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Description archivistique
Fonds de témoignages d'anciennes et anciens militants
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Schneider Ellen, Zeugnis

Schneider Ellen, geboren 1954, Sektion Basel.

Vor dem Beitritt zur RML mit wenig Berufserfahrung in einer sich im Umbruch befindenden Medienbranche (vom Blei-­‐ zum Filmsatz), Gewerkschaftsmitglied (Druck und Papier GDP) seit Beginn der Lehrzeit / keine Aktivitäten in Gewerkschaften, NGO’s, Parteien oder andern Vereinigungen/Bewegungen – Sympathisantin der AKW-­‐Bewegung und Amnesty International.

Aktivistischer Werdegang:
Nach Rückkehr von 1 Jahr Südamerikareise 1976 an Aktionen, Demos in der AKW-­‐Bewegung beteiligt, in Kaiseraugst, Wyhl, Fessenheim, Marckolsheim u. a. (siehe Engagement meiner Tante Lore Haag, Weisweil D, Geschäftsstelle der Badisch-­‐Elsässischen Bürgerinitiative, gegen AKW Wyhl),
1980 Rückkehr aus London, Anschluss an gewerkschaftlich linken Flügel der GDP (vorwiegend Frauen und Männer der RML), mit Zielsetzung bessere und frauengerechte Arbeitsbedingungen/Lohngleichheit im grafischen Gewerbe in patriarchalen, berufsständischen Strukturen (Tasterinnenlöhne/sog. billige Arbeitskräfte), Teilnahme an Sitzungen, Diskussionen, Kampagnen.

Schneider Ellen

Schmid Bolliger Sybilla, Zeugnis

Schmid Bollinger Sybilla, 18.07.1957
Soziale Herkunft, familiäre Herkunft:
Vater: Kaufmann, Prokurist.
Mutter: Bijouterie-­‐Verkäuferin, Hausfrau und Mutter von vier Kindern
Stadt/Region während der RML-­‐Zeit:
Cham, Baar und Zug
Bildungsweg: Primarschule, Kantonsschule (Gymnasium Typus B mit Latein) Studium der Geschichte und Germanistik (nach 7 Semestern abgebrochen, Proletarisierung!) Eidgenössischer Fachausweis Programmierer/Analytiker
Status zur Zeit des Beitritts zur RML: ledig, heute verheiratet, keine Kinder
Beruflicher Werdegang und heutige Situation: Programmiererin und EDV-­‐Analytikerin (heute würde man Softwareentwicklerin und Softwareingenieurin sagen) in zwei industriellen Betrieben (Crypto AG, V-­‐Zug AG) Werkstattschreiberin bei der Lego AG Öffentlichkeitsbeauftragte in einem Bildungshaus der Jesuiten (Lassalle-­‐Haus Bad Schönbrunn) Betreuerin von geistig und körperlich Schwerstbehinderten (Stiftung Maihof) Dokumentalistin und schliesslich Geschäftsführerin des Dokumentationszentrums Doku-­‐Zug (ehemals Büro Gegenwind)

Schmid Bolliger Sybilla

Scheu Andreas, Zeugnis

Scheu Andreas, geboren 1955, Sektion Zürich, später Sektion Winterthur
Aus dem Gymnasium geflogen, dann Sekundarschule und Berufslehre als Chemielaborant, später, 1981, mit KME (Kantonale Maturitätsschule für Erwachsene) Erwachsenenmatur gemacht, nicht studiert.
Heute Gewerkschaftssekretär, Unia.
Aus Passgründen 1991 spanische Liebe geheiratet. 1995 Tochter geboren (Doppelbürgerin). Trennung 1999.
Heute wieder Single. Kindererziehung und Betreuung 50:50 geteilt.
Vater (CH) Arzt, Mutter (D) ausgebildete Lehrerin und Geschäftsfrau im elterlichen Werkzeugmaschinenhandel in Frankfurt, nach der Heirat Hausfrau und Mutter.
Ich komme aus einer traditionell linksintellektuellen Familie, wusste das aber mit 16 noch nicht genau.
Der Urgrossvater (Heinrich Scheu) hat die Österreichische SP mitgegründet und kannte Marx und v.a. Engels persönlich.
Grossvater: linker Arzt, Kollege und Freund von Fritz Bruppacher.
Grossmutter: Ärztin, linke Jüdin aus Russland (Bundistin). Sie war Delegierte im Kiewer Sowjet 1905, später im Umfeld der SP-­‐Linken und der KPS.
Wir wurden fortschrittlich, gegen Krieg und für (soziale) Gerechtigkeit erzogen ohne die politische Familiengeschichte zu kennen. Mein Vate hatte im Kalten Krieg Angst (Konrad Farner war ein Freund der Familie) und taufte mich darum sogar, obwohl wir nie in die Kirche gingen.

