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Rieben Pierre, témoignage

Pierre Rieben, 1935, originaire de Neuchâtel. Famille de la petite bourgeoisie enrichie (grand-père ouvrier, arrière grand-père paysan). Famille protestante pratiquante jusque vers 1950, puis toujours moins. Père « libéral extrémiste ». Un neveu à la LMR à Lausanne. Ma mère, mes soeurs, beaux-frères alignés tous sur le padre (comme moi jusqu’en 1950 environ).
Adhésion à la LMR en 1969 : cofondateur. Marié avec Marie-Paule, qui avait déjà deux enfants que nous avons élevé ensemble. Mon fils, d’une femme précédente, vivait à Paris avec sa mère.
Etudes : collège latin, gymnase à Neuchâtel pendant un an et demi. Puis rupture : j’ai passé un an en Allemagne. De retour, au lendemain de Diên Biên Phu, école privée à Lausanne pour préparer et me faire passer un « préalable » à l’Université de Lausanne (Sciences-Po et HEC). Un an d’université, puis permanent du POP de l956 à l960, puis arrêt après l’affaire Mayerat (cf plus bas) de 1960 à 64, puis repermanent de 1964 à l’expulsion du parti en 1969, 3 mois avant la création de la ligue.

Rieben, Pierre

S.A.A., témoignage

Née à Athènes en 1944 de parents athées. Père sympathisant du PC, parents cultivés. Part étudier à l'étranger à 18 ans. A 24 ans, licence en sciences politiques, diplôme de traductrice et demande en mariage.
Milite dans les milieux émigrés grecs d'opposition. Après la naissance de son fils en 1972, réduit son activité professionnelle et se sensibilise au discours féministe. Reprend des études en droit et rencontre des étudiants politiquement engagés, dont un membre de la LMR. Après son adhésion, milite dans le travail femmes. Intéressée par les possibilités de formation et de rencontres offertes par l'organisation.
Participe à la création de l'OFRA et de la revue "A tire d'elles". Collabore avec de nombreux groupes féministes. Bilan plutôt positif de son passage dans l'organisation. Reste active dans la presse militante et associative, engagée dans la 4e Marche Mondiale des Femmes et ATTAC.

A.S.A.

Sueri Claude, témoignage

22 septembre 1951. Je suis l’une des trois enfants d’un médecin de campagne installé à Orbe, où j’ai vécu toute mon enfance. Mon père, fils de pasteur, a rejeté très tôt la religion et s’est radicalisé politiquement dans les années 50, pour militer très activement au Parti socialiste, à défaut de POP à Orbe. Il était appelé dans toute la ville « L’œil de Moscou »…, bien qu’il n’ait jamais suivi sans critiques la doctrine orthodoxe des partis communistes. Il était aussi très actif dans la lutte antinucléaire. Ma mère était la fille unique d’une couturière veuve très tôt, qui a travaillé d’arrache-pied pour gagner leur vie à toutes deux ; elle a vécu dans un milieu de petits artisans fauchés la plupart du temps, où l’on travaillait beaucoup, mais où l’on s’amusait tout autant : la vie était belle malgré les dettes et les saridons avalés pour terminer les commandes. Ma mère ne travaillait pas afin de nous élever tous les trois, mais elle était très engagée dans la lutte pour le suffrage féminin, puis au Conseil communal d’Orbe au PS.

Après mon bac, j’ai commencé diverses études à l’uni, sans grande conviction, surtout intéressée par la liberté de la vie académique. Après quelque temps en lettres, j’ai « échoué » en faculté de droit où j’ai obtenu une licence. J’ai travaillé ensuite à temps partiel comme greffière-substitut au Tribunal cantonal vaudois où je rédigeais des jugements sans enthousiasme excessif, travail purement alimentaire qui n’a eu qu’un seul avantage, m’apprendre l’écriture.

