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Description archivistique
AEHMO, BCU Lausanne
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Conventions collectives

Il s'agit surtout de conventions collectives pour les différents métiers et branches du bâtiment et du bois, de négociations avec les organisations patronales, de questions concernant les droits syndicaux, la plupart par canton, mais aussi concernant la Suisse romande, voire la Suisse entière. Quelques affiches de propagande ; quelques photographies. Les CCT de la chimie et du papier sont aussi présentes, suite à la fusion FOBB-FTCP.
Une boîte (0320) concerne la catastrophe survenue sur le chantier du barrage de Mattmark. Deux boîtes (0342-43 et 0415) portent sur le centenaire du syndicat des travailleurs du bois. Trois boîtes (0552, 0558, 0565) concernent l'industrie de l'amiante.

De Dardel Nils, témoignage

Résumé

Né en 1943, famille bourgeoise, Lausanne, père social-démocrate, rédacteur La Sentinelle-Le Peuple, mère journaliste indépendant et députée PS au Grand Conseil vaudois. Avocat, Genève, ASLOCA, célibataire lors de l'adhésion. Se politise à Munich en 1967, contact avec SDS, entend Mandel et Dutschke, participe à des manifs à Berlin (solidarité Vietnam), En 1968, adhère à la Jeunesse Progressiste (POP) et opposition de gauche au POP, influencé par tendance spontanéiste mais attiré par trotskisme. En 1970, avocat stagiaire à Genève, ASLOCA, membre de Rouge, milite à Taupe Roug et responsable intervention sur collèges, puis métallurgie (Verntissa). Mmebre LMR dès sa création à Genève, membre suppléant au CC et DV de Genève, travaille à l'ASLOCA. Investi dans comité de soldats, secteur ouvrier (Charmilles), défense des patients (grande activité dans l'ADUPSY - défense des patients psychiatriques). Surcharge de travail devenant pénible. Féminisme compris intellectuellement, mais resté pratiquement macho.Adhère à la lutte armée là où luttes politiques anéanties par répression. Actions violentes symboliques acceptées. Opposé à l'action des Brigades rouges. Antimilitariste, défend des soldats et des objecteurs de conscience. Malaise parfois à l'interne face au rejet brutal des positions non orthodoxes. A subi un déplacement professionnel en 1969 à cause de son adhésion à la LMR. Se désinvestit progressivement deuxième moitié années '70. Adhère au PS en 1986, député Grand Conseil genevois 1989-1991, conseiller national 1981-2003. Quitte le PS en 2005, membre de SolidaritéS dès 2007.

De Dardel, Nils

Emmenegger Kurt, Zeugnis

Emmenegger Kurt, geboren 11.5.1955, Sektion Aargau/Solothurn

Geboren in Leuggern AG, aufgewachsen in Gippingen AG. Vater wie Mutter wuchsen auf Bauernhöfen auf und wurden proletarisiert. Der Vater machte nach dem 2.Weltkrieg eine Anlehre zum Schichtführer einer chemischen Anlage und arbeitete im gleichen Betrieb über 40 Jahre bis zu seiner Pensionierung. Die Mutter machte eine KV-Ausbildung und führte während des grössten Teils ihres Lebens bis zur Pensionierung die gesamte Administration und den Laden eines Elektro-Fachgeschäftes. Ich wuchs mit 4 Geschwistern (2 älteren Brüdern, einem jüngeren Bruder und einer jüngeren Schwester) auf dem Lande in einer tief-katholischen Gegend auf, damals bis in alle Lebenslagen hinein dominiert von den Katholisch-Konservativen. Die Primarschule besuchte ich in Gippingen, die Bezirksschule in Leuggern und dann die Kantonsschule in der Kleinstadt Baden. Mit dem Übertritt in die Kantonsschule (also 16jährig) zog ich in die Region Baden, wo ich hängen blieb. Seit 33 Jahren lebe ich nun in der Stadt Baden selbst.

Kurt Emmenegger

Federer Matthias, Zeugnis

F. M., 15.02.1951, geboren und aufgewachsen in R. (Kanton SG), als dritter von vier Söhnen von J.F., 1916 –1999, Kaufmann, Verwalter landw. Genossenschaft Goldach, und M. -M. F-F., 1917 –1996, Hausfrau, teilzeit berufstätig in der Genossenschaft. (Mein Vater hat alle Familiendokumente und –korrespondenz, Gästebücher, Fotos, Kassabücher etc. aufbewahrt, was vor ihm teilweise auch mein Grossvater väterlicherseits (K.F., 1881-1949) getan hat. Da das Staatsarchiv St. Gallen Interesse an diesem Nachlass zeigte, ist er seit zwei Jahren dort archiviert.)
Ab 1965 Gymi in St. Gallen, klassisch (mit Griechisch). In der Kantonsschule St. Gallen war ich massgeblich beteiligt an der Auseinandersetzung um eine Schülerzeitung 1969 und an der „Aktion Rotes Herz“ 1970. Mitglied der Gruppe „basis“ und Mitarbeit am „Roten Gallus“. Teilnahme an „Antiintegrationskursen“ (Theo Pinkus, Bertold Rothschild). Unterlagen dazu ebenfalls im Staatsarchiv St. Gallen (http://scope.staatsarchiv.sg.ch/detail.aspx?ID=388544 und http://scope.staatsarchiv.sg.ch/detail.aspx?ID=637026
Wohnsitz und Studium ab 1971 in Zürich (Klinische Psychologie,Psychopathologie und Pädagogik), Teilzeitarbeit (2 Nächte/Woche) als „Umlader“ auf der Sihlpost Zürich, schon vorher auf der Post St. Gallen. Mitglied der bresche-Hochschulgruppe und RML in Zürich. Abschluss des Studiums mit Lizentiat 1977. 1977 bis 1979 Jugendhausleiter Adliswil (50%-Job).
Ab 1981 Schulpsychologe (bis 2001 in Dietikon) meist in Teilzeit (60 bis 75%) bis 2003, unterbrochen von einem Forschungsjahr in Dresden (1996/97). Heute Dr. phil. Psychotherapeut für Kinder, Jugendliche, Paare und Erwachsene in eigener Praxis Zürich. Ab 2010 verheiratet, ab gleichem Jahr Vater eines Buben, übernehme mindestens 50% der Betreuung, „gemeinsam erziehend“.

