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Cachin Paul, témoignage

Paul Cachin 04.03.1948. Mes parents étaient petits paysans. Jura/Delémont. Ecole primaire. Apprentissage de mécanicien. Célibataire. Travail en usine quelques années et chauffeur de camion. Ensuite 23 ans aux CFF à Zurich.

Paul Cachin

R. H.-P., témoignage

R H-P., né le 28 décembre 1950 à Bischofszell (Thurgovie). J’ai vécu au Locle de 1955 à 1973, à Neuchâtel de 1973 à 2012, à nouveau au Locle depuis janvier 2013.
Célibataire.
Scolarité au Locle (Ecole primaire, Ecole secondaire, Ecole de commerce / section diplôme) : 1956-1971
Formation à la Bibliothèque de la Ville – Neuchâtel, 1972-1974.
Bibliothécaire à la Faculté des sciences économiques, Université de Neuchâtel – 1975-juin 1976.
Bibliothécaire à la Bibliothèque Publique et universitaire - Neuchâtel (BPUN/ex-Bibliothèque de la Ville) – juillet 1976-décembre 2012.
Retraité en décembre 2012.

R. H-P.

Oppikofer Pierre-Yves, témoignage

Pierre-Yves Oppikofer, né le 12 avril 1955 à La Chaux-de Fonds. Mon père était ingénieur en mécanique, et ma mère, ménagère. Je suis l’ainé d’une famille de trois enfants. Mon père ayant choisi de travailler en indépendant, le niveau de vie de notre famille correspondait à celui des familles ouvrières qui représentaient la très grande majorité population de La Chauxde-Fonds. J’avais 18 ans lorsque j’ai adhéré à la LMR au moment de terminer le gymnase. Ensuite j’ai entamé des études de droit à l’université de Neuchâtel, non achevée. Plus tard, j’ai travaillé dans des entreprises de mécanique après avoir appris le métier de mécanicien de précision. Depuis 1999, je suis syndicaliste professionnel au Syndicat des services publics.

Pierre-Yves Oppikofer

S. U., témoignage

Né le 27.1.1943 en Suisse alémanique, dans une famille de couche moyenne aisée et conservatrice.
Père juriste et cadre dans une grande entreprise, mère bien occupée à la maison avec les quatre enfants. Sentiment de sécurité affective et matérielle pendant l’enfance, auquel l’ambiance conformiste mélangeait peu à peu de l’ennui. Maturité à l’école cantonale d’une petite ville de Suisse allemande ; il n’y avait pas d‘enfant d’ouvrier ou d’employé modeste parmi nous, les garçons portaient la cravate et se préparaient à suivre le parti radical ou le parti chrétien-social, et à grader dans l’armée. Études de médecine, à Genève pour changer d’air. Travail dans des cliniques et spécialisation en psychiatrie, puis en cabinet privé jusqu’à ma retraite en 2016, toujours à Genève. Entré à la LMR en 1971/72, étant marié et bientôt père d’un enfant né en 1972. Sorti du PSO en 1986.

S.U.

Gaillard Ursula, témoignage

Née Christen Ursula dans le canton de Berne en 1947, d’un père mécanicien sur auto et d’une mère laborantine puis femme au foyer et comptable du garage paternel, j’ai fait mes classes primaires dans plusieurs cantons alémaniques, l’école secondaire à Lausanne, ainsi que des études de lettres, après avoir passé un an aux Etats-Unis, à Dallas, Texas.
Je vivais en couple lors de l’adhésion à la LMR. Je me suis mariée en 1972 et depuis lors j’ai gardé le nom de Gaillard. Le mariage correpondait à un besoin d’être en règle administrative avec une société que je contestais si radicalement. Membre de la cellule enseignante de l’organisation et employée à titre temporaire depuis 1969 dans un collège lausannois où les jeunes du mouvement Spartacus distribuaient souvent des tracts, je supportais mal de devoir justifier mon concubinage au secrétariat de l’école. Ayant traduit avec bonheur quelques livres pour mon plaisir – dont l’Heure de cuivre, de Dres Balmer en 1984, interdit de vente parce qu’il parlait du HCR au Salvador – j’ai quitté l’instruction publique en 1989 pour devenir traductrice indépendante (littérature-histoire- sciences sociales). A ce titre, j’ai collaboré au Dictionnaire historique de la Suisse de 1993 à 2012. J’ai aussi enseigné le français à des femmes migrantes à Bex de 2007 à 2010 et j’anime chaque jeudi une permanence pour les migrant.e.s depuis 2006.

