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Description archivistique
AEHMO, BCU Lausanne
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El Hewehi Fausi, Zeugnis

EL-HEWEHI MARTI, Fausi, 6.2.1952, Sohn eines Ägypters und einer Schweizerin, in Ägypten geboren und seit früher Kindheit in der Schweiz (Allschwil BL, dann Basel). Während RML-Zeit in Basel wohnhaft, in fester Partnerschaft, keine Kinder (erst ab 1982), Student bis 1978, dann Lehrer und Entwicklungshelfer. Beruflich meist als Lehrer tätig (Basel, Barcelona, Burgdorf, Bern, Biel), zuerst auf Gymnasialstufe, dann als Fachhochschuldozent, seit 2016 in Rente

El Hewehi Fausi

Emmenegger Kurt, Zeugnis

Emmenegger Kurt, geboren 11.5.1955, Sektion Aargau/Solothurn

Geboren in Leuggern AG, aufgewachsen in Gippingen AG. Vater wie Mutter wuchsen auf Bauernhöfen auf und wurden proletarisiert. Der Vater machte nach dem 2.Weltkrieg eine Anlehre zum Schichtführer einer chemischen Anlage und arbeitete im gleichen Betrieb über 40 Jahre bis zu seiner Pensionierung. Die Mutter machte eine KV-Ausbildung und führte während des grössten Teils ihres Lebens bis zur Pensionierung die gesamte Administration und den Laden eines Elektro-Fachgeschäftes. Ich wuchs mit 4 Geschwistern (2 älteren Brüdern, einem jüngeren Bruder und einer jüngeren Schwester) auf dem Lande in einer tief-katholischen Gegend auf, damals bis in alle Lebenslagen hinein dominiert von den Katholisch-Konservativen. Die Primarschule besuchte ich in Gippingen, die Bezirksschule in Leuggern und dann die Kantonsschule in der Kleinstadt Baden. Mit dem Übertritt in die Kantonsschule (also 16jährig) zog ich in die Region Baden, wo ich hängen blieb. Seit 33 Jahren lebe ich nun in der Stadt Baden selbst.

Kurt Emmenegger

Graf Hans-Peter, Zeugnis

Graf Hans-­‐Peter, 26. Mai 1952, Geburts-­‐ und Wohnort Stadt Zürich;
mein Vater war Rangierarbeiter bei den SBB, die Mutter Verkäuferin im Detailhandel (viele Jahre bei der Migros, später Schuhhaus Walder); während der gesamten RML-­‐Zeit wohnte und arbeitete ich in der Stadt Zürich; mein Bildungsweg war «normal» – 6 Jahre Primar-­‐und 3 Jahre Sekundarschule, danach 4-­‐jährige Lehre als Schriftsetzer (Bleisatz, heutige Bezeichnung «Polygraf»).
Zur Zeit des Beitritts zur RML war ich ledig (ohne Kinder); ab Dezember 1974 bis April 1977 erwerbslos. Während meinem weiteren beruflichen Werdegang machte ich zwei berufsbegleitende Weiterbildungen der grafischen Branche mitEidgenössischem Fähigkeitsausweis (EFA). Ich arbeitete immer in der Medienbranche (Druckereien, Gestalter auf Zeitungs-­ und Zeitschriftenredaktionen).
Vom 1. Mai 2001 bis 30. Juni 2014 war ich als Regional-­‐ bzw. Zentralsekretär bei den Gewerkschaften comedia und syndicom angestellt.
Ich wohne seit August 2005 in Bern in einer Partnerschaft.
Das Leben als Rentner geniesse ich seit dem 1. Juli 2014.