Scheu Andreas

Sautebin Marie-Thérèse, témoignage

Née en France le 9.8.1947
Etudes de lettres à l’Université du Mans et de Caen, licences d’anglais et d’espagnol.
Enseignement des langues au Collège au Mans (68-72).
72, mariage avec Paul. Arrivée en Suisse sans trouver l’emploi correspondant à mes études.
72-92, divers boulots à temps partiel (cours de langues, secrétariat dans l’horlogerie et dans un cabinet d’avocates). Priorité mise sur l’engagement militant et non sur l’activité professionnelle.
78, naissance de David et poursuite de l’engagement.
87-92, reprise des études à la FAPSE, licence en Sciences de l’éducation.
93, activités professionnelles comme formatrice d’adultes, création d’un institut de formation pour adultes à Bienne, Espace de femmes pour la formation et l’emploi, devenu Espace de formations-Formation d’espaces (effe). Séparée en 97, puis divorcée.
2011, retraite professionnelle et engagement ponctuel comme formatrice bénévole en Afrique (Coopération pédagogique en Afrique – CPA).

Sautebin, Marie-Thèrèse

S.P., Zeugnis

S.P.. 2.7.1956 Arbeiterfamilie, viertes Kind einer achtköpfigen Familie (5 Brüder) Baden/Aargau.
Ledig, „feste“ Beziehung zum Zeitpunkt des RML-­‐Beitritts.
5 Jahre Primarschule, 4 Jahre Bezirksschule, 1,5 Jahre Gymnasium (abgebrochen wegen schlechter Noten), ½ Jahr Pro Juventute-­‐Sozialpraktikum, 2 Jahre Kindergärtnerinnen-­‐Seminar, 12 Jahre Berufstätigkeit als Kindergärtnerin (davon 3 Jahre in Mailand); Weiterbildungen (Sprachen, Kompost-­‐ und Umweltberatung, Bürofachdiplom); Mutterschaft und einige Jahre Hausfrau; 5 Jahre Kompostberatung in grosser Zürcher Wohnbaugenossenschaft; seit 2000 Assistentin Geschäftsleitung ebenda.
Verheiratet, ein erwachsener Sohn.

S.P.

S.A.L., Zeugnis

S.A.L, 23.8.1950,
Eltern Druckereiunternehmer, Einzelkind, Zürich, KV, Matura C, ETH und Uni. Ledig, Freundschaft, keine Kinder. Stellvertretungen an der Volksschule, Einstieg als Projektleiter und Organisator im Detailhandel, Lehrgangsverantwortlicher und Kursleiter für Manager an psychologischem Institut, selbstständig als Kursleiter und Berater im Bereich Führung + Kommunikation; Personal-­‐ und Unternehmensberater.

S.A.L.

S.A.A., témoignage

Née à Athènes en 1944 de parents athées. Père sympathisant du PC, parents cultivés. Part étudier à l'étranger à 18 ans. A 24 ans, licence en sciences politiques, diplôme de traductrice et demande en mariage.
Milite dans les milieux émigrés grecs d'opposition. Après la naissance de son fils en 1972, réduit son activité professionnelle et se sensibilise au discours féministe. Reprend des études en droit et rencontre des étudiants politiquement engagés, dont un membre de la LMR. Après son adhésion, milite dans le travail femmes. Intéressée par les possibilités de formation et de rencontres offertes par l'organisation.
Participe à la création de l'OFRA et de la revue "A tire d'elles". Collabore avec de nombreux groupes féministes. Bilan plutôt positif de son passage dans l'organisation. Reste active dans la presse militante et associative, engagée dans la 4e Marche Mondiale des Femmes et ATTAC.

A.S.A.

