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B.B., témoignage

Né le 09.01.1942. Fils d’un paysan, à Eysins près de Nyon, sans terre depuis novembre 1946, finalement, manoeuvre dans une scierie au Mont s/ Lausanne, décédé en 1960 et d’une mère, capable de tout faire, couturière de formation, décédée en 2000, veuve ; un frère cadet ; famille très unie.
Collège scientifique, école normale, brevet fédéral de gymnastique et sport.
Marié dès 1963, 2 enfants, nés en 1964/69.
Maître d’éducation physique et de sport à Lausanne, de 1964 à 1977, donc à la création de la LMR.
Etudes à l'Universisté de Genève, économie et méthodes quantitatives. 1978-1982.
Diverses activités dans les services publics vaudois (domaines santé/social) jusqu’en 2002.
En particulier, création des centres médico-sociaux dans tout le canton.
Actuellement, retraité, marié avec JBF.
5 enfants vivants (décès de Manon en 1985). Bientôt (été 2016) 15 petits-enfants.
Abonnements :« Monde diplomatique, Solidarité, La Brèche (tant qu’il était sur papier), Manière de
voir, l’Hebdo.

B.B.

B.P., témoignage

Je suis né le 25 février 1950 dans le milieu de la petite bourgeoisie, au sein d'une famille éclatée, mais cependant mon père et ma mère ont été présents jusqu'à mes 18 ans.
J'ai suivi ma scolarité à Lausanne jusqu'au collège secondaire en section latin/anglais. A l'époque de mon adhésion j'étais fraichement marié, mais rapidement divorcé par la suite. J'ai commencé par avoir diverses activités, essentiellement dans le domaine social. Puis des cours m'avaient finalement ouvert les portes de l'enseignement secondaire privé. Je me suis par la suite lancé dans l'informatique (1976), travaillé à Cedips durant 9 ans, puis comme chef de fabrication, puis chef de vente, et enfin directeur de la filiale suisse d'une imprimerie belge. Fermeture de celle-ci, 2 ans et demi sans emploi, et reconversion totale dans le domaine de l'insertion professionnelle au sein de
l'OSEO-Vaud durant les 7 ans précédant ma retraite.

homme

Iselin Pierrette, témoignage

Iselin Pierrette 29.06.1943. vient d’un milieu enseignant, mon père était instituteur, ma mère venait d’un milieu vigneron.
Ma formation professionnelle : enseignante secondaire, brevet de maîtresse secondaire, mariée au moment de mon adhésion à la LMR, nom : Parriaux.

Iselin, Pierrette

Mahaim Annik, témoignage

Mahaim Annik, 23.10.1951, franco-suisse, père médecin, mère le secondant dans son cabinet et élevant 4 enfants, Pully/Lausanne, étudiante en médecine (une année), puis en Lettres à Lausanne, célibataire et sans enfants dans les années 1970. A exercé divers métiers de plume et d’expression artistique, chanson, théâtre, journalisme. Actuellement écrivaine et animatrice d’ateliers d’écriture créative, vit au Mont sur Lausanne. Un fils.

Mahaim, Annick

Miéville Jean, témoignage

Jean Miéville, marié, puis en couple (nouvelle compagne), 2 enfants. Né le 30.4. 1923. Petite bourgeoisie, élevé par ma mère. Collège scientifique à Lausanne. Apprentissage de dessinateur. Employé, puis indépendant pendant 25 ans.

Miéville, Jean

Nicod Georges, témoignage

Nicod Georges, né à Lausanne le 8 juillet 1948, de nationalité suisse, membre de la LMR de 1969 à fin 1977.

Mes parents
Ma mère, Marianne Nicod née Chinet, fille de l’artiste-peintre Charles Chinet, est issue de la petite-bourgeoisie de Rolle. Après son baccalauréat, elle n’a pas exercé d’activité professionnelle durable; veuve dès l’âge de 34 ans, cheffe de ménage avec 4 enfants à charge.
Mon père, Henri Nicod, licencié en lettres et professeur de français, a perdu son père instituteur à l’âge de 8 ans; sa mère, de famille paysanne, a élevé ses 4 enfants avec les rentes de la caisse de pension de l'Etat de Vaud (c'était avant l'AVS!) et les revenus de travaux de couture à domicile.

Ma formation académique
Filière littéraire (latin/grec) jusqu’au baccalauréat obtenu au Gymnase de la Cité à Lausanne en 1966.
Etudes de sciences de la terre à l’Université de Lausanne (diplôme de géologue en 1976).
Etudes à la fac de lettres de l’UNIL (notamment histoire, français) de 1993 à 1997 (études non terminées).

Mon statut au moment de mon adhésion à la LMR (1969)
Etudiant en sciences de la terre à l'Université de Lausanne, célibataire, je vis alors chez ma mère
avec mon frère et mes deux soeurs. Je n’ai encore exercé que quelques jobs alimentaires
temporaires.

