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Description archivistique
AEHMO, BCU Lausanne Lausanne
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SSP section Lausanne

  • AEHMO_SSPL
  • Fonds
  • 1905 - 1999

Ces documents retracent les activités syndicales des ouvriers et employés de la Ville de Lausanne de 1905 à 1951. Les numéros du bulletin de la section, "Le Pavé", donnent des informations sur la vie de la section et l'action syndicale entre 1996 et 1999.

Syndicat des services publics (SSP), section Lausanne

Fonds du Comité d'aide et d'orientation des victimes de l'amiante

  • AEHMO_CAOVA
  • Fonds
  • 1975-2020

Le Comité d'aide et d'orientation des victimes de l'amiante (CAOVA) fut fondé en 2002 par François Iselin, son épouse Pierrette et quelques autres personnes. Ses objectifs primaires étaient de sensibiliser les autorités et l'opinion publique au drame humain causé par des décennies d'utilisation de l'amiante dans l'industrie du bâtiment, ainsi que de fournir un soutien psychologique, scientifique et juridique aux personnes souffrant des conséquences de l'exposition à ce minéral.
Outre la publication régulière du bulletin d'information "AlerteAmiante" et l'organisation d'évènements publics de tous genres (conférences, tables rondes, témoignages), le CAOVA se chargeait de soutenir les victimes de l'amiante dans leur bataille judiciaire pour l'obtention d'indemnisations en mettant à leur disposition un(e) avocat(e) et l'expertise scientifique et technique de F. Iselin.
N'étant plus sollicité depuis la création du Fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante (EFA) en 2017, et manquant de moyens financiers comme de militants actifs, le CAOVA a été dissout le 5 septembre 2020.

CAOVA (Comité d'aide et d'orientation des victimes de l'amiante)

Fonds Avant-coureurs

  • AEHMO_AC
  • Fonds
  • 1928 - 1984

Ce grand fonds contient une documentation intéressante sur une organisation visant à écarter du scoutisme bourgeois les enfants du prolétariat. La section de Lausanne fut créée en 1929 par Maurice Jeanneret (1886-1953), alors président du Parti socialiste lausannois.
Le fonds contient notamment des documents administratifs et officiels des Avant-coureurs lausannois (statuts, historiques, comptes, procès-verbaux, correspondance, etc.) ainsi que leurs publications (bulletin interne « L’Avant-coureur » et circulaires). Il conserve également des documents concernant leurs activités (camps, excursions, spectacles, fêtes, cabane des Boverattes, etc.) et du matériel utilisé pour la formation (matériel pédagogique, formation des cadres, répertoires de chants et de pièces de théâtre, histoire du mouvement ouvrier, etc.). On y trouve de plus de la documentation et des publications concernant d’autres organisations du scoutisme ouvrier en Suisse (notamment la Fédération suisse des Amis des Enfants (LASKO) et d’autres sections locales), des organisations internationales de jeunesse (comme l'International Falcon Movement ou la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique – FMJD), et plus largement diverses publications concernant la jeunesse. Le fonds contient en outre une série de photographies, d’affiches, de papillons et de petits objets. Certains documents du fonds proviennent de Maurice Karlen (1912-2000), de René Deschenaux (1928-1994) et du photographe Geo Würgler (1908-1986).

Avant-coureurs

XXX, anonyme, témoignage

Né en 1953, milieu très pauvre, adhésion dans la tendance du POP donnant naissance à la LMR, rebelle par instinct plus que par idéologie, mouvement des jeunes, puis actions illégales hors de la LMR, banditisme et enfin entrepreneuriat "social".