S.A., témoignage

AS, né le 11.10.1948 à Schiers aux Grisons. Adhésion en 1975, étudiant en médecine en fin d’études ; marié, un enfant à ce moment.
En ce qui me concerne, depuis l’âge de 12 ans, je voulais devenir vétérinaire comme un de mes frères. J’avais cependant également un intérêt pour la musique, je pratiquais assez intensément le violoncelle, et la varappe et j’envisageais aussi la perspective de guide montagne. Cependant, avec l’effervescence de 1968, j’ai abandonné le projet de devenir vétérinaire. J’avais l’impression que les choses importantes se passaient dans les villes, dans la classe ouvrière organisée, et non pas à la campagne et dans la paysannerie de montagne. Ayant réussi le premier examen de médecine, je pensais un moment à la physique théorique comme mon père mais finalement, j’ai choisi la solution la plus facile, à savoir continuer la médecine, un choix par défaut, un plan B qui explique probablement le fait que je gardais toujours une distance critique par rapport à la médecine et le corps médical.
Entre 1975 et 1984, j’ai fait une formation en médecine interne hospitalière complétée par une formation en médecine du travail. Je me suis installé en 1984 dans un cabinet de groupe avec un interniste-rhumatologue et deux psychiatres, dont Gilles Godinat, également militant au PSO. Au moment de l’installation, j’ai postulé, mais sans grande conviction, pour un poste de médecin d’entreprise de l’Hôpital Cantonal. D’une manière tout à fait prévisible, j’ai été victime d’une interdiction professionnelle, une décision qui ne m’a pas beaucoup touchée car elle était prévisible et, d’une certaine manière, évidente. En plus, mon installation privée me convenait parfaitement
bien car elle me donnait beaucoup de liberté pour militer.
Après mon installation, sachant que je n’allais pas terminer ma trajectoire professionnelle comme interniste généraliste et étant confronté à quelques difficultés existentielles, j’ai entrepris une psychanalyse. Ayant toujours eu un intérêt pour la psychosomatique et la psychanalyse, je me suis formé en psychosomatique psychanalytique à Paris et finalement vers l’an 2000, j’ai commencé une formation psychanalytique que j’ai « terminée » en 2012.

S.A.

S. U., témoignage

Né le 27.1.1943 en Suisse alémanique, dans une famille de couche moyenne aisée et conservatrice.
Père juriste et cadre dans une grande entreprise, mère bien occupée à la maison avec les quatre enfants. Sentiment de sécurité affective et matérielle pendant l’enfance, auquel l’ambiance conformiste mélangeait peu à peu de l’ennui. Maturité à l’école cantonale d’une petite ville de Suisse allemande ; il n’y avait pas d‘enfant d’ouvrier ou d’employé modeste parmi nous, les garçons portaient la cravate et se préparaient à suivre le parti radical ou le parti chrétien-social, et à grader dans l’armée. Études de médecine, à Genève pour changer d’air. Travail dans des cliniques et spécialisation en psychiatrie, puis en cabinet privé jusqu’à ma retraite en 2016, toujours à Genève. Entré à la LMR en 1971/72, étant marié et bientôt père d’un enfant né en 1972. Sorti du PSO en 1986.

S.U.

Rossi Martino, témoignage

Martino Rossi, 31.07.1944, né à Viganello, j’habitais à l’époque de l’adhésion à la LMR à Massagno, aujourd’hui à Lugano. Mon père était avocat et il était proche du « Partito Conservatore » (aujourd’hui « Partito Popolare Democratico »), section du Parti Démocrate Chrétien Suisse, tandis que ma mère était proche du « Partito Liberale Radicale Ticinese », section des Libéraux-Radicaux suisses. Au moment de mon adhésion à la LMR (1973) j’étais marié depuis moins de deux ans et je n’avais pas d’enfants. J’avais obtenu une licence en économie politique (Université de Fribourg, 1967) et je travaillais dans une unité de recherche économique appliquée du Département cantonal
de l’économie publique, devenue plus tard Institut de recherches économiques rattaché à l’Université de la Suisse italienne. Dès 2007 jusqu’à fin 2009 (retraite), j’ai assumé la direction de la Division de l’action sociale et de la famille du Département cantonal de la santé et des affaires sociales.

Rossi, Martino

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