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Description archivistique
Fonds de témoignages d'anciennes et anciens militants Texte
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Diethelm Urs, Zeugnis

Mutter Apothekerin und später Studium in Urgeschichte, Vater Primarlehrer, vor seiner Pensionierung Schulhaus-Vorsteher; geboren und aufgewachsen in Riehen/Basel. Als Gymnasiast Beitritt zum Maulwurf und dann zur RML; nach politisch motiviertem Rausschmiss aus Gymnasium (schon als Maulwurf und RML-Mitglied) von 19 bis 25 Jahren Jungendsekretär der RML/SAP (Gründungszeit der Revolutionären Sozialistischen Jugend (RSJ/JSR), die aus den Maulwurfgruppen entstanden ist).
Nach verschiedenen Berufsverboten Lehre und Arbeit als Zimmermann in Schaffhausen, dann Meister und Bauführer-Weiterbildung an der Fachhochschule. Mitarbeit in den Soldatenkomitees, wegen später Dienstverweigerung (letzter WK). 1 Jahr Bauführer für den Bau eines Gewerkschaftshauses in Guatemala, dann Bauführer in verschiedenen Architektenbüros in der Schweiz und zuletzt 1 Jahr als Geschäftsführer in einer gewerkschaftseigenen Schreinerei/Zimmerei.
Seit dem 42. Lebensjahr IV-Rentner wegen Krankheit, als Rentner Gewerkschaftsvertreter in der EKAS-Bau, Laienrichter am Arbeitsgericht und fast Fulltimer in politischen Aktivitäten.

Urs Diethelm

Dolivo Jean-Michel, témoignage

Jean-Michel Dolivo, 15 novembre 1951, né à Paris, père pasteur et mère enseignante au gymnase. A Bienne de 1956 à 1969, Lausanne de 1969 à 1972, Bienne de 1972 à 1981, Lausanne de 1981 à ce jour. Maturité fédérale en 1969, gymnase de Bienne, Université à Lausanne en sciences sociales et politiques, mention histoire, de 1969 - 1972, licence en sciences sociales et politiques 1972. Adhésion à la LMR en mars 1972. Célibataire.
Enseignant histoire au gymnase de Bienne de 1973 à 1975. Licenciement : Berufsverbot (interdiction professionnelle). Remplacements dans des écoles secondaires. Permanent de la LMR (secrétariat du BP) au niveau national de 1976 à 1979. Implantation dans la métallurgie (tourneur-fraiseur) de 1979 à 1981. De 1981 à 1984, permanent du PSO à Lausanne. 1984-1987 études en droit, licence, à l’Université de Lausanne. Enseignement dans des écoles privées. 1987 à 1990, stage d’avocat à l’Etude de l’ASLOCA à Genève (maître de stage Nils de Dardel). 1990-1991, juriste remplaçant au Département des travaux publics à Genève (Grobet). Dès 1991, avocat à Lausanne pour la FOBB, le SIB, secrétaire politique de l’Union syndicale vaudoise (USV), avec Gérard Forster. Avocat du syndicat unia. Création en 2005 du Collectif d’avocat-e-s.

Dolivo Jean-Michel

Durussel Claude, témoignage

Claude Durussel, né le 22 janvier 1948 à Neuchâtel. Père représentant de commerce et mère vendeuse. Après une jeunesse à Bruxelles où j’ai commencé à me conscientiser politiquement, j’ai fait une matu au gymnase de la Cité puis une licence en science po à l’Uni de Lausanne acquise en 1971. Après un long voyage de presque 2 ans et divers petits boulots, j’ai commencé à enseigner au collège en 1974 jusqu’à ma retraite en 2010. J’ai 2 enfants de 38 et 28 ans et 2 petits- enfants de 4 et 5 ans. Je vis avec ma partenaire depuis une trentaine d’années.

Claude Durussel

ELSA, témoignage

ELSA, née le 24.04.1948.
Je suis née de parents ouvriers, militants; mon père était tourneur, et ma mère régleuse : tous deux dans l’horlogerie. Ils ont été des militants de la JOC ET DE L’ACO, des chrétiens engagés sur le plan social. Ils ont créé, avec des amis, le
Mouvement Populaire des Familles et mon père a participé à la création d’une section du Parti Socialiste aux Franches-Montagnes. Il était aussi un grand militant syndicaliste à la FOMH, à l’époque, puis à la FTMH.
Ma mère très qualifiée, a travaillé à domicile pour s’occuper de ses 4 enfants, dont je suis l’aînée.
Ils m’ont formée aux questions sociétales, à leur manière, entachée de culture religieuse.
A l’époque de mai 68, je rencontre Zverkov, militant au POP, à l’époque, juste avant sa distanciation de ce dernier Parti, auquel je n’aurais jamais pu adhérer…..
A l’époque, les garçons avaient le privilège de poursuivre des études. Mes 3 frères avaient donc la priorité. Ai fait la formation d’enseignante primaire, sans grandes convictions, puisque mon père a refusé que je rejoigne le gymnase. Ai pratiqué l’enseignement selon les méthodes Freinet avec un groupe de mordus aux Franches – Montagnes. En garde un bon souvenir de créativité et d’inscription dans une école favorisant l’égalité de chances et la créativité.
Pour rejoindre le lieu de travail de Zverkov, devenu mon mari, j’ai quitté l’enseignement aux Franches-Montagnes. Lui, suivait les cours aux canetons avec Charles-André Udry, tandis que je m’occupais de notre premier bébé.
Ensemble nous sommes devenus membre de la LMR.
Ai suivi ensuite la première formation d’enseignante spécialisée, puis formation psychanalytique et systémique. Suis certifiée en thérapie familiale et travail avec les familles migrantes. Ai travaillé 38 ans dans la pédagogie spécialisée. Depuis 1998, en parallèle, je pratique , en collaboration avec un pédopsychiatre, des entretiens de familles, avec un grand bonheur. Ai pris une retraite anticipée pour accompagner Zverkov dans la dernière phase de sa vie…

