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Loertscher Clive, témoignage

LOERTSCHER Clive, 17 octobre 1948, milieu modeste (père magasinier dans un garage, mère au foyer), famille nombreuse du côté de ma mère (9 frères et soeurs). Ai été le seul de mes 24 cousines et cousins à faire des études universitaires.
Vivait à l’époque à Lausanne depuis mes 6 ans, collège secondaire, maturité latin-anglais, licence ès sciences politiques UNIL, assistant à l’Uni à l’époque, puis enseignant secondaire et de gymnase, directeur de gymnase et enseignant secondaire à nouveau.
En couple à l’époque.

Loertscher, Clive

Correspondance

Correspondance autour de l'activité du MDE, de novembre 1957 à décembre 1963.
2017/332
Enveloppe n°1 : novembre 1957 à août 1960. Correspondance diverse. Deux coupures de presse ("Résolutions de l'assemblée générale du Conseil suisse des Associations pour la paix" et "Le Conseil suisse des Associations pour la paix s'adresse à la conférence du désarmement")

Enveloppe n°2 : septembre 1960 à décembre 1960. Correspondance diverse. Deux coupures de presse ("Assemblée générale du Conseil suisse des Associations pour la paix" et "Décision du Conseil suisse des Associations pour la paix").

Enveloppe n°3: janvier 1961 à mars 1961. Correspondance diverse.

Enveloppe n°4 : avril 1961 à décembre 1961. Correspondance diverse. Un numéro du mensuel lausannois Uni-Action.

Enveloppe n°5 : février 1962 à décembre 1962. Correspondance diverse. Un exemplaire du bulletin "L'étudiant du Kamerun".

Enveloppe n°6 : mars 1963 à décembre 1963, ainsi que trois lettres de 1964. Correspondance diverse.

2017/333
De la correspondance diverse, notamment entre membres du Mouvement Démocratique des Etudiants, se trouve aussi dans cette boîte

2017/337
Enveloppe n° 6 : plusieurs listes d'adresses [individus et collectifs divers]. Cartes de visite. Liste de suivi concernant l'envoi d'un bulletin non spécifié.

Gaillard Ursula, témoignage

Née Christen Ursula dans le canton de Berne en 1947, d’un père mécanicien sur auto et d’une mère laborantine puis femme au foyer et comptable du garage paternel, j’ai fait mes classes primaires dans plusieurs cantons alémaniques, l’école secondaire à Lausanne, ainsi que des études de lettres, après avoir passé un an aux Etats-Unis, à Dallas, Texas.
Je vivais en couple lors de l’adhésion à la LMR. Je me suis mariée en 1972 et depuis lors j’ai gardé le nom de Gaillard. Le mariage correpondait à un besoin d’être en règle administrative avec une société que je contestais si radicalement. Membre de la cellule enseignante de l’organisation et employée à titre temporaire depuis 1969 dans un collège lausannois où les jeunes du mouvement Spartacus distribuaient souvent des tracts, je supportais mal de devoir justifier mon concubinage au secrétariat de l’école. Ayant traduit avec bonheur quelques livres pour mon plaisir – dont l’Heure de cuivre, de Dres Balmer en 1984, interdit de vente parce qu’il parlait du HCR au Salvador – j’ai quitté l’instruction publique en 1989 pour devenir traductrice indépendante (littérature-histoire- sciences sociales). A ce titre, j’ai collaboré au Dictionnaire historique de la Suisse de 1993 à 2012. J’ai aussi enseigné le français à des femmes migrantes à Bex de 2007 à 2010 et j’anime chaque jeudi une permanence pour les migrant.e.s depuis 2006.

Gaillard, Ursula

Heinen Jacqueline, témoignage

Née en 1940 à Genève, dans un milieu bourgeois. Maturité latine faite en traînant les pieds car je ne m’intéressais qu’au théâtre. Diplômée du Conservatoire de Genève, études théâtrales poursuivies à Paris. Comédienne au début des années 60 à Paris et Genève (licence de lettres vite faite durant cette période). Dramaturge et metteure en scène ensuite, en Europe centrale et dans les Balkans, puis à Lausanne. Par la suite, professeure de français dans le secondaire à Genève durant quatre ans. Puis journaliste et permanente de la IVe Internationale à Paris durant dix ans (CAP de tourneur-fraiseur, chemin faisant...). Puis traductrice pour des organisations internationales, le temps de passer une thèse de sociologie. Devenue, à 50 ans, maître de conférences à Paris et peu après professeure de sociologie. De 1990 à 2008, directrice d’un laboratoire du CNRS et d’une revue sur le genre. Au final, présidente du Conseil national des universités.
Aujourd’hui, professeure émérite (encore active sur divers plans). Ecrit, nage et pratique le chant assez intensément.

Heinen, Jacqueline