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Iselin Pierrette, témoignage

Iselin Pierrette 29.06.1943. vient d’un milieu enseignant, mon père était instituteur, ma mère venait d’un milieu vigneron.
Ma formation professionnelle : enseignante secondaire, brevet de maîtresse secondaire, mariée au moment de mon adhésion à la LMR, nom : Parriaux.

Iselin, Pierrette

J.C., témoignage

C.J., 30.05.1949, père : famille de petits industriels jurassiens (horlogerie), mère : couturière. Formation : école libre (religieuse, catholique), école secondaire, gymnase, université, licence en sociologie. Statut au moment de l’entrée à la LMR : célibataire, sans enfant.
Parcours prof. : quelques emplois peu satisfaisants, puis 2ème formation en psychologie, assistanat à l’Université de Lausanne, thèse en sociologie, emploi de longue durée à l’Office fédéral de la statistique, actuellement retraitée.

J.C.

Lehmann Anton, Zeugnis

Lehmann Anton, 15.03.1946

SozialeHerkunft
Vater: proletarisierter Bauer /Psychiatriepfleger; Mutter: Verdingkind/Hausfrau

Familiäre Herkunft
Heimatort Rüeggisberg /Kt. Bern, aufgewachsen in Ostermundigen bei Bern Stadt/Region
zur RML-­‐Zeit Wohnhaft in Ostermundigen/BE bis 1972 im Haus der Eltern
Ab 1973/74 in Bern, Wohngemeinschaft Neubrückstrasse 67

Bildungsweg
Primar-­‐ und Sekundarschule, kaufmännische Lehre, Sprachaufenthalte in England (Lower Cambridge) und Italien (Università per Stranieri, Perugia),

  1. Bildungsweg mit Handelsmatur, Studium lic.rer.pol. (Abschluss 1979 in Bern), anschl. berufsbegleitende
    Weiterbildungen im Sport: Diplomtrainer in Magglingen, sonderpädagogische, methodisch-­‐didaktische Fortbildung, dipl. Hochschuldidaktiker der Berner Fachhochschule /Eidg. Hochschule für Sport Magglingen; Spracherwerb zusätzlich zu Französisch, Englisch und Italienisch: Spanisch und Thailändisch.

Lehmann Anton

Loertscher Clive, témoignage

LOERTSCHER Clive, 17 octobre 1948, milieu modeste (père magasinier dans un garage, mère au foyer), famille nombreuse du côté de ma mère (9 frères et soeurs). Ai été le seul de mes 24 cousines et cousins à faire des études universitaires.
Vivait à l’époque à Lausanne depuis mes 6 ans, collège secondaire, maturité latin-anglais, licence ès sciences politiques UNIL, assistant à l’Uni à l’époque, puis enseignant secondaire et de gymnase, directeur de gymnase et enseignant secondaire à nouveau.
En couple à l’époque.

Loertscher, Clive

Loup Suzanne, témoignage

Je m'appelle Suzanne Loup, je suis née en 1949 à la campagne, au Val-de-Ruz, au milieu des fleurs puisque mes parents
étaient horticulteurs. J'ai débarqué dans la ville de Neuchâtel pour suivre les études gymnasiales puis l'école Normale
qui a fait de moi une institutrice . C'est aussi à ce moment que j'ai adhéré à la LMR avec mon compagnon . J'étais en
couple et plus tard, j'ai eu 2 enfants. J'ai enseigné dans le canton jusqu'en 2008, année où j'ai pris ma retraite..

