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R. H.-P., témoignage

R H-P., né le 28 décembre 1950 à Bischofszell (Thurgovie). J’ai vécu au Locle de 1955 à 1973, à Neuchâtel de 1973 à 2012, à nouveau au Locle depuis janvier 2013.
Célibataire.
Scolarité au Locle (Ecole primaire, Ecole secondaire, Ecole de commerce / section diplôme) : 1956-1971
Formation à la Bibliothèque de la Ville – Neuchâtel, 1972-1974.
Bibliothécaire à la Faculté des sciences économiques, Université de Neuchâtel – 1975-juin 1976.
Bibliothécaire à la Bibliothèque Publique et universitaire - Neuchâtel (BPUN/ex-Bibliothèque de la Ville) – juillet 1976-décembre 2012.
Retraité en décembre 2012.

R. H-P.

Oppikofer Pierre-Yves, témoignage

Pierre-Yves Oppikofer, né le 12 avril 1955 à La Chaux-de Fonds. Mon père était ingénieur en mécanique, et ma mère, ménagère. Je suis l’ainé d’une famille de trois enfants. Mon père ayant choisi de travailler en indépendant, le niveau de vie de notre famille correspondait à celui des familles ouvrières qui représentaient la très grande majorité population de La Chauxde-Fonds. J’avais 18 ans lorsque j’ai adhéré à la LMR au moment de terminer le gymnase. Ensuite j’ai entamé des études de droit à l’université de Neuchâtel, non achevée. Plus tard, j’ai travaillé dans des entreprises de mécanique après avoir appris le métier de mécanicien de précision. Depuis 1999, je suis syndicaliste professionnel au Syndicat des services publics.

Pierre-Yves Oppikofer

S. U., témoignage

Né le 27.1.1943 en Suisse alémanique, dans une famille de couche moyenne aisée et conservatrice.
Père juriste et cadre dans une grande entreprise, mère bien occupée à la maison avec les quatre enfants. Sentiment de sécurité affective et matérielle pendant l’enfance, auquel l’ambiance conformiste mélangeait peu à peu de l’ennui. Maturité à l’école cantonale d’une petite ville de Suisse allemande ; il n’y avait pas d‘enfant d’ouvrier ou d’employé modeste parmi nous, les garçons portaient la cravate et se préparaient à suivre le parti radical ou le parti chrétien-social, et à grader dans l’armée. Études de médecine, à Genève pour changer d’air. Travail dans des cliniques et spécialisation en psychiatrie, puis en cabinet privé jusqu’à ma retraite en 2016, toujours à Genève. Entré à la LMR en 1971/72, étant marié et bientôt père d’un enfant né en 1972. Sorti du PSO en 1986.

S.U.

Gaillard Ursula, témoignage

Née Christen Ursula dans le canton de Berne en 1947, d’un père mécanicien sur auto et d’une mère laborantine puis femme au foyer et comptable du garage paternel, j’ai fait mes classes primaires dans plusieurs cantons alémaniques, l’école secondaire à Lausanne, ainsi que des études de lettres, après avoir passé un an aux Etats-Unis, à Dallas, Texas.
Je vivais en couple lors de l’adhésion à la LMR. Je me suis mariée en 1972 et depuis lors j’ai gardé le nom de Gaillard. Le mariage correpondait à un besoin d’être en règle administrative avec une société que je contestais si radicalement. Membre de la cellule enseignante de l’organisation et employée à titre temporaire depuis 1969 dans un collège lausannois où les jeunes du mouvement Spartacus distribuaient souvent des tracts, je supportais mal de devoir justifier mon concubinage au secrétariat de l’école. Ayant traduit avec bonheur quelques livres pour mon plaisir – dont l’Heure de cuivre, de Dres Balmer en 1984, interdit de vente parce qu’il parlait du HCR au Salvador – j’ai quitté l’instruction publique en 1989 pour devenir traductrice indépendante (littérature-histoire- sciences sociales). A ce titre, j’ai collaboré au Dictionnaire historique de la Suisse de 1993 à 2012. J’ai aussi enseigné le français à des femmes migrantes à Bex de 2007 à 2010 et j’anime chaque jeudi une permanence pour les migrant.e.s depuis 2006.

Gaillard, Ursula