Je me suis mariée en 1971 avec D., qui a répondu de son côté au même questionnaire. Nous n’avons pas eu d’enfants, par choix. Notre couple a tenu le coup et sa longévité (45 ans !) nous donne le vertige.

Après des années de rédaction de jugements à mi-temps, j’ai fini par craquer en 2004 ; et comme en plus, mes séquelles de polio commençaient à provoquer des fatigues invalidantes, j’ai arrêté de travailler pour avoir le rythme de vie adéquat. Mon dernier jour de travail a été le plus beau de ma vie. Depuis, j’écris des bouquins pour mon plaisir, des bouquins pas sérieux, un polar, des nouvelles. Je me publie toute seule et je m’embête pas à chercher un éditeur.

Süri, Claude

Sueri Daniel, témoignage

Süri Daniel, 5 mars 1951, famille ouvrière (père mécanicien poids lourds, mère infirmière puis femme au foyer, frère monteur en chauffage), naissance à Laupen (BE), enfance et apprentissage à Orbe. J’ai quatre formations professionnelles attestées ; dans l’ordre d’obtention : CFC d’employé de commerce, licence ès sciences politiques, CFC de monteurcopiste, Certificat universitaire de formateur d’adultes. Au moment où j’adhère à la LMR, je suis marié, sans enfant. Actuellement retraité, j’ai été rédacteur à l’Année politique suisse et chercheur au FNS, ensuite rédacteur à La Brèche, puis ouvrier, qualifié en cours d’emploi, dans l’imprimerie, pour passer ensuite dix ans à la Centrale suisse d’éducation ouvrière (aujourd’hui Movendo). Ensuite traducteur et formateur d’adultes indépendant jusqu’à la retraite.

Sueri, Daniel

Thévenaz-Christen Thérèse, témoignage

Thévenaz-Christen, Thérèse, 19 février 1949 ; parents : gérants d'un garage, père, mécanicien avec maîtrise fédérale ; mère : travailleuse domestique, formation de laborantine, secrétaire-comptable du garage en gérance. Famille domiciliée à Cully.
Militante à Lausanne d'abord. Je suis entrée à la LMR en tant qu'étudiante, maturité commerciale à Lausanne, licence de sociologie, brevet d'enseignement genevois (degré élémentaire), diplôme de didactiques des disciplines en sciences de l'éducation, thèse en didactique du français, sciences de l'éducation.
Célibataire.
Occupations prof. successives: secrétaire de direction à Zurich et à Genève ; assistante à l'Université de Genève, Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation ; enseignante primaire, formatrice en didactique du français ; chargée d'enseignement, puis maître d'enseignement et de recherche à l'Université de Genève en didactique du français (sciences de l'éducation). Actuellement retraitée.

Thévenaz-Christen, Thérèse

Bänziger Werner, Zeugnis

Bänziger Werner, 19.6.57, geboren in Zürich, obligatorische Schulzeit in Dietikon (ZH), darauf Umzug der Eltern nach Eggenwil (AG). Von dort aus besuchte ich das Gymnasium Zürich-Enge, weil der Einstieg ins aargauische Bildungssystem aufgrund der fehlenden Harmonisierung nicht funktionierte. In die RML bin ich als 16-Jähriger eingestiegen, ich wurde Teil der Mittelschülerzelle Maulwurf, wahrscheinlich weil mich mein Bruder Hugo Bänziger, der später als Banker Karriere machte, mitschleppte. So genau weiss ich das nicht mehr. Allerdings entsprach die RML meiner Tendenz zur Revolte: Nichts und niemand war damals meinen moralischen Ansprüchen gewachsen. Ich bin über Literatur politisiert worden, damals las ich Böll, Borchert, Brecht, Frisch, Grass und Lenz.
Nach Abschluss der Mittelschule liess ich mich zum Primarlehrer ausbilden. Nach dreieinhalb Jahren Unterrichtstätigkeit wechselte ich in den Journalismus und wurde Redaktor beim SP-Blatt Freier Aargauer (Volksrecht). Weil ich mich im Journalismus qualifizieren wollte, begann ich mit 27 Jahren ein Germanistik- und Geschichtsstudium. Um es zu finanzieren, unterrichtete ich damals an verschiedenen Berufsschulen. Die Arbeit machte Spass, sehr viel Spass sogar, deshalb entschied ich mich am Ende für die Ausbildung zum Gymnasiallehrer. Seit 1993 übe ich diesen Beruf an der Kantonsschule Wettingen aus. Diesen Entscheid habe ich nie bereut.

