Affichage de 387 résultats

Description archivistique
AEHMO, BCU Lausanne
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Affichage :

119 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Résolutions et revendications

Résolutions, cahiers de revendications, comptes rendus de conférences professionnelles nationales (Conférence professionnelle VPOD du cartel des établissements hospitaliers) et internationales (Conférence professionnelle internationale du personnel de santé), documents, liste de membres

S. U., témoignage

Né le 27.1.1943 en Suisse alémanique, dans une famille de couche moyenne aisée et conservatrice.
Père juriste et cadre dans une grande entreprise, mère bien occupée à la maison avec les quatre enfants. Sentiment de sécurité affective et matérielle pendant l’enfance, auquel l’ambiance conformiste mélangeait peu à peu de l’ennui. Maturité à l’école cantonale d’une petite ville de Suisse allemande ; il n’y avait pas d‘enfant d’ouvrier ou d’employé modeste parmi nous, les garçons portaient la cravate et se préparaient à suivre le parti radical ou le parti chrétien-social, et à grader dans l’armée. Études de médecine, à Genève pour changer d’air. Travail dans des cliniques et spécialisation en psychiatrie, puis en cabinet privé jusqu’à ma retraite en 2016, toujours à Genève. Entré à la LMR en 1971/72, étant marié et bientôt père d’un enfant né en 1972. Sorti du PSO en 1986.

S.U.

S.A., témoignage

AS, né le 11.10.1948 à Schiers aux Grisons. Adhésion en 1975, étudiant en médecine en fin d’études ; marié, un enfant à ce moment.
En ce qui me concerne, depuis l’âge de 12 ans, je voulais devenir vétérinaire comme un de mes frères. J’avais cependant également un intérêt pour la musique, je pratiquais assez intensément le violoncelle, et la varappe et j’envisageais aussi la perspective de guide montagne. Cependant, avec l’effervescence de 1968, j’ai abandonné le projet de devenir vétérinaire. J’avais l’impression que les choses importantes se passaient dans les villes, dans la classe ouvrière organisée, et non pas à la campagne et dans la paysannerie de montagne. Ayant réussi le premier examen de médecine, je pensais un moment à la physique théorique comme mon père mais finalement, j’ai choisi la solution la plus facile, à savoir continuer la médecine, un choix par défaut, un plan B qui explique probablement le fait que je gardais toujours une distance critique par rapport à la médecine et le corps médical.
Entre 1975 et 1984, j’ai fait une formation en médecine interne hospitalière complétée par une formation en médecine du travail. Je me suis installé en 1984 dans un cabinet de groupe avec un interniste-rhumatologue et deux psychiatres, dont Gilles Godinat, également militant au PSO. Au moment de l’installation, j’ai postulé, mais sans grande conviction, pour un poste de médecin d’entreprise de l’Hôpital Cantonal. D’une manière tout à fait prévisible, j’ai été victime d’une interdiction professionnelle, une décision qui ne m’a pas beaucoup touchée car elle était prévisible et, d’une certaine manière, évidente. En plus, mon installation privée me convenait parfaitement
bien car elle me donnait beaucoup de liberté pour militer.
Après mon installation, sachant que je n’allais pas terminer ma trajectoire professionnelle comme interniste généraliste et étant confronté à quelques difficultés existentielles, j’ai entrepris une psychanalyse. Ayant toujours eu un intérêt pour la psychosomatique et la psychanalyse, je me suis formé en psychosomatique psychanalytique à Paris et finalement vers l’an 2000, j’ai commencé une formation psychanalytique que j’ai « terminée » en 2012.

S.A.

S.A.A., témoignage

Née à Athènes en 1944 de parents athées. Père sympathisant du PC, parents cultivés. Part étudier à l'étranger à 18 ans. A 24 ans, licence en sciences politiques, diplôme de traductrice et demande en mariage.
Milite dans les milieux émigrés grecs d'opposition. Après la naissance de son fils en 1972, réduit son activité professionnelle et se sensibilise au discours féministe. Reprend des études en droit et rencontre des étudiants politiquement engagés, dont un membre de la LMR. Après son adhésion, milite dans le travail femmes. Intéressée par les possibilités de formation et de rencontres offertes par l'organisation.
Participe à la création de l'OFRA et de la revue "A tire d'elles". Collabore avec de nombreux groupes féministes. Bilan plutôt positif de son passage dans l'organisation. Reste active dans la presse militante et associative, engagée dans la 4e Marche Mondiale des Femmes et ATTAC.

A.S.A.

S.A.L., Zeugnis

S.A.L, 23.8.1950,
Eltern Druckereiunternehmer, Einzelkind, Zürich, KV, Matura C, ETH und Uni. Ledig, Freundschaft, keine Kinder. Stellvertretungen an der Volksschule, Einstieg als Projektleiter und Organisator im Detailhandel, Lehrgangsverantwortlicher und Kursleiter für Manager an psychologischem Institut, selbstständig als Kursleiter und Berater im Bereich Führung + Kommunikation; Personal-­‐ und Unternehmensberater.

S.A.L.

S.P., Zeugnis

S.P.. 2.7.1956 Arbeiterfamilie, viertes Kind einer achtköpfigen Familie (5 Brüder) Baden/Aargau.
Ledig, „feste“ Beziehung zum Zeitpunkt des RML-­‐Beitritts.
5 Jahre Primarschule, 4 Jahre Bezirksschule, 1,5 Jahre Gymnasium (abgebrochen wegen schlechter Noten), ½ Jahr Pro Juventute-­‐Sozialpraktikum, 2 Jahre Kindergärtnerinnen-­‐Seminar, 12 Jahre Berufstätigkeit als Kindergärtnerin (davon 3 Jahre in Mailand); Weiterbildungen (Sprachen, Kompost-­‐ und Umweltberatung, Bürofachdiplom); Mutterschaft und einige Jahre Hausfrau; 5 Jahre Kompostberatung in grosser Zürcher Wohnbaugenossenschaft; seit 2000 Assistentin Geschäftsleitung ebenda.
Verheiratet, ein erwachsener Sohn.

S.P.

Résultats 321 à 330 sur 387