Loup, Suzanne

M.G., témoignage

Je suis né le 27 juillet 1948 à Châtel-St-Denis. J’ai une soeur de deux ans mon aînée. Mon père, paysan-fromager est décédé quelques mois avant ma naissance d’une tuberculose. Anecdote : une demande d’aide financière pour des soins onéreux, à l’époque, à la « Chaîne du Bonheur » a obtenu une fin de non-recevoir. Ma mère fut gérante du kiosque Naville de la gare. Elle partait travailler à 6 heures et rentrait vers 20 heures et gagnait de quoi nous permettre de survivre. Ma grand-mère, une femme bonne et généreuse s’occupait de nous au jour le jour. Autant dire que j’ai bénéficié d’une liberté quasi totale durant toute mon enfance. J’ai appris à me débrouiller et j’ai très tôt pris conscience de ma situation et décidé de me battre si je voulais « réussir » dans l’existence. J’ai eu une éducation catholique ouverte. Et ma première prise de conscience « humaniste » fut un beau jour de Noël. Devant la crèche de l’Eglise St-Nicolas de Châtel-St-Denis se trouvait une crousille. Sur cette crousille la statuette d’un noir qui baissait la tête chaque fois qu’une pièce y était glissée. Ecole primaire multi-âge à 40 élèves, école secondaire, Ecole de Commerce à Lausanne pour éviter l’internat à Fribourg. Et pour terminer HEC à Lausanne, soit 7 années à faire les trajets Châtel-Lausanne. Mon idée première était de réussir une carrière économique (sorte de revanche sur le
passé ?). C’est la rencontre avec des sympathisants de la LMR, dans le cadre universitaire, qui m’a mis sur le chemin vers un engagement plus social, soit l’enseignement. Pour autant que ma mémoire chronologique ne me trahisse pas, les événements de mai 68 se sont traduits à l’Uni de Lausanne par des cours parallèles sur le marxisme donnés par CH-A que j’ai suivi à la manière d’un étudiant studieux ! Autant que mes « camarades HEC » suivaient ceux d’un certain F. Schaller. La suite, 30 ans dans l’enseignement dont 28 à Yverdon, et pour finir comme directeur d’un établissement secondaire de 950 élèves, sous la forme d’une direction collégiale avec responsabilité directoriale, beaucoup de projets réalisés, un agenda 21 (environnement, citoyenneté) de l’établissement, une assemblée des élèves, des leçons à deux balles, etc. Actuellement : retraité.

homme

Mahaim Annik, témoignage

Mahaim Annik, 23.10.1951, franco-suisse, père médecin, mère le secondant dans son cabinet et élevant 4 enfants, Pully/Lausanne, étudiante en médecine (une année), puis en Lettres à Lausanne, célibataire et sans enfants dans les années 1970. A exercé divers métiers de plume et d’expression artistique, chanson, théâtre, journalisme. Actuellement écrivaine et animatrice d’ateliers d’écriture créative, vit au Mont sur Lausanne. Un fils.

Mahaim, Annick

Miéville Ariane, témoignage

Ariane Miéville, 10.07.1957, Lausanne, fille d’une dentiste et d’un dessinateur-architecte, tous deux militants de la LMR. J’ai milité à la LMR entre 1974 et 1977. A l’époque j’étais gymnasienne, puis sans emploi (ou faisant de petits boulots) ayant interrompu mes études. En 1976-77, j’ai fait une école de secrétariat. Puis j’ai travaillé un temps comme secrétaire. La suite de ma « carrière » est relativement sinueuse, disons que j’ai « fait tous les métiers », fondé
une famille, étudié la sociologie et l’anthropologie, travaillé comme assistante à l’Université de Lausanne, vécu à l’étranger…
Actuellement, je travaille dans le secteur social dans la région lausannoise.