Anonyme

Thévenaz-Christen Thérèse, témoignage

Thévenaz-Christen, Thérèse, 19 février 1949 ; parents : gérants d'un garage, père, mécanicien avec maîtrise fédérale ; mère : travailleuse domestique, formation de laborantine, secrétaire-comptable du garage en gérance. Famille domiciliée à Cully.
Militante à Lausanne d'abord. Je suis entrée à la LMR en tant qu'étudiante, maturité commerciale à Lausanne, licence de sociologie, brevet d'enseignement genevois (degré élémentaire), diplôme de didactiques des disciplines en sciences de l'éducation, thèse en didactique du français, sciences de l'éducation.
Célibataire.
Occupations prof. successives: secrétaire de direction à Zurich et à Genève ; assistante à l'Université de Genève, Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation ; enseignante primaire, formatrice en didactique du français ; chargée d'enseignement, puis maître d'enseignement et de recherche à l'Université de Genève en didactique du français (sciences de l'éducation). Actuellement retraitée.

Thévenaz-Christen, Thérèse

Sueri Daniel, témoignage

Süri Daniel, 5 mars 1951, famille ouvrière (père mécanicien poids lourds, mère infirmière puis femme au foyer, frère monteur en chauffage), naissance à Laupen (BE), enfance et apprentissage à Orbe. J’ai quatre formations professionnelles attestées ; dans l’ordre d’obtention : CFC d’employé de commerce, licence ès sciences politiques, CFC de monteurcopiste, Certificat universitaire de formateur d’adultes. Au moment où j’adhère à la LMR, je suis marié, sans enfant. Actuellement retraité, j’ai été rédacteur à l’Année politique suisse et chercheur au FNS, ensuite rédacteur à La Brèche, puis ouvrier, qualifié en cours d’emploi, dans l’imprimerie, pour passer ensuite dix ans à la Centrale suisse d’éducation ouvrière (aujourd’hui Movendo). Ensuite traducteur et formateur d’adultes indépendant jusqu’à la retraite.

Sueri, Daniel

Sueri Claude, témoignage

22 septembre 1951. Je suis l’une des trois enfants d’un médecin de campagne installé à Orbe, où j’ai vécu toute mon enfance. Mon père, fils de pasteur, a rejeté très tôt la religion et s’est radicalisé politiquement dans les années 50, pour militer très activement au Parti socialiste, à défaut de POP à Orbe. Il était appelé dans toute la ville « L’œil de Moscou »…, bien qu’il n’ait jamais suivi sans critiques la doctrine orthodoxe des partis communistes. Il était aussi très actif dans la lutte antinucléaire. Ma mère était la fille unique d’une couturière veuve très tôt, qui a travaillé d’arrache-pied pour gagner leur vie à toutes deux ; elle a vécu dans un milieu de petits artisans fauchés la plupart du temps, où l’on travaillait beaucoup, mais où l’on s’amusait tout autant : la vie était belle malgré les dettes et les saridons avalés pour terminer les commandes. Ma mère ne travaillait pas afin de nous élever tous les trois, mais elle était très engagée dans la lutte pour le suffrage féminin, puis au Conseil communal d’Orbe au PS.

Après mon bac, j’ai commencé diverses études à l’uni, sans grande conviction, surtout intéressée par la liberté de la vie académique. Après quelque temps en lettres, j’ai « échoué » en faculté de droit où j’ai obtenu une licence. J’ai travaillé ensuite à temps partiel comme greffière-substitut au Tribunal cantonal vaudois où je rédigeais des jugements sans enthousiasme excessif, travail purement alimentaire qui n’a eu qu’un seul avantage, m’apprendre l’écriture.

Je me suis mariée en 1971 avec D., qui a répondu de son côté au même questionnaire. Nous n’avons pas eu d’enfants, par choix. Notre couple a tenu le coup et sa longévité (45 ans !) nous donne le vertige.

Après des années de rédaction de jugements à mi-temps, j’ai fini par craquer en 2004 ; et comme en plus, mes séquelles de polio commençaient à provoquer des fatigues invalidantes, j’ai arrêté de travailler pour avoir le rythme de vie adéquat. Mon dernier jour de travail a été le plus beau de ma vie. Depuis, j’écris des bouquins pour mon plaisir, des bouquins pas sérieux, un polar, des nouvelles. Je me publie toute seule et je m’embête pas à chercher un éditeur.

