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femme
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Mahaim Annik, témoignage

Mahaim Annik, 23.10.1951, franco-suisse, père médecin, mère le secondant dans son cabinet et élevant 4 enfants, Pully/Lausanne, étudiante en médecine (une année), puis en Lettres à Lausanne, célibataire et sans enfants dans les années 1970. A exercé divers métiers de plume et d’expression artistique, chanson, théâtre, journalisme. Actuellement écrivaine et animatrice d’ateliers d’écriture créative, vit au Mont sur Lausanne. Un fils.

Mahaim, Annick

Iselin Pierrette, témoignage

Iselin Pierrette 29.06.1943. vient d’un milieu enseignant, mon père était instituteur, ma mère venait d’un milieu vigneron.
Ma formation professionnelle : enseignante secondaire, brevet de maîtresse secondaire, mariée au moment de mon adhésion à la LMR, nom : Parriaux.

Iselin, Pierrette

Schoch Raymonde, témoignage

Je suis née le 8 mars 1951, à Daviaz, dans une famille paysanne modeste et catholique du Chablais valaisan. J’étais l’avant-dernière de 6 enfants. Mon père était paysan-charpentier et ma mère était paysanne-femme au foyer. J’ai fait mes classes secondaires chez les soeurs à St Maurice, puis j’ai accompli un apprentissage de coiffeuse, à Monthey. J’étais en couple non mariée à cette époque et sans enfant. Aujourd’hui, je suis mariée à un lausannois, j’ai une fille de 30 ans et je suis à la retraite du CICR où j’ai travaillé durant 25 ans, surtout au siège à Genève, et 2 ans sur le terrain au Soudan en Afrique, en tant que déléguée. Je vis à nouveau en Valais dans la maison familiale, après un exil volontaire de 40 ans.

Schoch, Raymonde

Sautebin Marie-Thérèse, témoignage

Née en France le 9.8.1947
Etudes de lettres à l’Université du Mans et de Caen, licences d’anglais et d’espagnol.
Enseignement des langues au Collège au Mans (68-72).
72, mariage avec Paul. Arrivée en Suisse sans trouver l’emploi correspondant à mes études.
72-92, divers boulots à temps partiel (cours de langues, secrétariat dans l’horlogerie et dans un cabinet d’avocates). Priorité mise sur l’engagement militant et non sur l’activité professionnelle.
78, naissance de David et poursuite de l’engagement.
87-92, reprise des études à la FAPSE, licence en Sciences de l’éducation.
93, activités professionnelles comme formatrice d’adultes, création d’un institut de formation pour adultes à Bienne, Espace de femmes pour la formation et l’emploi, devenu Espace de formations-Formation d’espaces (effe). Séparée en 97, puis divorcée.
2011, retraite professionnelle et engagement ponctuel comme formatrice bénévole en Afrique (Coopération pédagogique en Afrique – CPA).

Sautebin, Marie-Thèrèse

Thévenaz-Christen Thérèse, témoignage

Thévenaz-Christen, Thérèse, 19 février 1949 ; parents : gérants d'un garage, père, mécanicien avec maîtrise fédérale ; mère : travailleuse domestique, formation de laborantine, secrétaire-comptable du garage en gérance. Famille domiciliée à Cully.
Militante à Lausanne d'abord. Je suis entrée à la LMR en tant qu'étudiante, maturité commerciale à Lausanne, licence de sociologie, brevet d'enseignement genevois (degré élémentaire), diplôme de didactiques des disciplines en sciences de l'éducation, thèse en didactique du français, sciences de l'éducation.
Célibataire.
Occupations prof. successives: secrétaire de direction à Zurich et à Genève ; assistante à l'Université de Genève, Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation ; enseignante primaire, formatrice en didactique du français ; chargée d'enseignement, puis maître d'enseignement et de recherche à l'Université de Genève en didactique du français (sciences de l'éducation). Actuellement retraitée.

Thévenaz-Christen, Thérèse

Sueri Claude, témoignage

22 septembre 1951. Je suis l’une des trois enfants d’un médecin de campagne installé à Orbe, où j’ai vécu toute mon enfance. Mon père, fils de pasteur, a rejeté très tôt la religion et s’est radicalisé politiquement dans les années 50, pour militer très activement au Parti socialiste, à défaut de POP à Orbe. Il était appelé dans toute la ville « L’œil de Moscou »…, bien qu’il n’ait jamais suivi sans critiques la doctrine orthodoxe des partis communistes. Il était aussi très actif dans la lutte antinucléaire. Ma mère était la fille unique d’une couturière veuve très tôt, qui a travaillé d’arrache-pied pour gagner leur vie à toutes deux ; elle a vécu dans un milieu de petits artisans fauchés la plupart du temps, où l’on travaillait beaucoup, mais où l’on s’amusait tout autant : la vie était belle malgré les dettes et les saridons avalés pour terminer les commandes. Ma mère ne travaillait pas afin de nous élever tous les trois, mais elle était très engagée dans la lutte pour le suffrage féminin, puis au Conseil communal d’Orbe au PS.