Graf Hans-Peter

Federer Matthias, Zeugnis

F. M., 15.02.1951, geboren und aufgewachsen in R. (Kanton SG), als dritter von vier Söhnen von J.F., 1916 –1999, Kaufmann, Verwalter landw. Genossenschaft Goldach, und M. -M. F-F., 1917 –1996, Hausfrau, teilzeit berufstätig in der Genossenschaft. (Mein Vater hat alle Familiendokumente und –korrespondenz, Gästebücher, Fotos, Kassabücher etc. aufbewahrt, was vor ihm teilweise auch mein Grossvater väterlicherseits (K.F., 1881-1949) getan hat. Da das Staatsarchiv St. Gallen Interesse an diesem Nachlass zeigte, ist er seit zwei Jahren dort archiviert.)
Ab 1965 Gymi in St. Gallen, klassisch (mit Griechisch). In der Kantonsschule St. Gallen war ich massgeblich beteiligt an der Auseinandersetzung um eine Schülerzeitung 1969 und an der „Aktion Rotes Herz“ 1970. Mitglied der Gruppe „basis“ und Mitarbeit am „Roten Gallus“. Teilnahme an „Antiintegrationskursen“ (Theo Pinkus, Bertold Rothschild). Unterlagen dazu ebenfalls im Staatsarchiv St. Gallen (http://scope.staatsarchiv.sg.ch/detail.aspx?ID=388544 und http://scope.staatsarchiv.sg.ch/detail.aspx?ID=637026
Wohnsitz und Studium ab 1971 in Zürich (Klinische Psychologie,Psychopathologie und Pädagogik), Teilzeitarbeit (2 Nächte/Woche) als „Umlader“ auf der Sihlpost Zürich, schon vorher auf der Post St. Gallen. Mitglied der bresche-Hochschulgruppe und RML in Zürich. Abschluss des Studiums mit Lizentiat 1977. 1977 bis 1979 Jugendhausleiter Adliswil (50%-Job).
Ab 1981 Schulpsychologe (bis 2001 in Dietikon) meist in Teilzeit (60 bis 75%) bis 2003, unterbrochen von einem Forschungsjahr in Dresden (1996/97). Heute Dr. phil. Psychotherapeut für Kinder, Jugendliche, Paare und Erwachsene in eigener Praxis Zürich. Ab 2010 verheiratet, ab gleichem Jahr Vater eines Buben, übernehme mindestens 50% der Betreuung, „gemeinsam erziehend“.

Mann

Vuilliomenet Henri, témoignage

Vuilliomenet Henri, né le 16.06.1948, issu d’un milieu ouvrier-paysan, père ouvrier, une partie de la famille encore paysanne, au Val-de-Ruz dans le canton de Neuchâtel. Ecole primaire dans un village, secondaire à Neuchâtel. Apprentissage de dessinateur machines dans une grande entreprise de l’horlogerie (FHF, 1500 employés) aujourd’hui partie du groupe swatch. Fin de l’apprentissage en 68, période propice aux remises en questions.
Pendant deux ans, petits boulots et préparation individuelle d’une maturité fédérale (cours du soir à l’université populaire pour les branches scientifiques) obtenue en 1970. Entrée à la faculté des sciences de l’université de Neuchâtel en 1970, en physique. Adhésion à la LMR en 71 ou 72, 5ans d’études et de militantisme, avec un échec aux examens universitaires finaux. Déménagement à Chaux-de-Fonds en 74, pendant deux ans, pour construire la ligue dans cette ville. Divers petits emplois et remplacements dans l’enseignement avant le retour à Neuchâtel et l’engagement en 76 dans une entreprise de micro-électronique avec le statut d’employé de laboratoire et le début d’un militantisme syndical qui depuis lors n’a plus cessé. En 1974, je rencontre ma compagne, militante de la LMR elle aussi, début d’une vie commune qui dure toujours.
En 1980, naissance de notre premier enfant, et pour moi engagement comme employé non-qualifié dans une grande entreprise (Favag, plus de mille employés à l’époque) de composants mécaniques pour la téléphonieélectromécanique. Rapidement je deviens président de la commission d’entreprise. En 1990, à la fermeture définitive de Favag, engagé au CSEM (centre suisse électronique et microtechnique) en qualité d’employé de laboratoire, dans le département d’optique dirigé par un ancien membre de la LMR ( !).
Je deviendrai président de la représentation du personnel, puis me suis retrouvé en 2001 dans l’entreprise colibrys, issue du département microsystems du CSEM, jusqu’à ma retraite anticipée en 2010 ; là aussi président de la représentation du personnel.

Vuilliomenet, Henri

Fortin Jacques, témoignage

Fortin, Jacques, 18/07/45, famille petite bourgeoisie. française protestante, milieu familial marqué par l’appartenance au protestantisme dans une ville très catholique avant Vatican II, donc circonscrite à la jeunesse paroissiale + une famille juive et une ou deux familles athées et une catho condisciple de mon père. Chartres, lycée, bac puis école préparatoire théologie protestante Lyon et fac de théol. Lausanne une année.
Etudiant théologie au moment de l’adhésion. Célibataire avec un enfant. Divers métiers sans vraie profession, cadre moyen. Actuellement retraité, marié à un homme après un pacs.