Süri, Claude

U.U., Zeugnis

U.U., weiblich, geboren 9. Mai 1943,
Eintritt Sektion Lausanne, später Sektion Zürich
ledig, keine Kinder,
Tochter einer Verkäuferin und eines Beamten der Stadtpolizei Zürich, d.h. kleinbürgerliches Milieu,
wohnhaft in der Stadt Zürich.
Bildungsweg:
6 Jahre Primarschule 4 Jahre Sekundarschule 3 Jahre Diplommittelschule (städtische) 4½ Jahre (private) Dolmetscherschule
Zürich. Abschluss in den Sprachen Deutsch, Französisch, Spanisch
Arbeit:
1964-­‐1968 Sekretärin bei verschiedenen Firmen
1968-­‐1971 Arbeit als Sekretärin und Übersetzerin
1972-­‐1974 Lehrerin auf der Sekundarstufe I
1977-­‐2007 Lehrerin für Französisch und allgemeinbildenden Unterricht an diversen kantonalen Berufsschulen
parallel zu obgenannten Tätigkeiten:
1988-­‐1990 Sekretärin (Teilzeit) bei der Gewerkschaft Druck und Papier (GDP) Zürich.
Ich wurde unter massgeblicher Beteiligung eines SAP-­‐Genossen unverschuldet entlassen.
1991-­‐1996 Sekretärin (Teilzeit) bei der Gewerkschaft Verkauf Handel Transport Lebensmittel (VHTL) Zürich.
Wurde entlassen, weil ich mich weigerte, den Kampf des VHTL gegen längere Ladenöffnungszeiten aufzugeben.
2007 Pensionierung

U.U.

Schoch Raymonde, témoignage

Je suis née le 8 mars 1951, à Daviaz, dans une famille paysanne modeste et catholique du Chablais valaisan. J’étais l’avant-dernière de 6 enfants. Mon père était paysan-charpentier et ma mère était paysanne-femme au foyer. J’ai fait mes classes secondaires chez les soeurs à St Maurice, puis j’ai accompli un apprentissage de coiffeuse, à Monthey. J’étais en couple non mariée à cette époque et sans enfant. Aujourd’hui, je suis mariée à un lausannois, j’ai une fille de 30 ans et je suis à la retraite du CICR où j’ai travaillé durant 25 ans, surtout au siège à Genève, et 2 ans sur le terrain au Soudan en Afrique, en tant que déléguée. Je vis à nouveau en Valais dans la maison familiale, après un exil volontaire de 40 ans.

Schoch, Raymonde

Rieben Pierre, témoignage

Pierre Rieben, 1935, originaire de Neuchâtel. Famille de la petite bourgeoisie enrichie (grand-père ouvrier, arrière grand-père paysan). Famille protestante pratiquante jusque vers 1950, puis toujours moins. Père « libéral extrémiste ». Un neveu à la LMR à Lausanne. Ma mère, mes soeurs, beaux-frères alignés tous sur le padre (comme moi jusqu’en 1950 environ).
Adhésion à la LMR en 1969 : cofondateur. Marié avec Marie-Paule, qui avait déjà deux enfants que nous avons élevé ensemble. Mon fils, d’une femme précédente, vivait à Paris avec sa mère.
Etudes : collège latin, gymnase à Neuchâtel pendant un an et demi. Puis rupture : j’ai passé un an en Allemagne. De retour, au lendemain de Diên Biên Phu, école privée à Lausanne pour préparer et me faire passer un « préalable » à l’Université de Lausanne (Sciences-Po et HEC). Un an d’université, puis permanent du POP de l956 à l960, puis arrêt après l’affaire Mayerat (cf plus bas) de 1960 à 64, puis repermanent de 1964 à l’expulsion du parti en 1969, 3 mois avant la création de la ligue.

Rieben, Pierre

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