Mann

Dolivo Jean-Michel, témoignage

Jean-Michel Dolivo, 15 novembre 1951, né à Paris, père pasteur et mère enseignante au gymnase. A Bienne de 1956 à 1969, Lausanne de 1969 à 1972, Bienne de 1972 à 1981, Lausanne de 1981 à ce jour. Maturité fédérale en 1969, gymnase de Bienne, Université à Lausanne en sciences sociales et politiques, mention histoire, de 1969 - 1972, licence en sciences sociales et politiques 1972. Adhésion à la LMR en mars 1972. Célibataire.
Enseignant histoire au gymnase de Bienne de 1973 à 1975. Licenciement : Berufsverbot (interdiction professionnelle). Remplacements dans des écoles secondaires. Permanent de la LMR (secrétariat du BP) au niveau national de 1976 à 1979. Implantation dans la métallurgie (tourneur-fraiseur) de 1979 à 1981. De 1981 à 1984, permanent du PSO à Lausanne. 1984-1987 études en droit, licence, à l’Université de Lausanne. Enseignement dans des écoles privées. 1987 à 1990, stage d’avocat à l’Etude de l’ASLOCA à Genève (maître de stage Nils de Dardel). 1990-1991, juriste remplaçant au Département des travaux publics à Genève (Grobet). Dès 1991, avocat à Lausanne pour la FOBB, le SIB, secrétaire politique de l’Union syndicale vaudoise (USV), avec Gérard Forster. Avocat du syndicat unia. Création en 2005 du Collectif d’avocat-e-s.

Dolivo Jean-Michel

Durussel Claude, témoignage

Claude Durussel, né le 22 janvier 1948 à Neuchâtel. Père représentant de commerce et mère vendeuse. Après une jeunesse à Bruxelles où j’ai commencé à me conscientiser politiquement, j’ai fait une matu au gymnase de la Cité puis une licence en science po à l’Uni de Lausanne acquise en 1971. Après un long voyage de presque 2 ans et divers petits boulots, j’ai commencé à enseigner au collège en 1974 jusqu’à ma retraite en 2010. J’ai 2 enfants de 38 et 28 ans et 2 petits- enfants de 4 et 5 ans. Je vis avec ma partenaire depuis une trentaine d’années.

Claude Durussel

G.P., Zeugnis

G. P., bürgerliche Herkunft, Mutter verwitwet und wiederverheiratet, 3 Geschwister, in Deutschland lebend. Beginn des Gymnasiums Frankfurt, danach Internat und Matura in der katholischen Innerschweiz. Nach dem Studium in Fribourg, Berlin und Zürich (Jus, Journalistik, Sozialwissenschaften) ein paar Monate Erfahrungen als Berufsschullehrer, dann wissenschaftlicher Assistent an der Universität. Nach Doktorat und Habilitation Professur in Deutschland, Rückkehr in die Schweiz, seit 2004 Professor an einer Schweizer Universität.

G.P.

Ebel Marianne, témoignage

Je suis née le 31 juillet 1948 dans l’Emmental, comme mon frère aîné. Mon père, médecin, avait décidé d’ouvrir son cabinet dans le village de son enfance. En 1950, peu avant la naissance de mon frère cadet, mes parents ont déménagé à Moutier, petite bourgade industrielle du Jura bermois. Je n’ai pas de souvenirs personnels de notre arrivée dans cette ville romande, déchirée par le conflit jurassien auquel mes parents ne se sont jamais mêlés. M’étant dès le début de la scolarité identifiée comme romande et jurassienne, je me suis souvent demandée comment j’aurais évolué si j’avais grandi à la campagne en Suisse alémanique. Dès l’âge de 8 ans, sentant confusément que les Bernois étaient plutôt mal vus à Moutier, j’ai tenté de cacher mon origine à tout le monde. Ma première humiliation remonte à l’école primaire: à 7 ans, je comprenais le français (entendu pendant un an à l’école enfantine), mais ne savais pas encore le parler. Comment dès lors éviter que la maîtresse ne traduise ses consignes pour moi? Sa gentillesse m’accablait. Une des premières phrases que j’ai apprise et prononcée en français a été : «Oui, oui j’ai compris ». Tout au long de notre enfance, mes parents ont valorisé notre formation scolaire, et exigé - « pour être justes »- que leurs quatre enfants participent à tour de rôle aux diverses corvées domestiques. Mais sur le fonds l’éducation restait traditionnelle : « les garçons doivent se donner les moyens de faire de bonnes études, pour les filles c’est moins important. » Ils m’envoyèrent à l’Ecole de Commerce à Bienne avec cette conviction qu’une fille doit avoir un métier au cas où son mari tomberait malade ou pire mourrait. Ce fut ma première révolte. Au bout d’un an, mes parents cédèrent et je fis le gymnase comme mes deux frères, et comme le fit plus tard ma petite soeur, la cadette de la famille. Je suis entrée à l’université de Lausanne en septembre 1968.

Ebel, Marianne

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