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Description archivistique
Fonds de témoignages d'anciennes et anciens militants Lausanne
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Nicod Georges, témoignage

Nicod Georges, né à Lausanne le 8 juillet 1948, de nationalité suisse, membre de la LMR de 1969 à fin 1977.

Mes parents
Ma mère, Marianne Nicod née Chinet, fille de l’artiste-peintre Charles Chinet, est issue de la petite-bourgeoisie de Rolle. Après son baccalauréat, elle n’a pas exercé d’activité professionnelle durable; veuve dès l’âge de 34 ans, cheffe de ménage avec 4 enfants à charge.
Mon père, Henri Nicod, licencié en lettres et professeur de français, a perdu son père instituteur à l’âge de 8 ans; sa mère, de famille paysanne, a élevé ses 4 enfants avec les rentes de la caisse de pension de l'Etat de Vaud (c'était avant l'AVS!) et les revenus de travaux de couture à domicile.

Ma formation académique
Filière littéraire (latin/grec) jusqu’au baccalauréat obtenu au Gymnase de la Cité à Lausanne en 1966.
Etudes de sciences de la terre à l’Université de Lausanne (diplôme de géologue en 1976).
Etudes à la fac de lettres de l’UNIL (notamment histoire, français) de 1993 à 1997 (études non terminées).

Mon statut au moment de mon adhésion à la LMR (1969)
Etudiant en sciences de la terre à l'Université de Lausanne, célibataire, je vis alors chez ma mère
avec mon frère et mes deux soeurs. Je n’ai encore exercé que quelques jobs alimentaires
temporaires.

Georges Nicod

Miéville Jean, témoignage

Jean Miéville, marié, puis en couple (nouvelle compagne), 2 enfants. Né le 30.4. 1923. Petite bourgeoisie, élevé par ma mère. Collège scientifique à Lausanne. Apprentissage de dessinateur. Employé, puis indépendant pendant 25 ans.

Miéville, Jean

Miéville Ariane, témoignage

Ariane Miéville, 10.07.1957, Lausanne, fille d’une dentiste et d’un dessinateur-architecte, tous deux militants de la LMR. J’ai milité à la LMR entre 1974 et 1977. A l’époque j’étais gymnasienne, puis sans emploi (ou faisant de petits boulots) ayant interrompu mes études. En 1976-77, j’ai fait une école de secrétariat. Puis j’ai travaillé un temps comme secrétaire. La suite de ma « carrière » est relativement sinueuse, disons que j’ai « fait tous les métiers », fondé
une famille, étudié la sociologie et l’anthropologie, travaillé comme assistante à l’Université de Lausanne, vécu à l’étranger…
Actuellement, je travaille dans le secteur social dans la région lausannoise.

Miéville, Ariane

M.G., témoignage

Je suis né le 27 juillet 1948 à Châtel-St-Denis. J’ai une soeur de deux ans mon aînée. Mon père, paysan-fromager est décédé quelques mois avant ma naissance d’une tuberculose. Anecdote : une demande d’aide financière pour des soins onéreux, à l’époque, à la « Chaîne du Bonheur » a obtenu une fin de non-recevoir. Ma mère fut gérante du kiosque Naville de la gare. Elle partait travailler à 6 heures et rentrait vers 20 heures et gagnait de quoi nous permettre de survivre. Ma grand-mère, une femme bonne et généreuse s’occupait de nous au jour le jour. Autant dire que j’ai bénéficié d’une liberté quasi totale durant toute mon enfance. J’ai appris à me débrouiller et j’ai très tôt pris conscience de ma situation et décidé de me battre si je voulais « réussir » dans l’existence. J’ai eu une éducation catholique ouverte. Et ma première prise de conscience « humaniste » fut un beau jour de Noël. Devant la crèche de l’Eglise St-Nicolas de Châtel-St-Denis se trouvait une crousille. Sur cette crousille la statuette d’un noir qui baissait la tête chaque fois qu’une pièce y était glissée. Ecole primaire multi-âge à 40 élèves, école secondaire, Ecole de Commerce à Lausanne pour éviter l’internat à Fribourg. Et pour terminer HEC à Lausanne, soit 7 années à faire les trajets Châtel-Lausanne. Mon idée première était de réussir une carrière économique (sorte de revanche sur le
passé ?). C’est la rencontre avec des sympathisants de la LMR, dans le cadre universitaire, qui m’a mis sur le chemin vers un engagement plus social, soit l’enseignement. Pour autant que ma mémoire chronologique ne me trahisse pas, les événements de mai 68 se sont traduits à l’Uni de Lausanne par des cours parallèles sur le marxisme donnés par CH-A que j’ai suivi à la manière d’un étudiant studieux ! Autant que mes « camarades HEC » suivaient ceux d’un certain F. Schaller. La suite, 30 ans dans l’enseignement dont 28 à Yverdon, et pour finir comme directeur d’un établissement secondaire de 950 élèves, sous la forme d’une direction collégiale avec responsabilité directoriale, beaucoup de projets réalisés, un agenda 21 (environnement, citoyenneté) de l’établissement, une assemblée des élèves, des leçons à deux balles, etc. Actuellement : retraité.

homme

J.C., témoignage

C.J., 30.05.1949, père : famille de petits industriels jurassiens (horlogerie), mère : couturière. Formation : école libre (religieuse, catholique), école secondaire, gymnase, université, licence en sociologie. Statut au moment de l’entrée à la LMR : célibataire, sans enfant.
Parcours prof. : quelques emplois peu satisfaisants, puis 2ème formation en psychologie, assistanat à l’Université de Lausanne, thèse en sociologie, emploi de longue durée à l’Office fédéral de la statistique, actuellement retraitée.