ELSA

Ebel Marianne, témoignage

Je suis née le 31 juillet 1948 dans l’Emmental, comme mon frère aîné. Mon père, médecin, avait décidé d’ouvrir son cabinet dans le village de son enfance. En 1950, peu avant la naissance de mon frère cadet, mes parents ont déménagé à Moutier, petite bourgade industrielle du Jura bermois. Je n’ai pas de souvenirs personnels de notre arrivée dans cette ville romande, déchirée par le conflit jurassien auquel mes parents ne se sont jamais mêlés. M’étant dès le début de la scolarité identifiée comme romande et jurassienne, je me suis souvent demandée comment j’aurais évolué si j’avais grandi à la campagne en Suisse alémanique. Dès l’âge de 8 ans, sentant confusément que les Bernois étaient plutôt mal vus à Moutier, j’ai tenté de cacher mon origine à tout le monde. Ma première humiliation remonte à l’école primaire: à 7 ans, je comprenais le français (entendu pendant un an à l’école enfantine), mais ne savais pas encore le parler. Comment dès lors éviter que la maîtresse ne traduise ses consignes pour moi? Sa gentillesse m’accablait. Une des premières phrases que j’ai apprise et prononcée en français a été : «Oui, oui j’ai compris ». Tout au long de notre enfance, mes parents ont valorisé notre formation scolaire, et exigé - « pour être justes »- que leurs quatre enfants participent à tour de rôle aux diverses corvées domestiques. Mais sur le fonds l’éducation restait traditionnelle : « les garçons doivent se donner les moyens de faire de bonnes études, pour les filles c’est moins important. » Ils m’envoyèrent à l’Ecole de Commerce à Bienne avec cette conviction qu’une fille doit avoir un métier au cas où son mari tomberait malade ou pire mourrait. Ce fut ma première révolte. Au bout d’un an, mes parents cédèrent et je fis le gymnase comme mes deux frères, et comme le fit plus tard ma petite soeur, la cadette de la famille. Je suis entrée à l’université de Lausanne en septembre 1968.

Ebel, Marianne

Einsele Gabi, Zeugnis

Einsele Gabi (Gabriele), geboren am 20.9.1956 in Zürich, aufgewachsen in bürgerlichen Verhältnissen in Baden (bis 1967), danach in Ennetbaden (1968 –1976).Der Vater war Chemiker, die Mutter kaufmännische Angestellte/Hausfrau. Ich habe zwei Geschwister. Wir sind Schweizer, wir trugen jedoch einen deutschen Familiennamen (beide Elternteile stammen aus Familien von eingewanderten Deutschen). Mein Vater war Sympathisant der Freisinnigen Partei und Mitglied eines Service-Clubs (Lions) – meine Mutter hatte bis 1971 keine bürgerlichen Rechte, sie schien es auch nicht zu vermissen.

Gabi Einsele

El Hewehi Fausi, Zeugnis

EL-HEWEHI MARTI, Fausi, 6.2.1952, Sohn eines Ägypters und einer Schweizerin, in Ägypten geboren und seit früher Kindheit in der Schweiz (Allschwil BL, dann Basel). Während RML-Zeit in Basel wohnhaft, in fester Partnerschaft, keine Kinder (erst ab 1982), Student bis 1978, dann Lehrer und Entwicklungshelfer. Beruflich meist als Lehrer tätig (Basel, Barcelona, Burgdorf, Bern, Biel), zuerst auf Gymnasialstufe, dann als Fachhochschuldozent, seit 2016 in Rente

El Hewehi Fausi

Emission de la Télévision suisse romande "Face aux partis" élections fédérales, 8 octobre 1979

En 1979, quelques semaines avant les élections fédérales, la TSR ouvre le débat avec les partis politiques en lice. Ces derniers sont invités à présenter leur programme et à répondre aux questions des journalistes Gaston Nicole et Marc Schindler, dans le cadre de l'émission Face aux partis.

Le 8 octobre 1979, c'est au tour de la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR), représentée par la Genevoise Claire Magnin et le Vaudois Charles-André Uldry, d'être sur la sellette.

Dans cet extrait, le journaliste Gaston Nicole attaque: "Vous prétendez être le seul parti ouvrier, mais pourquoi ne trouve-t-on pas de représentants ouvriers dans vos listes de candidats en Suisse romande?".

Radio télévision suisse, archives

Emission de la Télévision suisse romande - 40 heures - Michel Thévenaz

Au mois de novembre 1973, les Organisations progressistes de Suisse (POCH), soutenues par la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR) déposent une initiative visant à généraliser les 40 heures hebdomadaires de travail. Trois ans plus tard, lors d'un débat télévisé qui a lieu quelques jours avant la votation du 5 décembre 1976, Michel Thevenaz, le bouillant représentant de la LMR, affirme que la prospérité suisse rend possible la mise en oeuvre rapide de cette initiative.

RTS (Radio Télévision suisse)

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