Werner Bänziger

Bollinger Bruno, Zeugnis

Bruno Bollinger, 12. Februar 1953
Soziale Herkunft, familiäre Herkunft:
Vater: Coiffeur, Elektromonteur, Elektrizitätswerk-Angestellter; Mutter: Dienstmädchen/Hausfrau
Stadt/Region während der RML-Zeit: Zug / Baar
Bildungsweg:
Primar- und Sekundarschule, Berufslehre
Herkunftsland/-region für die eingewanderten Mitglieder:
italienische Schweiz (Mesocco)
Status zur Zeit des Beitritts zur RML: ledig
Beruflicher Werdegang und heutige Situation:
Ausbildung als Übersetzer und Sprachlehrer, Bildungsverantwortlicher in Gewerkschaft GBI (Gewerkschaft Bau und Industrie), dann Unia, heute pensioniert

Bruno Bollinger

Bürkler Christof, Zeugnis

Bürkler Christof, 25.2.1951,
Eltern Kleinbauern in Rorschach, Unterhalt der Familie mit «Nebenerwerb», katholisch konservative Familie (1 Bruder, 2 Schwestern).
Gymnasium mit Matura 1972 im Internat Karl Borromäus in Altdorf. Theologiestudium in Fribourg (abgebrochen). Umzug nach Basel: Ciba-Arbeiter, Bauarbeiter, Lehre als Maurer, einige Jahre Maurer, Studium der Philosophie und Geschichte in Basel und Zürich (nicht abgeschlossen). Umzug von Basel (1986) in die Ostschweiz: Arbeit auf dem Betrieb der Eltern / des Bruders (Schweinehaltung, Schwei- nezucht). Heute Pension mit Ergänzungsleistungen.
Austritt aus der RML/SAP Ende 1980er Jahre in St.Gallen, in St.Gallen Aktivitäten im Gruppenvor- stand der Unia.

Bürkler Christof

Einsele Gabi, Zeugnis

Einsele Gabi (Gabriele), geboren am 20.9.1956 in Zürich, aufgewachsen in bürgerlichen Verhältnissen in Baden (bis 1967), danach in Ennetbaden (1968 –1976).Der Vater war Chemiker, die Mutter kaufmännische Angestellte/Hausfrau. Ich habe zwei Geschwister. Wir sind Schweizer, wir trugen jedoch einen deutschen Familiennamen (beide Elternteile stammen aus Familien von eingewanderten Deutschen). Mein Vater war Sympathisant der Freisinnigen Partei und Mitglied eines Service-Clubs (Lions) – meine Mutter hatte bis 1971 keine bürgerlichen Rechte, sie schien es auch nicht zu vermissen.

Gabi Einsele

El Hewehi Fausi, Zeugnis

EL-HEWEHI MARTI, Fausi, 6.2.1952, Sohn eines Ägypters und einer Schweizerin, in Ägypten geboren und seit früher Kindheit in der Schweiz (Allschwil BL, dann Basel). Während RML-Zeit in Basel wohnhaft, in fester Partnerschaft, keine Kinder (erst ab 1982), Student bis 1978, dann Lehrer und Entwicklungshelfer. Beruflich meist als Lehrer tätig (Basel, Barcelona, Burgdorf, Bern, Biel), zuerst auf Gymnasialstufe, dann als Fachhochschuldozent, seit 2016 in Rente

El Hewehi Fausi

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