Georges Nicod

P.O., témoignage

Px. O., 17 mai 1943, milieu social d’instituteurs de village, lui fils d’ouvrier, féru d’histoire, elle fille de paysan, tous deux pratiquant la musique et animant la vie culturelle des environs.
Education : primaire supérieure, Ecole Normale puis diplôme de physique et thèse EPFL; postdoc à Londres puis à Moscou en 1979-80. Activité depuis : R&D en optique, présentement professeur émérite, université de Lyon.
Statut lors de l’adhésion à la LMR : étudiant, en couple, sans enfant.

P.O.

Rieben Pierre, témoignage

Pierre Rieben, 1935, originaire de Neuchâtel. Famille de la petite bourgeoisie enrichie (grand-père ouvrier, arrière grand-père paysan). Famille protestante pratiquante jusque vers 1950, puis toujours moins. Père « libéral extrémiste ». Un neveu à la LMR à Lausanne. Ma mère, mes soeurs, beaux-frères alignés tous sur le padre (comme moi jusqu’en 1950 environ).
Adhésion à la LMR en 1969 : cofondateur. Marié avec Marie-Paule, qui avait déjà deux enfants que nous avons élevé ensemble. Mon fils, d’une femme précédente, vivait à Paris avec sa mère.
Etudes : collège latin, gymnase à Neuchâtel pendant un an et demi. Puis rupture : j’ai passé un an en Allemagne. De retour, au lendemain de Diên Biên Phu, école privée à Lausanne pour préparer et me faire passer un « préalable » à l’Université de Lausanne (Sciences-Po et HEC). Un an d’université, puis permanent du POP de l956 à l960, puis arrêt après l’affaire Mayerat (cf plus bas) de 1960 à 64, puis repermanent de 1964 à l’expulsion du parti en 1969, 3 mois avant la création de la ligue.

Rieben, Pierre

Sueri Claude, témoignage

22 septembre 1951. Je suis l’une des trois enfants d’un médecin de campagne installé à Orbe, où j’ai vécu toute mon enfance. Mon père, fils de pasteur, a rejeté très tôt la religion et s’est radicalisé politiquement dans les années 50, pour militer très activement au Parti socialiste, à défaut de POP à Orbe. Il était appelé dans toute la ville « L’œil de Moscou »…, bien qu’il n’ait jamais suivi sans critiques la doctrine orthodoxe des partis communistes. Il était aussi très actif dans la lutte antinucléaire. Ma mère était la fille unique d’une couturière veuve très tôt, qui a travaillé d’arrache-pied pour gagner leur vie à toutes deux ; elle a vécu dans un milieu de petits artisans fauchés la plupart du temps, où l’on travaillait beaucoup, mais où l’on s’amusait tout autant : la vie était belle malgré les dettes et les saridons avalés pour terminer les commandes. Ma mère ne travaillait pas afin de nous élever tous les trois, mais elle était très engagée dans la lutte pour le suffrage féminin, puis au Conseil communal d’Orbe au PS.

Après mon bac, j’ai commencé diverses études à l’uni, sans grande conviction, surtout intéressée par la liberté de la vie académique. Après quelque temps en lettres, j’ai « échoué » en faculté de droit où j’ai obtenu une licence. J’ai travaillé ensuite à temps partiel comme greffière-substitut au Tribunal cantonal vaudois où je rédigeais des jugements sans enthousiasme excessif, travail purement alimentaire qui n’a eu qu’un seul avantage, m’apprendre l’écriture.

Je me suis mariée en 1971 avec D., qui a répondu de son côté au même questionnaire. Nous n’avons pas eu d’enfants, par choix. Notre couple a tenu le coup et sa longévité (45 ans !) nous donne le vertige.

Après des années de rédaction de jugements à mi-temps, j’ai fini par craquer en 2004 ; et comme en plus, mes séquelles de polio commençaient à provoquer des fatigues invalidantes, j’ai arrêté de travailler pour avoir le rythme de vie adéquat. Mon dernier jour de travail a été le plus beau de ma vie. Depuis, j’écris des bouquins pour mon plaisir, des bouquins pas sérieux, un polar, des nouvelles. Je me publie toute seule et je m’embête pas à chercher un éditeur.

Süri, Claude

Sueri Daniel, témoignage

Süri Daniel, 5 mars 1951, famille ouvrière (père mécanicien poids lourds, mère infirmière puis femme au foyer, frère monteur en chauffage), naissance à Laupen (BE), enfance et apprentissage à Orbe. J’ai quatre formations professionnelles attestées ; dans l’ordre d’obtention : CFC d’employé de commerce, licence ès sciences politiques, CFC de monteurcopiste, Certificat universitaire de formateur d’adultes. Au moment où j’adhère à la LMR, je suis marié, sans enfant. Actuellement retraité, j’ai été rédacteur à l’Année politique suisse et chercheur au FNS, ensuite rédacteur à La Brèche, puis ouvrier, qualifié en cours d’emploi, dans l’imprimerie, pour passer ensuite dix ans à la Centrale suisse d’éducation ouvrière (aujourd’hui Movendo). Ensuite traducteur et formateur d’adultes indépendant jusqu’à la retraite.

Sueri, Daniel

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