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Francioli Renaldo, témoignage

Nom : Francioli
Prénom : Renaldo
Né en 1942
Origine sociale : classe moyenne (père dessinateur architecte, mère au foyer.) Milieu familial : 2 frères.
Ville et région activité : Lausanne et Vaud
Collège Classique, Gymnase, EPUL (ing.-civil).
Italien à la naissance, suisse par naturalisation des parents.
Célibataire à création de la LMR.
Marié et 3 enfants.
J’ai travaillé dans la coopération (Helvetas), puis avec des entreprises privées suisses et françaises. A partir de sept.1965, travail à l’étranger : Canada, Cambodge, Cameroun, Lybie, Bénin, Zaire, Cameroun, Guinée, Madagascar, Tanzanie, Burundi, Rwanda, Cong Brazza, Tchad.
Séjour en Suisse : 1966-1967 : 10 mois
1968-1970 : 2 ans 1973-1974 : 1 an
Actuellement retraité.

Francioli, Renaldo

Fortin Jacques, témoignage

Fortin, Jacques, 18/07/45, famille petite bourgeoisie. française protestante, milieu familial marqué par l’appartenance au protestantisme dans une ville très catholique avant Vatican II, donc circonscrite à la jeunesse paroissiale + une famille juive et une ou deux familles athées et une catho condisciple de mon père. Chartres, lycée, bac puis école préparatoire théologie protestante Lyon et fac de théol. Lausanne une année.
Etudiant théologie au moment de l’adhésion. Célibataire avec un enfant. Divers métiers sans vraie profession, cadre moyen. Actuellement retraité, marié à un homme après un pacs.

Fortin, Jacques

Federer Matthias, Zeugnis

F. M., 15.02.1951, geboren und aufgewachsen in R. (Kanton SG), als dritter von vier Söhnen von J.F., 1916 –1999, Kaufmann, Verwalter landw. Genossenschaft Goldach, und M. -M. F-F., 1917 –1996, Hausfrau, teilzeit berufstätig in der Genossenschaft. (Mein Vater hat alle Familiendokumente und –korrespondenz, Gästebücher, Fotos, Kassabücher etc. aufbewahrt, was vor ihm teilweise auch mein Grossvater väterlicherseits (K.F., 1881-1949) getan hat. Da das Staatsarchiv St. Gallen Interesse an diesem Nachlass zeigte, ist er seit zwei Jahren dort archiviert.)
Ab 1965 Gymi in St. Gallen, klassisch (mit Griechisch). In der Kantonsschule St. Gallen war ich massgeblich beteiligt an der Auseinandersetzung um eine Schülerzeitung 1969 und an der „Aktion Rotes Herz“ 1970. Mitglied der Gruppe „basis“ und Mitarbeit am „Roten Gallus“. Teilnahme an „Antiintegrationskursen“ (Theo Pinkus, Bertold Rothschild). Unterlagen dazu ebenfalls im Staatsarchiv St. Gallen (http://scope.staatsarchiv.sg.ch/detail.aspx?ID=388544 und http://scope.staatsarchiv.sg.ch/detail.aspx?ID=637026
Wohnsitz und Studium ab 1971 in Zürich (Klinische Psychologie,Psychopathologie und Pädagogik), Teilzeitarbeit (2 Nächte/Woche) als „Umlader“ auf der Sihlpost Zürich, schon vorher auf der Post St. Gallen. Mitglied der bresche-Hochschulgruppe und RML in Zürich. Abschluss des Studiums mit Lizentiat 1977. 1977 bis 1979 Jugendhausleiter Adliswil (50%-Job).
Ab 1981 Schulpsychologe (bis 2001 in Dietikon) meist in Teilzeit (60 bis 75%) bis 2003, unterbrochen von einem Forschungsjahr in Dresden (1996/97). Heute Dr. phil. Psychotherapeut für Kinder, Jugendliche, Paare und Erwachsene in eigener Praxis Zürich. Ab 2010 verheiratet, ab gleichem Jahr Vater eines Buben, übernehme mindestens 50% der Betreuung, „gemeinsam erziehend“.

Mann

F. C., témoignage

Né à Lausanne, 17.12.54. Père bâlois & employé à la SBS. Mère anglaise enseignait à temps partiel dans des écoles privées. 2 frères, 1 sœur.
Scolarité à Ls => Baccalauréat latin-grec.
Adhéré à la LMR l’été 73 dès la fin des examens du bac (cette année là, il n’y eut, je crois, que deux échecs).
A la rentrée 73 je suis resté une semaine à l’uni, fait un peu de temporaire, école de recrues en 74. Ensuite je suis devenu permanent chez CEDIPS (l’imprimerie de la LMR) à la rue de la Borde pendant deux ans.
Etudes de lettres deux autres années sans résultat...
Apprentissage de mécanique générale 78-82.
Fin 82 participé à la première session de l’IIRF à Amsterdam.
Entré chez Bobst SA en fév. 82 ... jusqu’à aujourd’hui.
Juin 88 - juil 89 coopérant technique au Nicaragua.
Dès le printemps 78 à sa mort en nov 15, partagé la vie de Martine.
Rencontré Martine au travers de membres de la LMR. Elle a également adhéré au PSO par la suite mais n’en a pas gardé un très bon souvenir.
Trois filles, deux petites filles.