Gaillard, Ursula

Gottraux Pascal, témoignage

Gottraux, Pascal, 6 mai 1957, Père patron d’une PME (paysagiste), mère institutrice. Lausanne. Famille plutôt de gauche. Scolarité à Renens, Lausanne, études à l’EPFL. Au moment de l’adhésion, j’étais célibataire et étudiant. Après mes études, j’ai eu divers postes en suisse dans le privé et comme assistant à l’EPFL (Doctorat en informatique) en tant qu’ingénieur en développement informatique. Depuis 2003 employé au Centre Informatique de l’UNI de Lausanne comme ingénieur en développement informatique (SAP).

Gottraux, Pascal

Nicaragua

Chemises 1 à 7 (Aexnic vs Nicalit) [Boîte 021] :
Dossier sur l'affaire opposant Aexnic, une association d’ex-employés de la société Nicalit (succursale d’Eternit) à Amanco, société qui succéda à Nicalit après sa fermeture en 1993. Les travailleurs demandent des indemnisations et des comptes à S. Schmidheiny pour avoir mis leurs vies en danger. Après des années de tergiversations, Aexnic lance un procès contre Schmidheiny en été 2014.
• Catalogues Nicalit détaillant les propriétés techniques de leurs produits, fiches Nicalit détaillant les normes de sécurité dans les usines, documents sur les propriétés de l’amiante-ciment (en espagnol). Notes manuscrites de F. Iselin sur Nicalit
• Documentation diverse datant des années 1980 sur la reconversion possible des industries liées à l’amiante, en lien avec un mandat du Syndicat industrie et bâtiment
• Articles de presse sur la situation des travailleurs de Nicalit du début des années 2000 (en espagnol)
• Documentation Aexnic : texte d’une trentaine de pages sur l’histoire de Nicalit (espagnol), texte manuscrit sur Nicalit (français), lettres et communiqués
• Témoignage dans "SolidaritéS" de Bruno Mauro (août 2002), un représentant de CAOVA s’étant rendu au Nicaragua à la rencontre des travailleurs d’Aexnic
• Fiches d’information de travailleurs suisses ayant travaillé dans les usines Nicalit
• Interview d’un travailleur de Nicalit conduit par F. Iselin à Managua en août 1987
• Appel de CAOVA au soutien des victimes de Nicalit (novembre 2014)

Chemises 8 à 11 (correspondances 2014-2015) [Boîte 022] :
• Échanges de mails avec les travailleurs et les syndicalistes nicaraguayens, et entre syndicalistes/militants suisses concernant la situation au Nicaragua. (La plupart des échanges datent de 2014-2015, mais l'on trouve aussi des mails plus anciens datant du début des années 2000, et plus récents de 2017-2019)
• Listes des travailleurs de Nicalit (avec détails sur l’exposition à l'amiante, les diagnostics, l'état de santé, etc.)
• Proposition de calcul du montant des indemnités
• Article en espagnol de F. Iselin sur S. Schmidheiny (mars 2002)
• Communiqués de CAOVA (en espagnol) et diverses autres publications
• Étude de F. Iselin en français, espagnol et italien sur « l’héritage empoisonné des Schmidheiny – Somoza au Nicaragua »

Chemise 12 (Nicaragua, historique dès 1977) [Boîte 022] :
Documentation sur le voyage de F. Iselin au Nicaragua en 1987 pour apporter un soutien technique et scientifique à la Brigade du travail dans son travail d’aide au développement. Le Nicaragua est alors un pays socialiste dirigé par les sandinistes. Cette chemise contient notamment :
• Lettres dactylographiées ou manuscrites, études sur les ressources naturelles et énergétiques du Nicaragua (en espagnol), articles de presse, notes manuscrites
• Photos du voyage de F.I., programme du voyage
• Projets de construction, documentation sur les matériaux de construction disponibles/produits au Nicaragua