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Mahaim Annik, témoignage

Mahaim Annik, 23.10.1951, franco-suisse, père médecin, mère le secondant dans son cabinet et élevant 4 enfants, Pully/Lausanne, étudiante en médecine (une année), puis en Lettres à Lausanne, célibataire et sans enfants dans les années 1970. A exercé divers métiers de plume et d’expression artistique, chanson, théâtre, journalisme. Actuellement écrivaine et animatrice d’ateliers d’écriture créative, vit au Mont sur Lausanne. Un fils.

Mahaim, Annick

M.G., témoignage

Je suis né le 27 juillet 1948 à Châtel-St-Denis. J’ai une soeur de deux ans mon aînée. Mon père, paysan-fromager est décédé quelques mois avant ma naissance d’une tuberculose. Anecdote : une demande d’aide financière pour des soins onéreux, à l’époque, à la « Chaîne du Bonheur » a obtenu une fin de non-recevoir. Ma mère fut gérante du kiosque Naville de la gare. Elle partait travailler à 6 heures et rentrait vers 20 heures et gagnait de quoi nous permettre de survivre. Ma grand-mère, une femme bonne et généreuse s’occupait de nous au jour le jour. Autant dire que j’ai bénéficié d’une liberté quasi totale durant toute mon enfance. J’ai appris à me débrouiller et j’ai très tôt pris conscience de ma situation et décidé de me battre si je voulais « réussir » dans l’existence. J’ai eu une éducation catholique ouverte. Et ma première prise de conscience « humaniste » fut un beau jour de Noël. Devant la crèche de l’Eglise St-Nicolas de Châtel-St-Denis se trouvait une crousille. Sur cette crousille la statuette d’un noir qui baissait la tête chaque fois qu’une pièce y était glissée. Ecole primaire multi-âge à 40 élèves, école secondaire, Ecole de Commerce à Lausanne pour éviter l’internat à Fribourg. Et pour terminer HEC à Lausanne, soit 7 années à faire les trajets Châtel-Lausanne. Mon idée première était de réussir une carrière économique (sorte de revanche sur le
passé ?). C’est la rencontre avec des sympathisants de la LMR, dans le cadre universitaire, qui m’a mis sur le chemin vers un engagement plus social, soit l’enseignement. Pour autant que ma mémoire chronologique ne me trahisse pas, les événements de mai 68 se sont traduits à l’Uni de Lausanne par des cours parallèles sur le marxisme donnés par CH-A que j’ai suivi à la manière d’un étudiant studieux ! Autant que mes « camarades HEC » suivaient ceux d’un certain F. Schaller. La suite, 30 ans dans l’enseignement dont 28 à Yverdon, et pour finir comme directeur d’un établissement secondaire de 950 élèves, sous la forme d’une direction collégiale avec responsabilité directoriale, beaucoup de projets réalisés, un agenda 21 (environnement, citoyenneté) de l’établissement, une assemblée des élèves, des leçons à deux balles, etc. Actuellement : retraité.

homme

Loup Suzanne, témoignage

Je m'appelle Suzanne Loup, je suis née en 1949 à la campagne, au Val-de-Ruz, au milieu des fleurs puisque mes parents
étaient horticulteurs. J'ai débarqué dans la ville de Neuchâtel pour suivre les études gymnasiales puis l'école Normale
qui a fait de moi une institutrice . C'est aussi à ce moment que j'ai adhéré à la LMR avec mon compagnon . J'étais en
couple et plus tard, j'ai eu 2 enfants. J'ai enseigné dans le canton jusqu'en 2008, année où j'ai pris ma retraite..

Loup, Suzanne

Loertscher Clive, témoignage

LOERTSCHER Clive, 17 octobre 1948, milieu modeste (père magasinier dans un garage, mère au foyer), famille nombreuse du côté de ma mère (9 frères et soeurs). Ai été le seul de mes 24 cousines et cousins à faire des études universitaires.
Vivait à l’époque à Lausanne depuis mes 6 ans, collège secondaire, maturité latin-anglais, licence ès sciences politiques UNIL, assistant à l’Uni à l’époque, puis enseignant secondaire et de gymnase, directeur de gymnase et enseignant secondaire à nouveau.
En couple à l’époque.

Loertscher, Clive

Lehmann Anton, Zeugnis

Lehmann Anton, 15.03.1946

SozialeHerkunft
Vater: proletarisierter Bauer /Psychiatriepfleger; Mutter: Verdingkind/Hausfrau

Familiäre Herkunft
Heimatort Rüeggisberg /Kt. Bern, aufgewachsen in Ostermundigen bei Bern Stadt/Region
zur RML-­‐Zeit Wohnhaft in Ostermundigen/BE bis 1972 im Haus der Eltern
Ab 1973/74 in Bern, Wohngemeinschaft Neubrückstrasse 67

Bildungsweg
Primar-­‐ und Sekundarschule, kaufmännische Lehre, Sprachaufenthalte in England (Lower Cambridge) und Italien (Università per Stranieri, Perugia),

  1. Bildungsweg mit Handelsmatur, Studium lic.rer.pol. (Abschluss 1979 in Bern), anschl. berufsbegleitende
    Weiterbildungen im Sport: Diplomtrainer in Magglingen, sonderpädagogische, methodisch-­‐didaktische Fortbildung, dipl. Hochschuldidaktiker der Berner Fachhochschule /Eidg. Hochschule für Sport Magglingen; Spracherwerb zusätzlich zu Französisch, Englisch und Italienisch: Spanisch und Thailändisch.