homme

Eschmann Jacques, témoignage

Jacques Eschmann, 27 février 1947, originaire de Vellerat JU.
Origine sociale modeste : mes deux grands-pères étaient ouvriers d’usine, mes deux grands-mères femmes au foyer. Mes deux parents ont fait un apprentissage d’employé-e de bureau. Puis mon père a gravi les échelons jusqu’à devenir gérant d’une entreprise correspondant aujourd’hui à une Landi cantonale, où il a fait toute sa carrière professionnelle. Ma mère a cessé son activité professionnelle après son mariage.
Je suis l’aîné d’une famille de 6 enfants.
J’ai toujours habité à Delémont jusqu’à l’âge de 19 ans, puis je suis parti à l’université de Fribourg, ville que je n’ai plus quittée.
Ecoles primaire et secondaire à Delémont, maturité scientifique à l’Ecole cantonale de Porrentruy, études universitaires à Fribourg (licence en sciences). J’ai pratiqué l’enseignement jusqu’à ma retraite au niveau du secondaire II.
Au moment de fonder la LMR de Fribourg (1971), j’étais fraîchement marié, sans enfants.
De profession, j’étais alors assistant en géographie à l’Uni de Fribourg et enseignant (quelques heures par semaine). Après avoir quitté l’uni en 1975 (raison : interdiction professionnelle pour
« appartenance à une organisation [la LMR] qui a soutenu l’occupation de la Mensa de l’Uni de Fribourg », selon l’ « acte d’accusation » du Conseil d’Etat fribourgeois), j’ai progressivement augmenté mes heures d’enseignements (géographie et français langue étrangère) aux Cours d’Introduction aux Universités suisses (CIUS) jusqu’à la fermeture de cette école (fin 2011), à la suite de quoi j’ai pris ma retraite. De 2000 à 2011, j’étais enseignant dans cette école, mais aussi vice-directeur à quart temps. De 1991 à 2001, j’ai également été conseiller communal (exécutif) à temps partiel à la ville de Fribourg.
Retraité depuis janvier 2012.

Eschmann, Jacques

Emmenegger Kurt, Zeugnis

Emmenegger Kurt, geboren 11.5.1955, Sektion Aargau/Solothurn

Geboren in Leuggern AG, aufgewachsen in Gippingen AG. Vater wie Mutter wuchsen auf Bauernhöfen auf und wurden proletarisiert. Der Vater machte nach dem 2.Weltkrieg eine Anlehre zum Schichtführer einer chemischen Anlage und arbeitete im gleichen Betrieb über 40 Jahre bis zu seiner Pensionierung. Die Mutter machte eine KV-Ausbildung und führte während des grössten Teils ihres Lebens bis zur Pensionierung die gesamte Administration und den Laden eines Elektro-Fachgeschäftes. Ich wuchs mit 4 Geschwistern (2 älteren Brüdern, einem jüngeren Bruder und einer jüngeren Schwester) auf dem Lande in einer tief-katholischen Gegend auf, damals bis in alle Lebenslagen hinein dominiert von den Katholisch-Konservativen. Die Primarschule besuchte ich in Gippingen, die Bezirksschule in Leuggern und dann die Kantonsschule in der Kleinstadt Baden. Mit dem Übertritt in die Kantonsschule (also 16jährig) zog ich in die Region Baden, wo ich hängen blieb. Seit 33 Jahren lebe ich nun in der Stadt Baden selbst.

Kurt Emmenegger

Emission de la Télévision suisse romande sur l’affaire des fiches - avec témoignage de 2 (ex) militants - P. Siegrist et J. Eschmann

Au début des années 90, l'affaire Kopp met en lumière des dysfonctionnements graves au Département de Justice et police. Durant leur travail d'enquête, les membres de la commission parlementaire découvrent l'existence d'importants fichiers constitués illégalement. C'est le début d'un énorme scandale: plus de 900'000 fiches tracent les activités les plus quotidiennes de Suisses et d'étrangers, essentiellement des personnes de gauche.

Sous la pression de l'opinion publique et de la presse, Berne est contraint d'ouvrir ses fichiers. Ce reportage de Tell Quel suit plusieurs personnes fichées découvrant leur dossier. C'est tout une organisation de flicage, avec notamment l'emploi d'indicateurs souvent proches des personnes suivies, qui éclate au grand jour.

RTS (Radio Télévision suisse)

Emission de la Télévision suisse romande - 40 heures - Michel Thévenaz

Au mois de novembre 1973, les Organisations progressistes de Suisse (POCH), soutenues par la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR) déposent une initiative visant à généraliser les 40 heures hebdomadaires de travail. Trois ans plus tard, lors d'un débat télévisé qui a lieu quelques jours avant la votation du 5 décembre 1976, Michel Thevenaz, le bouillant représentant de la LMR, affirme que la prospérité suisse rend possible la mise en oeuvre rapide de cette initiative.

RTS (Radio Télévision suisse)

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