Après mon bac, j’ai commencé diverses études à l’uni, sans grande conviction, surtout intéressée par la liberté de la vie académique. Après quelque temps en lettres, j’ai « échoué » en faculté de droit où j’ai obtenu une licence. J’ai travaillé ensuite à temps partiel comme greffière-substitut au Tribunal cantonal vaudois où je rédigeais des jugements sans enthousiasme excessif, travail purement alimentaire qui n’a eu qu’un seul avantage, m’apprendre l’écriture.

Je me suis mariée en 1971 avec D., qui a répondu de son côté au même questionnaire. Nous n’avons pas eu d’enfants, par choix. Notre couple a tenu le coup et sa longévité (45 ans !) nous donne le vertige.

Après des années de rédaction de jugements à mi-temps, j’ai fini par craquer en 2004 ; et comme en plus, mes séquelles de polio commençaient à provoquer des fatigues invalidantes, j’ai arrêté de travailler pour avoir le rythme de vie adéquat. Mon dernier jour de travail a été le plus beau de ma vie. Depuis, j’écris des bouquins pour mon plaisir, des bouquins pas sérieux, un polar, des nouvelles. Je me publie toute seule et je m’embête pas à chercher un éditeur.

Süri, Claude

S.A.A., témoignage

Née à Athènes en 1944 de parents athées. Père sympathisant du PC, parents cultivés. Part étudier à l'étranger à 18 ans. A 24 ans, licence en sciences politiques, diplôme de traductrice et demande en mariage.
Milite dans les milieux émigrés grecs d'opposition. Après la naissance de son fils en 1972, réduit son activité professionnelle et se sensibilise au discours féministe. Reprend des études en droit et rencontre des étudiants politiquement engagés, dont un membre de la LMR. Après son adhésion, milite dans le travail femmes. Intéressée par les possibilités de formation et de rencontres offertes par l'organisation.
Participe à la création de l'OFRA et de la revue "A tire d'elles". Collabore avec de nombreux groupes féministes. Bilan plutôt positif de son passage dans l'organisation. Reste active dans la presse militante et associative, engagée dans la 4e Marche Mondiale des Femmes et ATTAC.

A.S.A.

P. E., témoignage

P. E., née le 2.06.44 à Lausanne, de santé fragile, père employé de commerce, mère au foyer (formation commerciale), frère cadet de 3 ans, né après déménagement à Bienne, puis déménagement à Evilard; parents darbystes ("secte" protestante; mes deux arrière-grands-pères ont été des "Frères" importants). Certificat de maturité à Bienne en 1963, études de psychologie à Genève, diplômes en 67, licence printemps 68. Assistante à l'université de 1967 à 1975, psychologue conseillère en OP jusqu'en 1980, psychologue-psychothérapeute au Drop In (consultations pour toxicomanes) jusqu'à fin 88, psychologue-psychothérapeute installée en privé à Montreux de 1989 à 2008, approfondissant parallèlement ma formation en psychanalyse; retraitée depuis lors, avec d'importants problèmes de santé, qui génèrent une qualité de vie médiocre.

femme

Nadia, témoignage

Je suis Nadia ( le nom que j’avais choisi à l'époque de la LMR), tessinoise, 1949. Origine sociale? Milieu petit bourgeois,”ceto medio impiegatizio”Quand j’ai rencontré le couple militant de la LMR romande qui venait de s’installer à Lugano (A. et D.), j’étais enseignante d’école primaire, mariée, enceinte. Maintenant ? Je suis divorcée, à la retraite. Je ne suis plus militante depuis longtemps, mais la politique m’interesse toujours et au fond je n’ai vraiment pas changé d’idées.

Nadia

Miéville Ariane, témoignage

Ariane Miéville, 10.07.1957, Lausanne, fille d’une dentiste et d’un dessinateur-architecte, tous deux militants de la LMR. J’ai milité à la LMR entre 1974 et 1977. A l’époque j’étais gymnasienne, puis sans emploi (ou faisant de petits boulots) ayant interrompu mes études. En 1976-77, j’ai fait une école de secrétariat. Puis j’ai travaillé un temps comme secrétaire. La suite de ma « carrière » est relativement sinueuse, disons que j’ai « fait tous les métiers », fondé
une famille, étudié la sociologie et l’anthropologie, travaillé comme assistante à l’Université de Lausanne, vécu à l’étranger…
Actuellement, je travaille dans le secteur social dans la région lausannoise.

Miéville, Ariane

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