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Graef Philippe, témoignage

GRAEF Philippe, né le 23 juin 1948 de famille bourgeoise (fabrique d’horlogerie) à La Chaux-de-Fonds. Ecoles secondaires au collège Champittet (internat) à Pully. Bac français à Besançon. Uni de Neuchâtel en fac de Lettres (grande époque de mon militantisme). Licence archéo + ethno. Autres écoles (Cinéma, architecture). Marié en 1981, deux fils. Engagements non professionnel puis professionnel dans le domaine du patrimoine architectural (Conservateur des Monuments et Sites pendant 2 ans). Organisateurs de voyages culturels depuis 20 ans.

Graef, Philippe

P.O., témoignage

Px. O., 17 mai 1943, milieu social d’instituteurs de village, lui fils d’ouvrier, féru d’histoire, elle fille de paysan, tous deux pratiquant la musique et animant la vie culturelle des environs.
Education : primaire supérieure, Ecole Normale puis diplôme de physique et thèse EPFL; postdoc à Londres puis à Moscou en 1979-80. Activité depuis : R&D en optique, présentement professeur émérite, université de Lyon.
Statut lors de l’adhésion à la LMR : étudiant, en couple, sans enfant.

P.O.

Sueri Claude, témoignage

22 septembre 1951. Je suis l’une des trois enfants d’un médecin de campagne installé à Orbe, où j’ai vécu toute mon enfance. Mon père, fils de pasteur, a rejeté très tôt la religion et s’est radicalisé politiquement dans les années 50, pour militer très activement au Parti socialiste, à défaut de POP à Orbe. Il était appelé dans toute la ville « L’œil de Moscou »…, bien qu’il n’ait jamais suivi sans critiques la doctrine orthodoxe des partis communistes. Il était aussi très actif dans la lutte antinucléaire. Ma mère était la fille unique d’une couturière veuve très tôt, qui a travaillé d’arrache-pied pour gagner leur vie à toutes deux ; elle a vécu dans un milieu de petits artisans fauchés la plupart du temps, où l’on travaillait beaucoup, mais où l’on s’amusait tout autant : la vie était belle malgré les dettes et les saridons avalés pour terminer les commandes. Ma mère ne travaillait pas afin de nous élever tous les trois, mais elle était très engagée dans la lutte pour le suffrage féminin, puis au Conseil communal d’Orbe au PS.

Après mon bac, j’ai commencé diverses études à l’uni, sans grande conviction, surtout intéressée par la liberté de la vie académique. Après quelque temps en lettres, j’ai « échoué » en faculté de droit où j’ai obtenu une licence. J’ai travaillé ensuite à temps partiel comme greffière-substitut au Tribunal cantonal vaudois où je rédigeais des jugements sans enthousiasme excessif, travail purement alimentaire qui n’a eu qu’un seul avantage, m’apprendre l’écriture.

Je me suis mariée en 1971 avec D., qui a répondu de son côté au même questionnaire. Nous n’avons pas eu d’enfants, par choix. Notre couple a tenu le coup et sa longévité (45 ans !) nous donne le vertige.

Après des années de rédaction de jugements à mi-temps, j’ai fini par craquer en 2004 ; et comme en plus, mes séquelles de polio commençaient à provoquer des fatigues invalidantes, j’ai arrêté de travailler pour avoir le rythme de vie adéquat. Mon dernier jour de travail a été le plus beau de ma vie. Depuis, j’écris des bouquins pour mon plaisir, des bouquins pas sérieux, un polar, des nouvelles. Je me publie toute seule et je m’embête pas à chercher un éditeur.

Süri, Claude

B.G., témoignage

G. B., 11.03.1947, famille de la petite bourgeoisie, 2 frères, Lugano, tertiaire, école de commerce.
Mariée au moment de l'adhésion. Licenciée ensuite en Sciences de l'éducation à l'Université de Genève.

B.G.

Durussel Claude, témoignage

Claude Durussel, né le 22 janvier 1948 à Neuchâtel. Père représentant de commerce et mère vendeuse. Après une jeunesse à Bruxelles où j’ai commencé à me conscientiser politiquement, j’ai fait une matu au gymnase de la Cité puis une licence en science po à l’Uni de Lausanne acquise en 1971. Après un long voyage de presque 2 ans et divers petits boulots, j’ai commencé à enseigner au collège en 1974 jusqu’à ma retraite en 2010. J’ai 2 enfants de 38 et 28 ans et 2 petits- enfants de 4 et 5 ans. Je vis avec ma partenaire depuis une trentaine d’années.

Claude Durussel

Fortin Jacques, témoignage

Fortin, Jacques, 18/07/45, famille petite bourgeoisie. française protestante, milieu familial marqué par l’appartenance au protestantisme dans une ville très catholique avant Vatican II, donc circonscrite à la jeunesse paroissiale + une famille juive et une ou deux familles athées et une catho condisciple de mon père. Chartres, lycée, bac puis école préparatoire théologie protestante Lyon et fac de théol. Lausanne une année.
Etudiant théologie au moment de l’adhésion. Célibataire avec un enfant. Divers métiers sans vraie profession, cadre moyen. Actuellement retraité, marié à un homme après un pacs.

Fortin, Jacques

J.C., témoignage

C.J., 30.05.1949, père : famille de petits industriels jurassiens (horlogerie), mère : couturière. Formation : école libre (religieuse, catholique), école secondaire, gymnase, université, licence en sociologie. Statut au moment de l’entrée à la LMR : célibataire, sans enfant.
Parcours prof. : quelques emplois peu satisfaisants, puis 2ème formation en psychologie, assistanat à l’Université de Lausanne, thèse en sociologie, emploi de longue durée à l’Office fédéral de la statistique, actuellement retraitée.

J.C.

Oppikofer Pierre-Yves, témoignage

Pierre-Yves Oppikofer, né le 12 avril 1955 à La Chaux-de Fonds. Mon père était ingénieur en mécanique, et ma mère, ménagère. Je suis l’ainé d’une famille de trois enfants. Mon père ayant choisi de travailler en indépendant, le niveau de vie de notre famille correspondait à celui des familles ouvrières qui représentaient la très grande majorité population de La Chauxde-Fonds. J’avais 18 ans lorsque j’ai adhéré à la LMR au moment de terminer le gymnase. Ensuite j’ai entamé des études de droit à l’université de Neuchâtel, non achevée. Plus tard, j’ai travaillé dans des entreprises de mécanique après avoir appris le métier de mécanicien de précision. Depuis 1999, je suis syndicaliste professionnel au Syndicat des services publics.

Pierre-Yves Oppikofer

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