Fortin, Jacques

F. C., témoignage

Né à Lausanne, 17.12.54. Père bâlois & employé à la SBS. Mère anglaise enseignait à temps partiel dans des écoles privées. 2 frères, 1 sœur.
Scolarité à Ls => Baccalauréat latin-grec.
Adhéré à la LMR l’été 73 dès la fin des examens du bac (cette année là, il n’y eut, je crois, que deux échecs).
A la rentrée 73 je suis resté une semaine à l’uni, fait un peu de temporaire, école de recrues en 74. Ensuite je suis devenu permanent chez CEDIPS (l’imprimerie de la LMR) à la rue de la Borde pendant deux ans.
Etudes de lettres deux autres années sans résultat...
Apprentissage de mécanique générale 78-82.
Fin 82 participé à la première session de l’IIRF à Amsterdam.
Entré chez Bobst SA en fév. 82 ... jusqu’à aujourd’hui.
Juin 88 - juil 89 coopérant technique au Nicaragua.
Dès le printemps 78 à sa mort en nov 15, partagé la vie de Martine.
Rencontré Martine au travers de membres de la LMR. Elle a également adhéré au PSO par la suite mais n’en a pas gardé un très bon souvenir.
Trois filles, deux petites filles.

homme

S. U., témoignage

Né le 27.1.1943 en Suisse alémanique, dans une famille de couche moyenne aisée et conservatrice.
Père juriste et cadre dans une grande entreprise, mère bien occupée à la maison avec les quatre enfants. Sentiment de sécurité affective et matérielle pendant l’enfance, auquel l’ambiance conformiste mélangeait peu à peu de l’ennui. Maturité à l’école cantonale d’une petite ville de Suisse allemande ; il n’y avait pas d‘enfant d’ouvrier ou d’employé modeste parmi nous, les garçons portaient la cravate et se préparaient à suivre le parti radical ou le parti chrétien-social, et à grader dans l’armée. Études de médecine, à Genève pour changer d’air. Travail dans des cliniques et spécialisation en psychiatrie, puis en cabinet privé jusqu’à ma retraite en 2016, toujours à Genève. Entré à la LMR en 1971/72, étant marié et bientôt père d’un enfant né en 1972. Sorti du PSO en 1986.

S.U.

Sautebin Marie-Thérèse, témoignage

Née en France le 9.8.1947
Etudes de lettres à l’Université du Mans et de Caen, licences d’anglais et d’espagnol.
Enseignement des langues au Collège au Mans (68-72).
72, mariage avec Paul. Arrivée en Suisse sans trouver l’emploi correspondant à mes études.
72-92, divers boulots à temps partiel (cours de langues, secrétariat dans l’horlogerie et dans un cabinet d’avocates). Priorité mise sur l’engagement militant et non sur l’activité professionnelle.
78, naissance de David et poursuite de l’engagement.
87-92, reprise des études à la FAPSE, licence en Sciences de l’éducation.
93, activités professionnelles comme formatrice d’adultes, création d’un institut de formation pour adultes à Bienne, Espace de femmes pour la formation et l’emploi, devenu Espace de formations-Formation d’espaces (effe). Séparée en 97, puis divorcée.
2011, retraite professionnelle et engagement ponctuel comme formatrice bénévole en Afrique (Coopération pédagogique en Afrique – CPA).

Sautebin, Marie-Thèrèse

Schoch Raymonde, témoignage

Je suis née le 8 mars 1951, à Daviaz, dans une famille paysanne modeste et catholique du Chablais valaisan. J’étais l’avant-dernière de 6 enfants. Mon père était paysan-charpentier et ma mère était paysanne-femme au foyer. J’ai fait mes classes secondaires chez les soeurs à St Maurice, puis j’ai accompli un apprentissage de coiffeuse, à Monthey. J’étais en couple non mariée à cette époque et sans enfant. Aujourd’hui, je suis mariée à un lausannois, j’ai une fille de 30 ans et je suis à la retraite du CICR où j’ai travaillé durant 25 ans, surtout au siège à Genève, et 2 ans sur le terrain au Soudan en Afrique, en tant que déléguée. Je vis à nouveau en Valais dans la maison familiale, après un exil volontaire de 40 ans.

Schoch, Raymonde

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