Lehmann Anton

J.C., témoignage

C.J., 30.05.1949, père : famille de petits industriels jurassiens (horlogerie), mère : couturière. Formation : école libre (religieuse, catholique), école secondaire, gymnase, université, licence en sociologie. Statut au moment de l’entrée à la LMR : célibataire, sans enfant.
Parcours prof. : quelques emplois peu satisfaisants, puis 2ème formation en psychologie, assistanat à l’Université de Lausanne, thèse en sociologie, emploi de longue durée à l’Office fédéral de la statistique, actuellement retraitée.

J.C.

Iselin Pierrette, témoignage

Iselin Pierrette 29.06.1943. vient d’un milieu enseignant, mon père était instituteur, ma mère venait d’un milieu vigneron.
Ma formation professionnelle : enseignante secondaire, brevet de maîtresse secondaire, mariée au moment de mon adhésion à la LMR, nom : Parriaux.

Iselin, Pierrette

Huber Peter, Zeugnis

Huber, Peter, geb. 26.7. 1954 in Zürich.
Ich bin Sohn eines typischen Aufsteigers der Nachkriegsjahre: Mein Vater, geboren in einer stockkatholischen Familie in Zug, studierte Staatswissenschaften und gründete zu Beginn der 60er Jahren in Zürich ein Treuhandbüro, das florierte und bald 8 Angestellte hatte. Mit meinen beiden Schwestern und mir ging er grosszügig um, sowohl was die jugendlichen Freiheiten, politische Gedanken als auch Sackgeld und überhaupt Auslagen betraf. Die Mutter, aus bescheidenem Milieu und ohne Ausbildung, war strenger.
Bei Eintritt in die RML (das muss Sommer 1973 gewesen sein) wohnte ich bei den Eltern (Einfamilienhaus in Baar), besuchte die Kantonsschule Zug, wo ich im Sommer 1974 die Matura (Latein) machte. Danach Studium der Geschichte und franz. Literatur in Zürich, ein Studiensufenthalt in Paris (1979) und in Granada (1983), abgeschlossen mit dem Doktorat (Zürich, 1986).
Seit 1997 Privatdozent an der Uni Basel, seit 2002 getrennt lebend von meiner Frau, von der ich zwei Kinder habe.

Huber Peter

Graf Hans-Peter, Zeugnis

Graf Hans-­‐Peter, 26. Mai 1952, Geburts-­‐ und Wohnort Stadt Zürich;
mein Vater war Rangierarbeiter bei den SBB, die Mutter Verkäuferin im Detailhandel (viele Jahre bei der Migros, später Schuhhaus Walder); während der gesamten RML-­‐Zeit wohnte und arbeitete ich in der Stadt Zürich; mein Bildungsweg war «normal» – 6 Jahre Primar-­‐und 3 Jahre Sekundarschule, danach 4-­‐jährige Lehre als Schriftsetzer (Bleisatz, heutige Bezeichnung «Polygraf»).
Zur Zeit des Beitritts zur RML war ich ledig (ohne Kinder); ab Dezember 1974 bis April 1977 erwerbslos. Während meinem weiteren beruflichen Werdegang machte ich zwei berufsbegleitende Weiterbildungen der grafischen Branche mitEidgenössischem Fähigkeitsausweis (EFA). Ich arbeitete immer in der Medienbranche (Druckereien, Gestalter auf Zeitungs-­ und Zeitschriftenredaktionen).
Vom 1. Mai 2001 bis 30. Juni 2014 war ich als Regional-­‐ bzw. Zentralsekretär bei den Gewerkschaften comedia und syndicom angestellt.
Ich wohne seit August 2005 in Bern in einer Partnerschaft.
Das Leben als Rentner geniesse ich seit dem 1. Juli 2014.

Graf Hans-Peter

Gaillard Ursula, témoignage

Née Christen Ursula dans le canton de Berne en 1947, d’un père mécanicien sur auto et d’une mère laborantine puis femme au foyer et comptable du garage paternel, j’ai fait mes classes primaires dans plusieurs cantons alémaniques, l’école secondaire à Lausanne, ainsi que des études de lettres, après avoir passé un an aux Etats-Unis, à Dallas, Texas.
Je vivais en couple lors de l’adhésion à la LMR. Je me suis mariée en 1972 et depuis lors j’ai gardé le nom de Gaillard. Le mariage correpondait à un besoin d’être en règle administrative avec une société que je contestais si radicalement. Membre de la cellule enseignante de l’organisation et employée à titre temporaire depuis 1969 dans un collège lausannois où les jeunes du mouvement Spartacus distribuaient souvent des tracts, je supportais mal de devoir justifier mon concubinage au secrétariat de l’école. Ayant traduit avec bonheur quelques livres pour mon plaisir – dont l’Heure de cuivre, de Dres Balmer en 1984, interdit de vente parce qu’il parlait du HCR au Salvador – j’ai quitté l’instruction publique en 1989 pour devenir traductrice indépendante (littérature-histoire- sciences sociales). A ce titre, j’ai collaboré au Dictionnaire historique de la Suisse de 1993 à 2012. J’ai aussi enseigné le français à des femmes migrantes à Bex de 2007 à 2010 et j’anime chaque jeudi une permanence pour les migrant.e.s depuis 2006.

Gaillard, Ursula

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