J.C.

Graff Michel, témoignage

Graff Michel 28 08 1947,père avocat,mère écrivain.
Né à Lausanne,matu puis étude de medecine à Geneve de 68 à 69 puis à Lausanne jusqu'en 75. Formation de médecine générale avec pratique en cabinet de groupe à Yverdon de 1985 à 2014. A la retraite depuis 3 ans.
Pas d'expérience politique avant mon engagement à la ligue,très marqué par un voyage à Paris dans le cadre d'un convoi humanitaire de la Croix Rouge en mai 68 pour apporter des antidotes aux gaz lacrymogènes.Nous fûmes reçu à La Sorbonne occupée,moment rare où un monde nouveau semblait possible avec ces convois de paysans amenant la nourriture aux étudiants et le mouvement ouvrier fraternisant avec le monde étudiant....
Marqué aussi par l'engagement de mon frère François et la possibilité ainsi de partager avec lui certains idéaux.

Graff, Michel

Gottraux Pascal, témoignage

Gottraux, Pascal, 6 mai 1957, Père patron d’une PME (paysagiste), mère institutrice. Lausanne. Famille plutôt de gauche. Scolarité à Renens, Lausanne, études à l’EPFL. Au moment de l’adhésion, j’étais célibataire et étudiant. Après mes études, j’ai eu divers postes en suisse dans le privé et comme assistant à l’EPFL (Doctorat en informatique) en tant qu’ingénieur en développement informatique. Depuis 2003 employé au Centre Informatique de l’UNI de Lausanne comme ingénieur en développement informatique (SAP).

Gottraux, Pascal

Gaillard Olivier, témoignage

Gaillard, Olivier, 10 mai 1948. Un père pasteur, conservateur voire réactionnaire, plutôt mal dans sa peau et dans son rôle, et une mère institutrice, pleine de principes archaïques, mais qu’elle a su assouplir au fil du temps pour devenir une personne ouverte et gaie.
Enfance à Payerne, adolescence à Vevey, puis Dompierre (VD). Aucune inclination pour la religion, jamais. Après des études de Lettres à l’Université de Lausanne (licence en 1973), une année de stage SPES (brevet en 1974), et deux ans d’enseignement au Collège de Vevey (1974- 1976), j’ouvre une boutique de brocante-antiquité-artisanat. En 1991, je reprends l’enseignement (Gymnase de Nyon et collège de Nyon-Marens), puis, dès 1992, au Gymnase de Morges, jusqu’en 2012.

Gaillard Olivier

G.C.D., témoignage

G.C.D., née à Bellinzona (TI) le 28-2-1945.
Mon père était cheminot, socialiste, ma mère ménagère, sans opinion politique.
Je suis la dernière de 4 enfants.
J’ai fréquenté l’école primaire et secondaire à Bellinzona, ensuite l’école de beaux arts (CSIA) à Lugano où j’ai obtenut le diplôme fédéral de graphiste. Après avoir travaillé dans un atelier de graphiste à Lugano pendant 1 an, en 1966 j’ai repris les études à Lausanne. Suivant les cours du soir à l’école Lémania en 1968 j’ai obtenut la maturité au collège St-Michel de Fribourg.
Je vivais en couple avec Angelo, sans enfants.
A l’Université de Lausanne, j’ai obtenu la licence en sciences économiques. Pendant les études je travaillais comme enseignante aux cours du soir à l’école Lémania.
A fin 1971 je suis revenue au Tessin, et en 1972 j’ai été employée comme journaliste (et plus tard productrice) à la Télévision de la Suisse Italienne (TSI/SSR) où je suis restée jusqu’à la retraite.
Mariée et divorcée avec Angelo. Mariée et divorcée une deuxième fois avec le père de ma fille Alice, née an 1987.

femme

Francioli Renaldo, témoignage

Nom : Francioli
Prénom : Renaldo
Né en 1942
Origine sociale : classe moyenne (père dessinateur architecte, mère au foyer.) Milieu familial : 2 frères.
Ville et région activité : Lausanne et Vaud
Collège Classique, Gymnase, EPUL (ing.-civil).
Italien à la naissance, suisse par naturalisation des parents.
Célibataire à création de la LMR.
Marié et 3 enfants.
J’ai travaillé dans la coopération (Helvetas), puis avec des entreprises privées suisses et françaises. A partir de sept.1965, travail à l’étranger : Canada, Cambodge, Cameroun, Lybie, Bénin, Zaire, Cameroun, Guinée, Madagascar, Tanzanie, Burundi, Rwanda, Cong Brazza, Tchad.
Séjour en Suisse : 1966-1967 : 10 mois
1968-1970 : 2 ans 1973-1974 : 1 an
Actuellement retraité.

Francioli, Renaldo

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