Partei und Mitglied eines Service-Clubs (Lions) – meine Mutter hatte bis 1971 keine bürgerlichen Rechte, sie schien es auch nicht zu vermissen.

Gabi Einsele

El Hewehi Fausi, Zeugnis

EL-HEWEHI MARTI, Fausi, 6.2.1952, Sohn eines Ägypters und einer Schweizerin, in Ägypten geboren und seit früher Kindheit in der Schweiz (Allschwil BL, dann Basel). Während RML-Zeit in Basel wohnhaft, in fester Partnerschaft, keine Kinder (erst ab 1982), Student bis 1978, dann Lehrer und Entwicklungshelfer. Beruflich meist als Lehrer tätig (Basel, Barcelona, Burgdorf, Bern, Biel), zuerst auf Gymnasialstufe, dann als Fachhochschuldozent, seit 2016 in Rente

El Hewehi Fausi

Emission de la Télévision suisse romande "Face aux partis" élections fédérales, 8 octobre 1979

En 1979, quelques semaines avant les élections fédérales, la TSR ouvre le débat avec les partis politiques en lice. Ces derniers sont invités à présenter leur programme et à répondre aux questions des journalistes Gaston Nicole et Marc Schindler, dans le cadre de l'émission Face aux partis.

Le 8 octobre 1979, c'est au tour de la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR), représentée par la Genevoise Claire Magnin et le Vaudois Charles-André Uldry, d'être sur la sellette.

Dans cet extrait, le journaliste Gaston Nicole attaque: "Vous prétendez être le seul parti ouvrier, mais pourquoi ne trouve-t-on pas de représentants ouvriers dans vos listes de candidats en Suisse romande?".

Radio télévision suisse, archives

Emission de la Télévision suisse romande - 40 heures - Michel Thévenaz

Au mois de novembre 1973, les Organisations progressistes de Suisse (POCH), soutenues par la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR) déposent une initiative visant à généraliser les 40 heures hebdomadaires de travail. Trois ans plus tard, lors d'un débat télévisé qui a lieu quelques jours avant la votation du 5 décembre 1976, Michel Thevenaz, le bouillant représentant de la LMR, affirme que la prospérité suisse rend possible la mise en oeuvre rapide de cette initiative.

RTS (Radio Télévision suisse)

Emission de la Télévision suisse romande sur l’affaire des fiches - avec témoignage de 2 (ex) militants - P. Siegrist et J. Eschmann

Au début des années 90, l'affaire Kopp met en lumière des dysfonctionnements graves au Département de Justice et police. Durant leur travail d'enquête, les membres de la commission parlementaire découvrent l'existence d'importants fichiers constitués illégalement. C'est le début d'un énorme scandale: plus de 900'000 fiches tracent les activités les plus quotidiennes de Suisses et d'étrangers, essentiellement des personnes de gauche.

Sous la pression de l'opinion publique et de la presse, Berne est contraint d'ouvrir ses fichiers. Ce reportage de Tell Quel suit plusieurs personnes fichées découvrant leur dossier. C'est tout une organisation de flicage, avec notamment l'emploi d'indicateurs souvent proches des personnes suivies, qui éclate au grand jour.

RTS (Radio Télévision suisse)

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