Miéville, Ariane

Pedrina Vasco, Zeugnis

Vasco Pedrina, 1950. Informationen zu meinem Werdegang finden sich in der Geleitschrift zu meinem Rücktritt als Unia-Co-Präsident (2006).
Ich bin in Airolo – zusammen mit 5 Geschwistern - in einer typischen „Gewerbler-Familie“ aufgewachsen. Nach der Primarschule in Airolo und 2 Jahren Gymnasium in Biasca, wurde ich in die Handelsschule nach Bellinzona geschickt. Damaliges Ziel meiner Eltern war, mich auf die Übernahme der Bäckerei vorzubereiten. Die 68er-Bewegung kam dazwischen und so wurde dieser Plan in Frage gestellt. Nach der Handelsmatura (1969) studierte ich an der Uni Freiburg Volkswirtschaft (Abschluss:1973).
Im Jahr 1972 habe ich geheiratet. Mit der ersten Lebenspartnerin, die später auch eine aktive RML- Genossin wurde, bin ich 7 Jahre zusammen geblieben. 1988 habe ich meine zweite Lebenspartnerin kennengelernt. Mit ihr lebe ich noch heute zusammen. Wir haben zwei Kinder grossgezogen.
In der Bäckerei meines Vaters habe ich früh arbeiten gelernt: ich verbrachte dort fast alle meine Schulferien. Ich war ein stolzer Bergler und lebte auch so, sehr engagiert in den Sportvereinen des Dorfes: Fussball, Hockey, Bergsteigen, Skifahren und Gymnastik. Mein Vater war ein anständiger Patron: Den Dualismus Arbeit-Kapital habe ich aber schon in der Bäckerei gespürt. Von unseren italienischen und türkischen Bäckern begann ich die Sicht von unten zu erfahren. Manchmal stand ich vor Loyalitätskonflikten. Mein Vater war im Dorf ein links-liberaler Oppositioneller. Die Werte der französischen Revolution habe ich von der Familie gelernt. Insofern war mein weiterer politischer Werdegang kein echter Bruch mit der Vergangenheit. Zum Marxismus und zum sozialen und politischen Engagement, die mein ganzes Leben geprägt haben, bin ich vor allem dank einem Pfarrer, einem Kriminellen (einem Revolutionär auf Abwegen) und der ganzen 68er-Bewegung gekommen. Der junge linke Pfarrer im Dorf hat mich Mitte der 60er Jahre zur Lektüre der katholischen Revue „Dimensioni“ motiviert, die sich intensiv mit dem Marxismus befasste (Später war von der Befreiungstheologie die Rede). Der „Kriminelle“ war Pietro Cavalleri. Der Film „La banda di Milano“ und ein Buch von einem seiner Gefährten erzählen seine Geschichte. Als ich mit ihm in Kontakt getreten bin, war er im Gefängnis von Porto Azzurro auf der „Isola d’Elba“ (eine bedrohliche Festung aus dem Mittelalter) in Isolationshaft und lebenslänglich. Deswegen konnte ich ihn auch nie treffen. Er und seine Bande hatten 4 oder 5 Menschen auf ihrem Gewissen, die bei ihren Hold-up in Bankinstituten Norditaliens in der 1. Hälfte der 60er Jahre getötet wurden. Er war ein Vorgänger der Brigate Rosse, zuerst Mitglied der KPI/PCI. Wir haben einige Jahre lang einen Briefaustausch gepflegt. Er erzählte mir von seinem Werdegang, er schrieb mir, dass , wenn der „Autunno caldo“ und die ‚68 Bewegung nur ein paar Jahre vorher gekommen wären, er nie einen solchen Weg gewählt hätte. Er betrachtete es als grössten Fehler seines Lebens, zu glauben, dass das kapitalistische System mit solchen Methoden gesprengt werden könnte, und er bereute zu tiefst, das Leben von Menschen und ihrer Familie ruiniert zu haben. In der Zeit als wir uns schrieben, bewegte er sich vom Marxismus zurück zum linken Katholizismus; ich habe mich damals in die Gegenrichtung bewegt. Dieser Briefaustausch war für mich prägend. Vielleicht hat es dazu beigetragen, dass ich doch immer eine gewisse Vorsicht gegenüber revolutionären Träumereien und eine gewisse Skepsis gegenüber Sektierern jeglicher Art in der RML und anderswo hatte.

Pedrina Vasco

Peter Paula, Zeugnis

Meine persönliche Einleitung:
Ich bin jetzt 65 Jahre alt, mein Eintritt in die RML liegt etwa 37 Jahre zurück. Da ich ein gewerkschaftlich organisiertes „Basismitglied“ der RML war, habe ich nicht haufenweise Papiere in meinem Archiv, auf die ich meine Erinnerungen abstützen kann. Das heisst, ich habe im Laufe der letzten Wochen, in denen ich mir viele Gedanken zu dieser Umfrage gemacht habe, gemerkt, wie viel ich vergessen habe und dass meine Erinnerungen stark geprägt sind von den Jahren, die dazwischen liegen.

  1. Peter, Paula, 17. 6. 1951, bäuerliche Herkunft, aus Familie mit 6 Geschwistern.
    Während RML-Zeit wohnhaft in Köniz und Bern.
    Matur (nach Gymnasium in Luzern) und Diplom als Ergotherapeutin in Zürich.
    Status zur Zeit des Beitritts: ledig

Peter Paula

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